Lupanar

temple de Jupiter et entouré de divers bâtiments publics (horreum ou un bâtiment de stockage de blé, le macellum ou marché couvert, les offices municipales, un comitium, des temples et le bâtiment d’Eumachia, et, dans une petite ruelle derrière, le lupanar). Ici et là on voit les dégâts et réparations liées au tremblement de terre de 62. La via dell’Abbondanza (avec une fontaine décorée d’une femme portant la corne d’abondance) mène à l’est. Longue de 600 m, cette rue est flanquée de maisons et de boutiques

sanglot des Infâmes, La haine des Forçats, la clameur des Maudits; Et ses rayons d'amour flagelleront les Femmes. Ses strophes bondiront: Voilà! voilà! bandits! - Société, tout est rétabli: - les orgies Pleurent leur ancien râle aux anciens lupanars Et les gaz en délire, aux murailles rougies, Flambent sinistrement vers les azurs blafards! Mai 1871. Les Mains de Jeanne-Marie Jeanne-Marie a des mains fortes, Mains sombres que l'été tanna, Mains pâles comme des mains mortes. - Sont-ce

lorsque c’est elle qui voulait obtenir l’annulation d’un contrat. Ex : Arrêt 1er chambre civile 4/01/56. Contrat de bail, le bailleur découvre par la suite que le locataire n’a conclut se contrat que dans l’intention d’installer dans les lieux un lupanar. (Maison clause). Le bailleur, saisie les juges pour faire annuler la convention et cette nullité lui est refuser qu’au motif de la conclusion du contrat, le motif immorale n’était pas connu de lui. Lorsqu ‘elle est en demande la demande lui est refuser

l’édition des Fleurs du Mal de 1861, où la ville devient la maîtresse du poètequi se prostitue à son tour en s’enivrant d’elle : Le coeur content, je suis monté sur la montagne/ D'où l'on peut contempler la ville en son ampleur, /Hôpital, lupanar, purgatoire, enfer, bagne, /Où toute énormité fleurit comme une fleur. /Tu sais bien, ô Satan, patron de ma détresse, /Que je n'allais pas là pour répandre un vain pleur; /Mais comme un vieux paillard d'une vieille maîtresse, /Je voulais m'enivrer

filles, Prodigues de baisers et riches de santé, Dont le flanc toujours vierge et drapé de guenilles 4- Sous l'éternel labeur n'a jamais enfanté. Au poète sinistre, ennemi des familles, Favori de l'enfer, courtisan mal renté, Tombeaux et lupanars montrent sous leurs charmilles 8- Un lit que le remords n'a jamais fréquenté. Et la bière et l'alcôve en blasphèmes fécondes Nous offrent tour à tour, comme deux bonnes soeurs, 11- De terribles plaisirs et d'affreuses douceurs. Quand veux-tu

s’habituaient à vivre sans rêves, sans leurres, sans faux-fuyants, se décidaient à prendre leur angoisse à bras-le-corps, ils finiraient à produire des individus capables de les guérir.» (page 311). - «Il faut […] mettre la hache dans les nids, les lupanars et les lits conjugaux.» (page 312). Elle déprécie le plaisir dans cette lapalissade morose : «Quand deux paillards ont atteint le septième ciel, il faut qu’ils reviennent sur leur pas. Et on ne peut revenir sur ses pas du septième ciel qu’en tombant

j’ai vu de ce vieillard dans la chambre à coucher de Gatsby, un homme grisonnant, au teint fleuri, au visage dur et vide – le pionnier débauché qui, pendant une phase de la vie américaine, avait ramené sur la côte orientale la sauvage violence des lupanars et des tavernes de la frontière. Indirectement, c’était à Cody que Gatsby devait de boire si peu. Parfois, au cours d’une fête joyeuse, des femmes 187 frottaient ses cheveux de champagne ; quant à lui, il avait pris l’habitude de ne jamais toucher

semaine pour vérifier qu’il ne se trompait pas de cheval ; toujours sans paye. À la fin, il me souhaita la bienvenue dans sa confrérie. En vérité, le boui-boui n’était pas une gargote comme on en voyait à foison dans les faubourgs, mais un lupanar clandestin, une sorte d’auberge interlope empestant le traquenard et la gnôle frelatée où venaient se vautrer des putains pachydermiques en compagnie de matelots aux accents inconnus qu’elles déplumaient savamment au détour d’une passe bâclée.

j’ai vu de ce vieillard dans la chambre à coucher de Gatsby, un homme grisonnant, au teint fleuri, au visage dur et vide – le pionnier débauché qui, pendant une phase de la vie américaine, avait ramené sur la côte orientale la sauvage violence des lupanars et des tavernes de la frontière. Indirectement, c’était à Cody que Gatsby devait de boire si peu. Parfois, au cours d’une fête joyeuse, des femmes frottaient ses cheveux de champagne ; quant à lui, il avait pris l’habitude de ne jamais toucher à

piscine, un gymnase, des salles de réunion, une bibliothèque, des boutiques et un jardin pour la promenade. Mais Sénèque, dès les années 60, reprochait aux riches propriétaires de se bâtir des thermes luxueux. Peu à peu, à Rome ou à Baïes, bains et lupanars deviendront synonymes. « Le sage n’ira pas à Baïes, conclut le moraliste, parce que c’est la retraite du vice. » Quant à Juvénal, son admirateur ascétique, il vécut plus de 80 ans, âge vénérable s’il en est. Source : Juvénal, Satires, X. 38