Lucien Leuwen

À Civitavecchia, il s'ennuie et part voyager. Il ne réussit pas à terminer les œuvres qu'il commence (on reconnait spontanémment ici : Souvenirs d'égotisme,Lucien Leuwen...). Après avoir achevé son dernier chef d'œuvre, La Chartreuse de Parme en 1839, il meurt à Paris dans la nuit du 22 au 23 mars 1842 par une attaque.

dont il ne profite pas, ayant été nommé consul à Civitavecchia par le gouvernement de Juillet. Malgré l'ennui dans lequel le plongent ses nouvelles fonctions. Ses romans de formation Le Rouge et le Noir (1830), La Chartreuse de Parme (1839) et Lucien Leuwen (inachevé) ont fait de lui, aux côtés de Balzac, Hugo, Flaubert ou Zola, un des grands représentants du roman français au XIXe siècle. Dans ses romans, caractérisés par un style économe et resserré, Stendhal cherche « la vérité, l'âpre vérité »

confiance, qui importa ce rite à Naples, fin 1809. Il participa sans doute à l'unification secrète des divers groupes italiens sous l'égide de la Carbonaria. L'inquiétude du pouvoir vis-à-vis de ce mouvement transparaît dans plusieurs passages de Lucien Leuwen de Stendhal. À la revendication d'une monarchie constitutionnelle libérale venait s'ajouter la volonté d'unité et d'indépendance nationale. Après 1817, le carbonarisme entretint une agitation endémique dans la péninsule. Elle débuta par le soulèvement

pathétique de la fin du pouvoir impérial. Le poète alimente ainsi la légende populaire et littéraire qui entoure Napoléon, et dont on trouve des traces aussi bien dans les rêves des personnages de Stendhal (Julien dans Le Rouge et le Noir, Lucien dans Lucien Leuwen) que de Balzac (Max et Philippe dans La Rabouilleuse...). Hugo fut sans doute marqué par cet épisode de la Garde, propre à émouvoir son imagination. Il le reprit dans Les Misérables en 1862. On peut même se demander si l'un des derniers

• Armance. Quelques scènes d’un salon de Paris en 1827, Paris, 1827 • Le Rouge et le Noir, Paris, 1831 • Mémoires d’un touriste, Paris, 1838 • La Chartreuse de Parme, Paris, 1839 Œuvres posthumes • Souvenirs d’égotisme 1892 et 1950) • Lucien Leuwen, inachevé (1894 et 1926) • Vie de Henri Brulard (1890 et 1949) • Lamiel, inachevé (1889 et 1928) • La Rose et le Vert (1937)

nommé en 1831 à Civitavecchia où il trouve un climat plus serein mais éprouve également un profond ennui, malgré la proximité de Rome. Il entreprend durant cette période de grands livres inachevés Une position sociale (1832), Souvenirs d’égotisme, Lucien Leuwen (1834-35), Vie de Henry Brulard (1835-36). Il obtient un congé de trois ans en France et retrouve le milieu parisien qui le stimule, Chroniques italiennes, Mémoires d’un touriste (1838), il conçoit en 1838 La Chartreuse de Parme qui paraîtra le

Racine et Shakespeare en 1823, et la Vie de Rossini la même année ; il passe ensuite au psychologique avec De l’amour en 1822, avant de se consacrer au roman. Ses romans de formation Le Rouge et le Noir (1830), La Chartreuse de Parme (1839) et Lucien Leuwen (inachevé) ont fait de lui, aux côtés de Balzac, Hugo, Flaubert ou Zola, un des grands représentants du roman français au XIXe siècle. Dans ses romans, caractérisés par un style économe et resserré, Stendhal cherche « la vérité, l'âpre vérité »

doit être soulignée: Il fut l'âme, avec Briot, des insurrections en France et en Italie, en Belgique et jusqu'en Pologne, à la tête de la Haute Vente. L'inquiétude du pouvoir vis-à-vis de ce mouvement transparaît dans plusieurs passages de Lucien Leuwen de Stendhal. À la revendication d'une monarchie constitutionnelle libérale venait s'ajouter la volonté d'unité et d'indépendance nationale.

Molinchart en 1855 * Les aventures de mademoiselle Mariette en 1853 * Henri BEYLE sous le pseudo littéraire «  Stendhal » est né en 1783 et décédé en 1842. Voici des exemples des ces œuvres : * Le rouge et le noir en 1830 * Lucien leuwen en 1834 * La chartreuse de Parme en 1839 * Honoré de BALZAC est né en 1799 et mort en 1850. Il comptait et compte toujours parmi les plus grands littéraires réalistes. Voici des exemples de ces œuvres : * Le père Goriot en 1835

monarchie de juillet pour les romans Lucien Leuwen de Stendhal et La peau de chagrin de Balzac, la révolution de 1848 pour L'éducation sentimentale de Flaubert. Par l'intermédiaire de leurs héros, au fil de leur ascension, les auteurs réalistes critiquent la politique de leur époque où l'argent est tout: les grands banquiers sont rois et dirigent à leur guise les gouvernants. « Le ministre est fait pour m'attendre quand il le faut » dit le riche banquier Leuwen à son fils. « Il a, ma foi, plus affaire