Lucrece Shakespeare

si le texte d'une pièce reste le même, plusieurs représentations seront donc complètement différentes. C. Toute pièce peut être interprétée de multiples façons Autre plan : I) Réinterprétation d'un texte théâtral A. Hamlet de William Shakespeare B. Le malade imaginaire de Molière II) Les mises en scène ne sont pas toutes des recréations A. Tartuffe ou l'imposteur de Molière B. Lorenzzacio de Musset III) Une création à part entière A. La Commedia dell'arte B. Les caprices

épouse d'Henri IV. 25 novembre Mariage à Bordeaux de Louis XIII avec Anne d'Autriche, fille du Roi d'Espagne, Philippe III. 25 novembre Samuel Champlain devient Lieutenant Général du Canada (Nouvelle France). 1616 23 avril Décès de William Shakespeare, célèbre écrivain dramaturge anglais. Auteur entre autre de Hamlet prince de Danemark, Othello le maure de Vénise, Roméo et Juliette, Henri V, Antoine et Cléopâtre, Le Songe d'une nuit d'été.... Décès de Michel Cervantes, auteur de Don Quichotte

Les Batailles du drame romantique I. La genèse du drame romantique Les romantiques prennent pour première source d’inspiration les œuvres de William Shakespeare. Le désir de renouveler le théâtre français se traduit par la recherche d’un nouveau genre théâtral en rupture avec les règles classiques. Shakespeare crée des personnages ambigües, souvent proche de la folie tel que celui d’Hamlet dans le drame du même nom. C’est notamment de ce personnage dont vont s’inspirer les romantiques pour créer

comédiens. Mais grâce au costume, il nous est plus facile, de reconnaître les personnages. Si l’on remonte plus loin, on remarque que le métier de comédien était exclusivement réservé aux hommes. Ainsi, lorsque vous alliez voir une pièce de William Shakespeare au XVIème et XVIIème, tous les acteurs étaient des hommes. Le costume permettait au spectateur de savoir si tel ou tel acteur jouait un homme ou une femme. Le metteur peut s’exprimer à travers la mise en scène et donc le costume. Parfois, il peut

premier prologue puis elle y joue un rôle d’une importance capital car c’est la clé de l’histoire et que son rôle monte crescendo pour faire allier suspens et peur aux spectateurs. La fatalité n’est pas uniquement présente dans cette tragédie, Shakespeare en écriera beaucoup d’autres durant le cour de sa vie.

Resté seul avec son amante, Lysandre lui explique que « l’amour vrai n’a jamais suivi un cours facile »[8]. Il expose les diverses entraves inhérentes à l’amour : la différence d’âge, de rang. Hermia est à chaque fois horrifiée. Par ce dialogue Shakespeare critique avec une ironie habile les mariages arrangés. Les amants concluent qu’ils doivent supporter les affres du destin, faute de pouvoir y échapper. Lysandre propose alors de s’enfuir chez sa tante, loin d’Athènes, où ils pourront se marier.

et de Rome". Diderot et Beaumarchais sont les deux noms que la postérité retient. Au XIXème siècle STENDHAL a publié une oeuvre de réflexion (Racine et Shakespeare - 1825) pour mettre en regard Racine et Shakespeare, les deux grands dramaturges (français et anglais). Il donne sa préférence à Shakespeare et imagine le genre de la TRAGEDIE ROMANTIQUE basée sur l'histoire et écrite pour le peuple. Il semble important que le théâtre corresponde aux préoccupations des spectateurs

Réflexion sur le thème et les œuvres Question : Macbeth est-il confronté à un mal réel ? Dans Macbeth, Shakespeare stimule notre imagination et nous fait comprendre que le mal est la trame de fond de toute la pièce, à travers le décor, l’intrigue, les trois sorcières, Lady Macbeth et Macbeth. C’est ce dernier qui nous intéresse et sa relation avec le mal. En effet, la question qui se pose est s’il est confronté à un mal réel ou non. Pour répondre, à cette question, il faut d’abord déterminer

Allemagne (Novalis, Wackenroder, Tieck, Kleist) avant d’arriver en Angleterre (Blake, Wordsworth, Coleridge, Byron, Shelley, Keats). À la fin du 16ème siècle, les auteurs de théâtre romantique se réfèrent aux écrivains anglais suivant : William Shakespeare, Stendhal et Alfred de Vigny. Le Romantisme s’oppose d’abords au Classicisme, qui lui cherche à expliquer les passions de ses héros et héroïnes par la raison, puis aux Lumières qui s’appuient sur des découvertes scientifiques. Pour la bonne raison

la violence d’une passion représentée comme cannibale, où la dévoration prend la place des mots. Conclusion. Racine donc touche avec cette scène aux limites de la représentation. La scène de folie, qui rappelle le théâtre baroque (Shakespeare, folie du Roi Lear, Ophélie ou Hamlet), est un défi pour les metteurs en scène, comme elle est un défi pour le langage. On peut voir dans ce dénouement une dénonciation des passions (les personnages ont été punis) mais aussi une certaine jouissance