Loup

LE LOUP ET LE CHIEN (*)     Un Loup n'avait que les os et la peau ;         Tant les Chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli (1), qui s'était fourvoyé par mégarde.         L'attaquer, le mettre en quartiers,         Sire Loup l'eût fait volontiers.         Mais il fallait livrer bataille         Et le Mâtin était de taille         A se défendre hardiment.         Le Loup donc l'aborde humblement,     Entre en propos, et lui fait compliment

Delcourt et l’histoire est toujours en cours (plus de 9 tomes déjà…). Je vais donc vous présenter le premier album : « Le secret du Janissaire ». Alors dans ce premier tome, on découvre les personnages principaux qui sont donc un loup « Don Lope », un espagnol bien téméraire et impulsif et un renard « Amand de Maupertuis », un poète français. Deux gentilshommes unis par une amitié indéfectible. Ce sont un peu comme des mousquetaires, ils défendent la veuve et l’orphelin ?

Moines passant, La faim, l’occasion, l’herbe tendre, & je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n’en avais nul droit, puis qu’il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue Qu’il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l’herbe d’autrui ! Quel crime abominable ! Rien que la mort n’était

coupable. Deuxièmement, dans cette fable, le rang social est jugé plus durement que le crime lui-même. Dans un premier temps, l’Âne sert de bouc émissaire. En effet, bien que l’Âne ait commis la faute la moins grave, dès qu’il avoue son crime, le Loup et les autres puissants s’empressent de le désigner comme coupable, comme le prouve cette antithèse et cette antiphrase : « Sa peccadille fut jugée un cas pendable. / Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable ! » (v. 59-60) Dans un second temps

l’herbe tendre, et, je pense,     Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue; Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net11. » A ces mots, on cria haro12 sur le baudet. 55         55 Un loup, quelque peu clerc13, prouva par sa harangue Qu’il fallait dévouer14 ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable, Manger l’herbe d’autrui! quel crime abominable! 60         60

majuscule, et également le discours rapporté au style direct ce qui donne une impression à la scène. Dans la fables >, une grande partie du texte est composé d’un dialogue, entre le loup et le chien ( l13 à l19 et l33 à l44). Dans cette fable la compréhension de la morale est facilitée par le dialogue entre le chien et le loup. Dans la deuxième fable > le dialogue est situé à la fin de la fable (l11 à 17). C’est le lion qui récite la morale ce qui facilite la compréhension de ce qu’il souhaite nous

agite malencontreusement sa baguette magique vers le petit loup qui se retrouve tout d’un coup avec la robe de Cendrillon sur lui. Le petit loup se trouve tellement beau qu’il décide d’aller au bal à la place de Cendrillon. La bonne fée est tellement contrariée qu’elle en oublie pourquoi elle était venue jusqu’à ce qu’elle entende Albert crier au secours c’est alors que d’un coup de baguette magique elle transforme le grand méchant loup en une toute petite chenille gentille. Toutes deux retournent

EXPOSE SUR LE FENNEC L’origine du fennec : A l’origine, le fennec est un petit renard qui vit au Sahara. Il fait partie de la famille des canidés comme le renard, le chacal, le chien, le loup et aussi le géant chihuahua d’Afrique. C’est un mammifère. L’habitat : Le fennec vit dans le Nord de l’Afrique, dans le désert du Sahara, en Arabie. Son abri est son terrier, bien creusé dans le sable ou dans des petites grottes. Le sable frôle les 70 °C. Taille et poids : Il mesure 20 cm de hauteur

croyez leur donner la cigale comme exemple ; et point du tout , c'est la fourmi qu'ils choisiront . On n'aime point à s'humilier : ils prendront toujours le beau rôle " Cette théorie peut être validée avec la fable du Corbeau et le Renard , et le Loup et l'Agneau . Les personnages mis en valeur indirectement par La Fontaine sont les plus faibles . Hors les enfants ne sont pas attirés par la faiblesse et voudront triompher .

royaume, organise un grand festin où se retrouvent tous les animaux. La fable de Phèdre (« Leo regnans », IV, 14) étant incomplète, La Fontaine se serait plutôt inspiré de Jacques Régnier (Apologi Phaedrii, 1ère partie, fable 33, « Le Lion, l’Âne, le Loup et le Renard », 1643) dont la moralité était la suivante : « Au même titre que le mensonge, il est nuisible de dire la vérité. Il en sait long, celui qui est muet dans ses flatteries. ». C’est la même morale que reprend La Fontaine. Il s’agira de voir