Lucrece Shakespeare

Nous sommes allés assister à une comédie, « La nuit des Rois » de Shakespeare. Cette version de « La nuit des Rois » est une version moderne mise en scène par Jean-Michel Rabeux, qui fait le pari, réussi, de faire un théâtre Shakespearien, tout en rajoutant une pointe de rock’n’roll. On remarque, au niveau du langage, un coté cru qui donne une dimension moderne à la pièce. Il ne faut tout de même pas oublier, qu’à l’époque de Shakespeare, le langage était tout autant familier mais dans le jargon du

de Rome. En 1827, Berlioz présente y la cantate La Mort d'Orphée, qui est déclarée injouable. l'année 1827 est importante pour Berlioz : la représentation d' Hamlet au théâtre de l'Odéon à Paris l'inspire profondément. Il y découvre à la fois Shakespeare et l'actrice Harriet Smithson, qui lui donnent d'une part maintes idées d'arguments et d'autre part un modèle d'héroïne et un objet de grand amour. En 1828, alors qu'il découvre les symphonies de Beethoven, il obtient le premier des deux seconds

conflit sous –jacent peut-il être exposé au moyen de la confrontation de plusieurs personnages. Roméo et Juliette appartiennent chacun à un clan opposé et cette appartenance est une loi sociale forte, plus forte à Vérone que leur amour réciproque. Or Shakespeare va explorer l’antagonisme de la loi sociale et de la loi naturelle grâce à une série de situations où des confrontations vont nous montrer comment la hiérarchie des normes de l’époque amène au drame. De même, l’utilisation du conflit aide t elle

Mairie de Paris), Frédéric de Golfiem (Théâtre de Nice)… Il a été stagiaire réalisateur aux côtés de René Ferret. Il a mis en scène Les Guerriers de Philippe Minyana, Tartuffe de Molière, Le Joueur d’Echecs de Stefan Zweig, amOuressences d’après Shakespeare, Labé et de Quevedo, Cinna… de Corneille, à4 Tour 2006… Frédéric Rebuffat - scénographie Frédéric Rebuffat crée des décors et des costumes depuis plus de vingt-cinq ans. Il a travaillé pour le théâtre, l’opéra et le cinéma avec notamment Simone

des héros qui ont des personnalités forte, le pouvoir. Elle met en scène une action héroïque capable de provoquer la pitié, la terreur, l'admiration. Dans les tragédies les personnages sont sont très souvent historiques comme Richard III de Shakespeare ; Antigone et Oedipe de Sophocle ou dans un théâtre plus récent. Le plus souvent quand il s'agit de pièce historique c'est également une pièce politique (puisque les personnages de tragédies sont des rois,princes...) DEROULEMENT : La tragédie

qui choisit lui-même la représentation de la mort qu’il lui convient. -Christian Schiaretti : Je ne qualifierais pas cela de chef d’œuvre ! Je vous conseille la lecture de Racine et Shakespeare où Stendhal y compare le théâtre racinien et le théâtre shakespearien afin de montrer la supériorité du théâtre de Shakespeare. Stendhal demande aussi aux dramaturges de renoncer à la versification. -J’ai jam ais compris pourquoi le drame romantique serait « supérieur », comme le prétend si bien Stendhal,

tentative pour définir l'identité de l'homme, pour expliquer ses actes et ses sentiments ambigus. Musset, comme Shakespeare, cherche à représenter le vrai ; le vrai est le mélange de l'ombre et de la lumière, symbolisé par Lorenzo ou Hamlet ; dans Lorenzaccio, tous les personnages sont complexes, et ce, pour représenter la réalité humaine dans sa grandeur et dans sa diversité. Donc, Shakespeare utilise l'entremêlement de l'ombre et de la lumière pour exprimer la complexité du monde réel qu'il cherche

» et « La légende des siècles » qui re transcrit l’histoire de l’humanité. C’est en 1862 qu’il acheva « Les Misérables » qui est le roman « phare » de l’écrivain, et qui aura était succédé par un énorme succès. En 1864, il termine « William Shakespeare » qui est une critique de ce qu’il considéré comme les génies de la littérature romantique. Le Second Empire ayant chuté et la proclamation de la Troisième République faisant apparition, le 4septembre 1870 il est accueilli a Paris et décide de continuer

et qui ne voit dans la vision des êtres et des œuvres qu'un prétexte à la méditation des essences » (T.). L'exemple duquel nait cette réflexion est le regard de T. sur Léonard de Valery (mis en parallèle avec la poésie de Mallarmé ou William Shakespeare de Hugo). En effet ce texte critique « prévient son lecteur que son Léonard n'est pas Léonard, mais une certaine idée du génie pour laquelle il a emprunté seulement certains traits à Léonard, sans se borner à ces traits et en les composant avec

« Les fous passent, la folie reste. » Sébastien Brant « Les fous passent, la folie reste. » Sébastien Brant « Ils ont échoué parce qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve » William Shakespeare dans « Hamlet » « Ils ont échoué parce qu'ils n'avaient pas commencé par le rêve » William Shakespeare dans « Hamlet » « Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune. » Madame Roland, Ministre de l’intérieur française « Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous