Lucius Junius Brutus

prend peur et s’enfuit en Égypte. Mais malheureusement pour lui, il fut assassiné, et sa tête fut rendu à César. Scipion et Caton, eux, partent en Afrique dans le but de recréer une armée sans se laisser abattre par cette défaite. Il reste Cicéron et Brutus, qui n’ayant pas pris part au combat, se rend à César. César, quant à lui, ne décide pas d’en rester là, et part continuer sa lutte en Afrique.

à Atticus, son ami et banquier Ad Familiares, lettres à ses amis et à ses clients, Sulpicius, Ligarius, Marcellus, Trebatius Testa, Cælius Rufus, Caton, etc Ad Quintum, lettres à son frère Quintus Tullius Cicero Ad Brutum, lettres à Marcus Junius Brutus

Mais il gardera un souvenir pour le moins mitigé de ses leçons avec le grammairien Lucius Orbilius Pupillus. Horace a environ dix-huit ans lorsque son père l'envoie à Athènes, pour y couronner son cursus par l'étude du grec et de la philosophie. Horace est justement en Grèce lors de l'assassinat de Jules César en 44 av. J.-C.2. Il s'enrôle alors dans l'armée des « Libérateurs » et se fait si bien remarquer de Brutus que celui-ci lui confie le commandement d'une légion3. Lors de la première bataille

pays. C'est lui qui s'opposa au Sénat et afficha clairement sa volonté d'affronter Pompée en franchissant le Rubicon et en prononçant ces célèbre paroles «Alea jacta est» (le sort en est jeté) ! Ce sont ses sénateurs et son fils adoptif Marcus Brutus qui l'on tué le 15 Mars en 44av JC dans le sénat sous prétexte de lui rendre hommage. Le premier sénateurs qui le trahis fut Cimber Tillius c'est lui qui immobilisa César.Ensuite l'un des deux frères Casca le prit par derrière en le blessant un peu

vengance , une revanche de Pompée envers César . Les conjurés sont regroupés autour de césar au premier plan dans une sorte de pyramide qui a pour sommet la statue de Pompée. Ce sont des sénateurs sous les ordres du fils adoptif de César, Marcus junius Brutus qui est présent parmi les conjurés . Ils assassinent César pour préserver leurs privilèges et sauver la république . Une ligne diagonale sépare les conjurés des témoins.impuissants Elle suit la lumière (du soleil) qui met en avant les conjurés

de ton évasion ; elles ont été renouvelées par le décret d’accusation qui te concerne ; ils devaient bien cette atrocité à ton courage ! Mais, dès que je t’ai su au Calvados3, j’ai repris ma tranquillité. Continue, mon ami, tes généreux efforts ; Brutus désespéra trop tôt du salut de Rome aux Champs de Philippes4 ; tant qu’un républicain respire, qu’il a sa liberté, qu’il garde son énergie, il doit, il peut être utile. Le Midi t’offre, dans tous les cas, un refuge ; il sera l’asile des gens de bien

de César Caius Julius Caesar naît à Rome en 100 avant JC, le 13 du mois Quinctilis, appelé plus tard Julius (d’où le mois de juillet) en son honneur. Il mourra assassiné le 14 mars 44 en pleine réunion du sénat par Brutus . La famille de César, les Iulii, prétendait descendre d'Iule, fils d’Énée, lui-même fils de Vénus. Iule était un des ancêtres de Rémus et Romulus, les fondateurs légendaires de Rome. Par son père César est donc d'origine patricienne. Mais par sa

conspiration contre lui. César est assassiné de 23 coups de poignard, le 15 mars en 44 av J.-C, par cette conspiration au milieu du Sénat. Parmi les principaux conjurés était Marcus Junius Brutus – son fils adoptif, qu'il avait comblé de bienfaits. C'est lui qui donna le coup ultime. La légende raconte que voyant son fils Brutus, parmi ses meurtriers, il prononça au moment de mourir « Tu quoque mi fili » (‘toi aussi mon fils’.).

comploté contre lui, lui portent alors 23 coups de poignard. César, avant de succomber aurait dit à Marcus Junius Brutus, son fils faisant parti des assassins « Tu quoque mi fili ». (Brutus aurait donner le dernier coup de poignard. Par cette réplique il voulait dire, soit : « Toi aussi mon fils, tu m'as trahi », soit : « Toi aussi mon fils, j'espère que tu subiras le même sort ». Brutus se suicidera.) V. • La fameuse devise : « Veni, vedi, vici » •Son nom dans notre calendrier → « juillet »

en Hispanie poursuivre la guerre civile, il laisse Brutus commander la flotte et Caïus Trebonius poursuivre le siège. La flotte césarienne est basée près d'une île proche de Massalia. Dès que la flotte pompéienne est prête, les Massaliotes ajoutent aux dix-sept galères beaucoup de barques pourvues d'archers et de combattants albiques et Domitius fait monter sur d'autres navires des pâtres qu'il a amené d'Italie. Et cette flotte vient attaquer Brutus. Mais Jules César a prévu pour cette flotte, l'élite