Louis Mountbatten

avec quelles grâces, vous le savez ; le soir, nous la vîmes séchée !"         L'Oraison funèbre de Marie-Thérèse d'Autriche, reine de France, prononcée à Saint-Denis en 1683, a une moins grande valeur. Le panégyrique de l'insignifiante femme de Louis XIV n'offrait qu'un texte bien peu fécond ; l'orateur s'est rejeté sur la piété, la vertu, le dévouement, la modestie de la feue reine et autres lieux communs plus propres à l'amplification qu'aux grands mouvements d'éloquence.         L'Oraison

poètes, face à la censure exercée par l'occupant allemand ou par le gouvernement de Vichy, les poètes ont choisi d'écrire et de se faire publier dans la clandestinité au risque de leur vie. Écrire était alors un acte devenu dangereux, c'est pour ça que Louis Aragon signait François la Colère, que Paul Eluard signait Jean du Haut. Des maisons d'édition clandestines (ex : les éditions de minuit) assuraient la diffusion de leurs écrits. Lire la poésie engagée était aussi un acte politique dangereux. Cependant

Afficher cette exposition à Versailles, c’est un peu comme faire raisonner passé et moderne, mais ce mélange audacieux, va chercher, à mon avis, d’autres aspects plus importants pour intéresser le client. On ne vient plus visiter le château de louis XIV, mais rencontrer Mickael Jackson, tout d’or brillant, allongé comme un dieu. On est sous le choc en découvrant une gigantesque statue de fleur, une sorte de tête de vache-dragon, rappelant les chars du carnaval, dés notre entrée dans les somptueux

cause du Roi et avec le Roi -Le Roi cause la perte de l’ancien régime en ferment Versailles à L’A.N.* qui se réunit directement dans la salle du jeu de paume pour créer une Constitution à la France sous la base de la Monarchie constitutionnelle -Louis XVI contraint d’accepter : sous la pression de peuple il reconnaît l’A.N., se sont tous de même les révolutionnaire qui lui demande d’accepter la monarchie constitutionnelle, le Roi accepte pour garder certain pouvoir. La Roi se montre comme une victime

d’étude: Le rôle du poète et de la poésie au fil des siècles Lectures analytiques Louise Labé : « Je vis, je meurs…. » (Sonnets) Charles Baudelaire : « Parfum exotique » (Les Fleurs du Mal) Boris Vian : « Le Déserteur » (Chansons) Henri Michaux: « Intervention » (Mes Propriétés) Documents complémentaires : Corpus pour un devoir : (la poésie engagée) Boris Vian : « Le Déserteur » (Chansons) Louis Aragon : « Ballade de celui qui chanta dans les supplices » (La Diane Française)

Je Vis, Je meurs - Sonnets VII Louise LABE (1542-1566) 1) Présentation générale Lyonnaise comme lui, Louise Labé partage avec son contemporain Maurice Scève non seulement une virtuosité poètique mais également un expérience douloureuse de l’amour qui nourrit son oeuvre, entièrement publiée en 1555 du “Débat de Folie et Amour” , de trois “Elégies” , et de vingt-trois “Sonnets” . S’il s’inscrit dans une tradition poètique, le sonnet de Louise Labé ardent et passionné, exprime, de façon originale

« Sous notre autorité, ils ont la direction des faits par lesquels est policée et entretenue la chose publique de notre royaume et ils sont les ministres essentiaux, comme membres du corps dont nous sommes le chef ». C'est ce qu'affirmait Louis XI, roi de France, au sujet de ses agents exerçant une fonction publique. La fonction publique, sous l’Ancien Régime, est l’exercice d’une autorité que l’on détient non par soi-même, mais par délégation, d’une délégation souveraine : la fonction publique

et 2. Acte de révérence au roi. Aveu d’un manque de respect puisqu’il aurait dû commencer par la fable qui soit à la gloire du roi (commence en fait le livre III par « Le meunier, son fils et l’âne »). 2) Un texte miné On connaît l’hostilité de Louis XIV pour La Fontaine auquel il reproche sa trop grande liberté d’esprit et ses positions anti-colbertistes. Depuis 1657, La Fontaine avait Fouquet (surintendant des finances du Royaume) comme Mécène. Or en 1661, Fouquet tombe en disgrâce et il est

du 18ème siècle. Elle comporte plusieurs phases. La première commence vers 1750 et se termine en 1774, date de la mort de Louis XV. Elle est marquée par le développement d’idées contestatrices et de l’incapacité de la monarchie à faire les réformes nécessaires pour parvenir à sa propre modernisation. La deuxième commence en 1774 avec l’arrivée de Louis XVI, petit-fils de Louis XV, enterré en secret pendant la nuit, car devenu très impopulaire avant sa mort. Cet enterrement à la sauvette est synonyme

il fonde en 1819 une revue, « Le Conservateur littéraire », qui attire déjà l'attention sur son talent. Son premier recueil de poèmes, Odes, paraît en 1821 : il a alors dix-neuf ans. Les quinze cents exemplaires s'écoulent en quatre mois. Le roi Louis XVIII, qui en possède un exemplaire, lui octroie une pension annuelle de mille francs[13].