Loup arctique

influence sur les différents climats. De la fraîcheur des Andes aux glaciers de l'Alaska en passant par l'aridité de la vallée de la mort aux États-Unis, la diversité est partout. Cinq régions climatiques se distinguent. Une première région polaire arctique et subarctique Elle est caractérisée par la présence de neige et de glace pendant une très grande partie de l'année voire en permanence. Ces zones, notamment les deux tiers septentrionaux du Canada, l'Alaska et le Groenland connaissent de longs hivers

l’homme sur la biodiversité, nous prendrons l’exemple de l’ours polaire qui est une espèce animale en voie d’extinction. L’ours blanc est une espèce animale vivant au niveau du pôle nord, au bord de l'océan Arctique, leur habitat se limite quasiment à la banquise. Ce sont des animaux solitaires, et également d’excellents nageurs. Ils se nourrissent principalement de phoques, car ceux-ci contiennent énormément de graisse qui est indispensable à leur survie.

jour sont sensible d’être exposées à un grand risque d’extinction. La végétation encoure d’être ravagée par une croissance des feux de forets qui provoqueraient un grand dégazage (libération de gaz contenu dans les arbres).La fonte du pergélisol en arctique du à son réchauffement. Entre un 33% et 50% du pergélisol de l’Alaska dégèlerait si sa température augmenterait de 1 degré. En Sibérie des lacs provoquent un grand dégagements de méthane suite à leur formation du à la fonte du pergélisol. Une analyse

froid et le plus sec. Il est aussi constitué d'une grande île principale ainsi que d'un ensemble d'îles plus petites. C’est un désert de type polaire d’une superficie de 13 829 430 km². 2. L’Arctique est la région située au nord du cercle polaire Arctique (66°30’ de latitude nord) qui s'oppose à l'Antarctique, au sud. C’est le second plus grand désert du monde avec une superficie de 13 700 000 km². Il est notamment qualifié de désert polaire. L’antarctique comprend 6 pays, les Etats-Unis (région de

réchauffement, les banquises fondent, le niveau de la mer augmente, les côtes s’érodent d’avantage : tous des facteurs qui diminuent de presque 50% le territoire d’accouplement de ces oiseaux. • Les manchots, en Antarctique, et les pingouins, en Arctique, rentrent dans la catégorie des oiseaux aussi. La végétation : • Les changements climatiques auront un impact sur les zones de végétation. • En effet, une augmentation de la température fera en sorte que la forêt boréale s’étendra plus vers

nouvelle frontière convoitée par les pays qui bordent cet océan glacial. La limite entre le monde peuplé et exploité (oekoumène) et le monde « sauvage » se déplace. Le respect de l’environnement, la redéfinition des frontières entres états dans l’espace arctique et la conciliation et mise en exploitation font partis des termes que nous utilisons pour qualifié l’arctique de nouvelle frontière. Nous en concluons que l’arctique est une nouvelle frontière qui crée certaines tensions géopolitiques ; au niveau

nord, la végétation ne pousse plus, car on se trouve dans les glaciers. Quelques animaux vivent dans des milieux polaire comme celui si : l'ours polaire, le phoque,les Baleines à bosses, Macareux moine, un Renard arctique,le Caribou de la toundra, l'Ours blanc les Lagopèdes, Lièvre arctique...etc. Les oiseaux sont très nombreux au Groenland. Il n'y a pas d'arbre au Groenland et les plantes les plus répandues sur l'île sont les bouleaux et les saules. Elles peuvent êtres parfois un obstacle pour les

10 à 20 centimètres du niveau au cours du 20ème siècle. - LA FONTE DES CALOTTES POLAIRES ET DES GLACIERS : LES CALOTTES POLAIRES : Depuis plusieurs années la calottes polaire de l'hémisphère Nord fond. L'épaisseur de la glaces de l'océan Arctique est passé de 4,88 m en moyenne dans les années 1980, à 2,75 m en 2000, soit une réduction de 2,13 m en 20 ans. Depuis 1980, tous les dix ans l'Arctique perd environ 10% de sa couche de glace permanente (NASA, 2003). En septembre 2007 la fonte de

s’accélérant d’années en années. Selon Le Monde du 14 mai 2009, la superficie des glaces estivales était de 7,5 millions de km2, de 5,5 millions en 2005 et de 4 Millions en 2007.Ces chiffres alarmants montrent bien la diminution exponentielle des glaces arctiques. Cette disparition entraîne des répercussions importantes à l’échelle internationale :de nouveaux enjeux commerciaux voient le jour, des nouvelles ressources sont découvertes, parfois sur des zones de revendications toujours non résolues,des ressources

alarmante. Et oui, ces scientifiques ont établis qu’une une diminution de 8% de sa surface totale soit, 988 000 km2 c’était effectuée en 30 ans! Les chercheurs estime que la calotte pourrait ne plus exister en été d’ici 2070. Par contre, la banquise arctique est l’écosystème le moins bien connu sur terre donc elle est très imprévisible. Le dernier changement climatique présenté soit, le ralentissement le la circulation thermoaline à elle aussi un grand impact pour tous ce qui à de vivant sur la