Louis Kahn

Patrick Kron PDG d’Alstom Pierre Lellouche Ministre délégué aux Affaires Européennes Alain Madelin Ancien ministre Pierre Moscovici Ancien Ministre, député du Doubs Alain Némarq PDG de Mauboussin Jean-Pierre Soisson Ancien ministre Dominique Strauss-Kahn Ancien ministre, ancien président du FMI Jean-François Théodore Président d’Euronext Sydney Tolédano PDG de Christian Dior Couture Manuel Valls Député-maire PS d’Essonne Simone Veil Ancien ministre Rama Yade Ancienne secrétaire d'État chargée des Sports

négatif sur l'emploi n'apparaîtrait que progressivement Martine Aubry,affirmait en 2004, qu'« environ 400 000 emplois » nets avaient été créés, « hors hôpitaux et collectivités locales ». Le PS a officiellement repris ces chiffres. Dominique Strauss-Kahn estime pour sa part plus crédibles des chiffres de 200 000 à 250 000 ▪ L'Insee, en 2004, estime les créations d'emplois à 350 000, soit 200 000 emplois directs et 150 000 emplois qui ne seraient pas tous permanents. ▪ Selon la DARES (service

DSK et la non-communication Ce G20 a été un régal pour tout amateur de communication politique. Tout part de ce que l’on peut appeler la « non-communication » de Dominique Strauss-Kahn, qui a le curieux phénomène d’être transformé par les médias et hommes politiques en une véritable communication d’un futur candidat oppressé par son devoir de réserve au FMI. Pour autant, même s’ils font semblant de ne pas le comprendre, tous ces acteurs le savent : DSK ne dira rien. C’est pour cela que tous les

la Commission et le Parlement, sont aussi concernés. On assiste donc à une multiplication d'initiatives, assez mal coordonnées, comme l'a souligné à plusieurs reprises le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, visant à redéfinir l'ensemble du système de régulation pour, au final, mieux maîtriser le risque systémique. Cette ardeur régulatrice a, en outre, la caractéristique de s'aventurer dans des domaines encore insuffisamment explorés de la finance. Il

document, la traduction du rapport de l'inspecteur Steven Lane reprenant les faits reprochés à Dominique Strauss-Kahn, et publié par le site de la chaîne ABCNews. C'est le point de vue de l'accusation : DSK, lui, nie cette version des faits. Télécharger la plainte déposée contre DSK, mise en ligne par ABC News (PDF, en anglais). Le peuple de l'Etat de New York contre Dominique Strauss-Kahn (M62). Le détective Steven Lane, matricule 03295 de la brigade de détectives de l'Unité spéciale de Manhattan

DSK reste en détention Dominique Strauss-Kahn reste en prise. Le parquet de New-York a refusé lundi la mise en liberté du directeur général du FMI. Il reste donc en prison au moins jusqu’au 20 mai, où il sera une nouvelle fois présenté au parquet. L’avocat de DSK avait proposé une liberté sous caution pour un million de dollars et un bracelet électronique. Dominique Strauss-Kahn nie l'ensemble des accusations. Il est inculpé d'acte sexuel criminel, de tentative de viol et de séquestration

(page 47). Cet extrait démontre que Nicolas Sarkozy n'est pas la seule personne à blâmer et qu'un autre n'agirait probablement pas d'une manière différente : « L'oligarchie ne peut fonctionner dans les célèbrissimes Alain Minc (ami de Dominique Strauss-Kahn, PS) et autres Jacques Attali (ancien conseillé de François Mitterand) […] Ces deux conseillés démontrent que les réseaux de l'oligarchie de droite et ceux de l'oligarchie de gauche peuvent se rencontrer et se confondre. Les divergences politiques

Moreover, the French leader was determined to reinforce his position vis-à-vis the opposition parties, when he pushed forward the important Socialist figure of Dominique Strauss-Kahn as European nominee to the International Monetary Fund (IMF). Critics did not leave it unnoticed and alleged that Sarkozy proposed to nominate Strauss-Kahn as managing director of the IMF to deprive the Socialist Party of one of its more popular figures. President Sarkozy, also put a lot of importance all the way from

gauche ? L’officielle, celle qui a accompagné le libéralisme, déréglementé la finance pendant la présidence du démocrate William Clinton, désindexé les salaires avec François Mitterrand avant de privatiser avec MM. Lionel Jospin et Dominique Strauss-Kahn, taillé à la hache dans les allocations versées aux chômeurs avec M. Gerhard Schröder, n’a à l’évidence d’autre ambition que de tourner au plus vite la page d’une « crise » dont elle est coresponsable. Soit, mais l’autre gauche ? Peut-elle à un

l’adresse du "camp du non", juge pour sa part le député PS Jean-Christophe Cambadélis, partisan du oui. "Il démontre à ceux qui en doutaient que les ultra-libéraux souhaitent secrètement l’échec du traité constitutionnel", explique-t-il. Dominique Strauss-Kahn estime de son côté que la directive Bolkestein, "haïssable", est "un formidable argument en faveur du oui" à la Constitution européenne. Attention au piège, prévient en substance le député socialiste de Seine-Saint-Denis Claude Bartolone, partisan