Lutte antiaérienne

efforts, alliés à ceux de nombreux collaborateurs, permirent la création à Londres, en 1864, de l'Association internationale des travailleurs connue sous le nom de Ire Internationale . Les huit dernières années de sa vie furent marquées par une lutte incessante contre des douleurs physiques qui l'empêchèrent de mener à bien ses travaux politiques. Au cours de cette période, Marx entretint des rapports très étroits avec les révolutionnaires russes de la tendance «Volonté du peuple» et évoqua la

la base du développement du mouvement ouvrier contemporain. Ce Manifeste, publié à la veille de la révolution de Février 1848, fut adopté par la première Internationale qui se tint à Londres en 1864. L’idée principale de l’ouvrage est la lutte des classes dominantes contre les classes dominées, qui avait atteint une étape où le prolétariat ne pouvait plus se libérer de la bourgeoisie qui l’exploitait. Il ne s’agit plus de critiquer la situation des travailleurs ni d’élaborer des projets

particulièrement bien les deux Marx. En effet, la critique de la valeur et du fétichisme se révèle là totalement incompatible avec le Marx du mouvement ouvrier. En même temps que la notion positive et supra-historique de travail, c’est aussi le motif de la lutte des classes menée dans l’enveloppe capitaliste qu’il remet en question. Car, toute critique qui s’adresse au système de référence commun et global sous sa forme figée d’argent doit aussi se pencher sur les points communs du travail abstrait. Dans les

Nos filiations : les Internationales ouvrières Les militants de Lutte Ouvrière s’inscrivent dans une filiation politique, c’est-à-dire un ensemble de combats, d’idées et de traditions. Cette filiation commence avec Karl Marx et Friedrich Engels qui ont établi leur conception du socialisme sur l’idée que la lutte des classes est le moteur de l’histoire et que le prolétariat doit renverser la bourgeoisie. 1. L’Association Internationale des Travailleurs (1864-1876) L’histoire du mouvement

l’histoire, est devenue marginale. La remise en cause des cadres conventionnels de la politique s’est accompagnée après Mai 68 d’un investissments des « NMS » dans les réseaux de la vie qutoidienne, à travers des « fronts secondaires », alternatifs à la lutte des classes et à la conquête du pouvoir central. Féminisme, logment, écologie, solidarité internationale, consommation, défense des droits des migrants, démocratie locale, tiers-secteur de l’économie … les causes ne manquent pas, mais elles ne se ramènent

sociaux |Programme |Notions essentielles |Notions complémentaires | |Mutations du travail et conflits sociaux |Classes sociales, syndicat, rapports sociaux |Lutte des classes | Mutations du travail liées à l’industrialisation et le conflit de classes La classe ouvrière a longtemps été un acteur central des conflits sociaux : L’industrialisation a permis le développement d’un

* Richesse redistribuée par la force lutte des classe * Eco orientée par l’état : VSNKH C) La déviance : stalinisme prend le pas sur le marxisme ; idéologie nouvelle pour une éco assujettie * Strictement planifiée : gosplan/plan quinquennaux * Une production étatisée orientée sur certains secteurs : Surdvlpt de l’industrie lourde= industrie industrialisante et Surdvlpt politique * Une richesse spoliée et accaparée :la lutte des classes est devenu une chasse au koulak/

recherches historiques et économiques, puis est journaliste et c'est un révolutionnaire. Il ne faut pas figer la pensée de Karl Marx. Il a développé la théorie du matérialisme historique qui est une vision de la société fondée sur une opposition, une lutte entre deux classes sociales majoritaires et qui selon lui a toujours existé: - sociétés antiques: conflit entre les patriciens et les plébeins. - sociétés moderne: conflit entre la bourgeoisie et le prolétariat. La société est fondée sur deux grands

beaucoup d'organisations restées jusque-là dans l'expectative. 1906 : Charte d'Amiens : cette charte adoptée au congrès de la CGT, donne au syndicalisme confédéral quelques uns de ses traits spécifiques : la lutte des classes, la lutte quotidienne pour des améliorations immédiates mais aussi la lutte pour la disparition du salariat et du patronat, ainsi que son indépendance vis-à-vis des organisations politiques. Cette Charte reste aujourd'hui une référence pour la plupart des organisations issues du

pyramide sociale. II. Classes et stratifications sociales a) Les classes sociales selon Karl Marx Pour KM, à tout époque il y a eu des classes sociales dont les intérêts pouvaient être divergeant voire opposés. L’histoire n’est qu’une éternelle lutte des classes où les classes dominées visent à renverser l’ordre établit par les classes dominantes souvent par la violence légitime d’un Etat. M voit dans nos sociétés capitaliste une division de plus en plus marquée entre le prolétariat et la bourgeoisie