Lucius Junius Brutus

l'âme du futur Empereur . Sans négliger les enseignements du platonisme et du péripatétisme, que lui donnèrent Maxime de Tyr et Claudius Severus, ses maîtres favoris furent néanmoins les représentants les plus attitrés de la doctrine du Portique : Junius Rusticus, qui lui fit connaître les écrits d'Epictète, Apollonius de Chalcédoine, Sextus de Chéronée, le neveu de Plutarque . Mais entre tous les maîtres de grammaire, de rhétorique et de philosophie qu'eut Marc-Aurèle, le plus illustre, le plus éloquent

"coupe à la Titus" désigne une coupe masculine ou féminine aux cheveux courts. C'est l'acteurTalma qui popularisa cette coupe en jouant dans des pièces portant sur des sujets de l'époque antique romaine. Titus désigne soit l'un des fils de Lucius Junius Brutus, sujet d'une pièce de Voltaire jouée par Talma en 1787, soit l'empereur de la dynastie des Flaviens selon la mode antiquisante de l'époque (il existe également une coupe de cheveux dite "à la Caracalla"). 65. ↑ Amédée Pichot, 1873, Napoléon

en fondant Ostie. Les trois derniers rois sont des rois étrusques. Tarquin l’Ancien est un grand bâtisseur, Servius Tullius est un bon roi, Tarquin le Superbe est un tyran odieux. Son fils ou neveu, Sextus, viole Lucrèce. Elle le déclare à son mari Brutus qui renverse le roi et assassine le neveu. Lucrèce ne supporte pas son déshonneur et se suicide (prétexte artistique pour les peintres ultérieurs de montrer la constance conjugale sous les traits d’une femme nue ou dépoitraillée s’enfonçant un poignard

et là encore on va voir la violence qui est lié au sexe, et c’est un viol, celui de Lucrèce (une jeune noble romaine), violée par le fils de Tarquin, qui aurait enclenché la révolte de l’aristocratie et entraîné la révolution par un certain Lucius Junius Brutus, établissant ainsi la liberté et le consulat. Vers 509 avant J.-C., on a alors la chute de Tarquin et l’instauration de la république. Cette république est liée à un sursaut de l’aristocratie romaine contre une nomination étrangère et tyrannique

va mécontenter le patriciat. Mais c'est surtout le viol de Lucrèce (jeune noble romaine violée par le fils de Tarquin) qui pousse à bout l'aristocratie et aurait entrainé la révolution conduite par Lucius Junius Brutus qui aurait établi la liberté et le consulat d'après Tacite. Ce Brutus est en fait un personnage fabriqué qui n'a pas réellement existé. En réalité le départ des étrusques et de Tarquin en 509-508 av. JC marque surtout le déclin de la puissance étrusque. Quant à l'instauration

ainsi que faisaient, comme on le rapporte, Domitius et Athénodote 17 ; avoir pour ses enfants une véritable affection. XIV. - De mon frère Sévérus 18 : l’amour du beau, du vrai, du bien ; avoir connu, grâce à lui, Thraséas, Helvidius, Caton, Dion, Brutus 19 ; avoir conçu l’idée d’un état juridique fondé sur l’égalité des droits, donnant à tous un droit égal à la parole, et d’une royauté qui respecterait avant tout la liberté des sujets. Et de lui aussi : l’estime constante et soutenue pour la philosophie ;

de ces juristes passèrent à la postérité. Pomponius ( Digeste, 1, 2, 2, 39 ) cite trois jurisconsultes de la seconde moitié du IIe siècle avant Jésus-Christ, qu'il considère comme les fondateurs du jus civile : Marcus Manilius, consul en 149, Junius Brutus, auteur d'un traité en trois livres sur le droit civil, et Publius Mucius Scaevola, consul en 133, et plus tard grand pontife. Ils eurent pour successeurs, à la fin de la République, deux jurisconsultes dont la méthode et les oeuvres renouvelèrent

l’accent sur le caractère vil, mauvais du débauché. 2. Il existe deux Brutus dans l’histoire romaine : le premier Lucius Junius Brutus a tué Tarquin en 509 av. J.-C, après que celui-ci eut violé Lucrèce. Pour s’approcher de Tarquin, il a feint d’être un fou inoffensif. Il a ainsi fait tomber la royauté et fondé la République, en devenant l’un des deux premiers consuls avec Collatin, époux de Lucrèce. Le deuxième, Marcus Junius Brutus est le descendant du premier. Fils adoptif de Jules César, il

l’accent sur le caractère vil, mauvais du débauché. 2. Il existe deux Brutus dans l’histoire romaine : le premier Lucius Junius Brutus a tué Tarquin en 509 av. J.-C, après que celui-ci eut violé Lucrèce. Pour s’approcher de Tarquin, il a feint d’être un fou inoffensif. Il a ainsi fait tomber la royauté et fondé la République, en devenant l’un des deux premiers consuls avec Collatin, époux de Lucrèce. Le deuxième, Marcus Junius Brutus est le descendant du premier. Fils adoptif de Jules César, il

| |     Pomponius (Digeste, 1, 2, 2, 39) cite trois jurisconsultes de la seconde moitié du IIe siècle avant | |Jésus-Christ, qu'il considère comme les fondateurs du jus civile : Marcus Manilius, consul en 149, Junius | |Brutus, auteur d'un traité en trois livres sur le droit civil, et Publius Mucius Scaevola, consul en 133, et | |plus tard grand pontife. Ils eurent pour successeurs, à la fin de la République, deux jurisconsultes dont la | |méthode et les