Lutte du sacerdoce et de l'Empire

I) Institutions et sources du droit à l'époque franque Chapitre 1er : De l'empire romain au royaume Franc Section 1ère : La colonisation de la gaule par Rome Paragraphe 1 : Les étapes de la colonisation Paragraphe 2 : Les effets de la colonisation Section 2 : Les invasions barbares Paragraphe 1 : Le déroulement des invasions Paragraphe 2 : Les différentes tribus barbares installées dans l'empire Paragraphe 3 : L'organisation barbare Section 3è : Le triomphe des francs Paragraphe

la place au-dehors et au-delà de la raison. « C’est l’idée-mère de la religion, écrit H. Hubert. Les mythes et les dogmes en analysent à leur manière le contenu, les rites en utilisent les propriétés, la moralité religieuse en dérive, les sacerdoces l’incorporent, les sanctuaires, lieux sacrés, monuments religieux la fixent au sol et l’enracinent. La religion est l’administration du sacré. » On ne saurait marquer avec plus de force à quel point l’expérience du sacré vivifie l’ensemble des

 Les luttes du sacerdoce et de l'empire Ottoniens qui ont inauguré la période de la grande Allemagne médiévales. L'ascension vase poursuivre après la dynastie puisque l'apogée politique se situe a peu près à la fin du 12 ème siècle. Les empereurs ont plusieurs types de problèmes, rapports conflictuels avec les duchers, qui vont redonner du fil a retordre après les ottoniens, tandis que les capétiens se renforcent. Deuxième moitié 13 ème, tel morcellement du pouvoir on arrive à 300 états allemands

Sous son influence, le christianisme se détache du judaïsme, de ses rites et de ses pratiques, et connaît alors une diffusion considérable dans le monde romain. Diffusion et organisation du Christianisme À partir du I° siècle, les habitants de l’Empire romain se détachent de la religion officielle. Celle-ci est une religion-contrat, rites mécaniques contre résultats, et ne peut satisfaire les grandes interrogations religieuses des hommes. Les gens de l’époque semblent s’être interrogés de manière

l’opposition entre le pouvoir central romain et ses alliés italiens principalement sur la question de leur statut politique, est pour lui une nouvelle occasion de montrer ses talents militaires. Rome accorde la citoyenneté à tous les Italiens, mais la lutte entre les deux hommes devient ouverte sur la question de leur intégration dans les tribus. Au même moment, la province d’Asie est attaquée et Sylla, élu consul pour 88 est chargé de cette guerre. Pendant son absence, le parti populaire réélit une nouvelle

l’état dont il est le représentant. Il est ce que l’on appelle l’administrateur de la Res Publica. D’une part ce pouvoir est conçu comme une charge publique, d’autre part elle ne confère aucun droit de propriété. L’empereur n’est pas propriétaire de l’empire, il ne peut disposer du trésor public ou du domaine public, les bien publics sont inaliénables. C'est-à-dire qu’il n’a pas le pouvoir de les transmettre ou de les céder librement. On verra comment les germains ont fait transmettre leur héritage

Réforme protestante puisqu'il inquiet pour son salut. Acteur : Le premier pape à voir qu'il y a un problème au saint de la chrétienté est Paul III (pape de 1534 à 1549) cause -La religion qui était source d'unification de l'Europe après la chute de l'empire romain au Moyen-âge provoque maintenant la colère de la population. -Après les nombreux bouleversements du Moyen-âge, la population n'est plus certaine que l'Église puisse les sauvés d'un malheur. -L’attitude souvent scandaleuse des membres du

1ère moitié du 16ème siècle. En 1506 : il hérite des Pays Bas, puis de 17 autres couronnes, comme l’Espagne en 1516 et les possessions Autrichienne en 1519, etc. Le royaume de France, a peur d’être pris en tenaille par les possessions Habsbourg. L’empire et en effet très éclaté. Une société d’ordres : La hiérarchie sociale est, comme « posé par Dieu ». Il existe 3 « estats » ou ordres : En 1515 : le clergé, environ 100 000 séculiers et environ 10 000 réguliers. La noblesse : entre 120 000 et 200 000

Francie Orientale, l'actuelle France. Il est essentiel de saisir le contexte politique d'alors pour comprendre la portée de ce texte. En 843 le le traité de Verdun entérine le partage définitif de l'empire entre les fils de Louis le Pieux, malgré que ce dernier ait exprimé sa volonté de transmettre tout l'empire a son fils ainé pour assurer la supériorité matérielle de la couronne sur les grands laïcs et ecclésiastiques qui menacent constamment le pouvoir. Lothaire, garde ainsi le titre impérial parce

statues en particulier) qui renseignent sur le panthéon, les rites, les fidèles, le rapport au sacré). On note en particulier les inscriptions votives trouvées dans les sanctuaires ruraux de tradition punique dont la fréquentation a perduré sous l’Empire et qui nous montrent les influences réciproques de la tradition locale et des apports romains et orientaux. Certaines d’entre elles (stèles de N’gaous) nous précisent le rituel du molchomor (sacrifice de substitution). Les fouilles archéologiques