Lutte libre

différente. Pour Hegel, la totalité de l’Histoire est ordonnée par la réalisation progressive de l’Esprit absolu, qui se joue des passions des "grands hommes" pour les utiliser selon ses propres fins. Pour Marx, c’est une structure plus concrète, la lutte des classes et sa "fin", la libération de toute l’humanité, qui détermine les rapports réels entre les groupes sociaux, indépendamment de la conscience que les hommes peuvent en prendre. Dans les deux cas cependant, l'aboutissement du devenir semble

l'histoire de la lutte des classes, de la domination et des victoires de certaines classes sociales sur d'autres. Et cet état de choses continuera tant que n'auront pas disparu les bases de la lutte des classes et de la domination de classe: la propriété privée et l'anarchie de la production sociale. Les intérêts du prolétariat exigent la destruction de ces bases, contre lesquelles doit donc être orientée la lutte de classe consciente des ouvriers organisés. Or, toute lutte de classe est une lutte politique

Cette conscience de classe se décline en principe de totalité et principe d’opposition ( avoir 1 ennemi commun cf. MARYFLO). Pour définir les classes sociales, le critère le plus important est la conscience de classe. Pour Marx, la lutte des classes est obligatoire. Sans lutte des classes, il ne peut y avoir de classes sociales. Il y a deux types de classes : la classe en soi et la classe pour soi (voir livre p89 doc. 16) l’analyse individualiste en terme de state sociale Il s’agit d’une approche qui

cette classe sociale persiste malgré tout. Extrait du document: Il faut avoir la même place dans le processus de production, avoir une conscience de classe, c'est-à-dire avoir le sentiment d'appartenir à une classe, ainsi qu'être engagé dans la lutte des classes, pour pouvoir constituer une classe sociale « pour soi », lorsque tout ces éléments ne sont pas réunis, il n'y a pas de classe possible d'après Marx. Il y a division de la société, entre la Bourgeoisie et le Prolétariat. Les classes existent

négatives du changement social : effets pervers de la modernisation et du changement social. Les groupes intermédiaires ont disparu laissant l’individu seul face à l’élite. - les modèles de la lutte des classes : . Marx et Von Stein : classe = acteur collectif, organisé, doté d’une représentation et d’une volonté. Lutte des classes = moteur de l’histoire. Marx attribue au prolétariat un rôle politique central de même que Von Stein qui voit dans le mouvement ouvriers et ses efforts d’émancipation l’élément

moment on peut parler d'État (remise en cause du principe de nomadisme/sédentarisme entraînant « mécaniquement » soit une société primitive soit une société organisée en État). Il en arrive à remettre en cause plusieurs définitions de l'État : la lutte des classes apparaît alors inexacte puisqu’elle suppose que l’État est la structuration du rapport de forces entre classes dominantes ayant le monopole de la violence et classes dominées, mais l’essence même de l’État à savoir le monopole de la violence

penseur révolutionnaire allemand prénommé Karl Marx est le fondateur du communisme, durant toute sa vie il réfléchit aux moyens d’organiser une révolte du prolétariat (notament dans Le Manifeste du Parti communiste écrit en 1847). Karl Marx veut une lutte des classes sociales sans déstruction de l’Etat, contrairement aux anarchistes, les ouvriers de tous les pays doivent s’unir pour se révolter et par la suite controler l’Etat ensemble pour créer une société sans distinction sociale. En France, un mouvement

classe se forme. c) Marx a pour la première fois avancé l’idée que les oppositions entre les différentes classes sociales constituent le fil conducteur qui permet de comprendre la succession des sociétés et des périodes historiques. La théorie de la lutte des classes avance qu'exceptées les communautés primitives, toutes les sociétés sont composées de classes en opposition constante et que cette opposition est le moteur de l’histoire. En effet, il dit dans le livre I : « nous rencontrons presque partout

vie des ouvriers imitent de plus en plus celui des cadres. Document 2 : « élévation du niveau de vie et de consommation qui conduit à la disparition des strates de consommation nettement repérables, rendant peu vraisemblable l'intensification de la lutte des classes » ce qui prouve que l'élévation du niveau de vie et de consommation montre que le mode de vie des ouvriers a rattrapé celui des cadres. Document 4 : Nous fait voir la démocratisation des pratiques culturelles et homogénéisation des modes

Les conflits sociaux sont une lutte pour maintenir ou modifier la répartition de l’autorité et non une lutte pour la possession des moyens de production comme le soutenait Karl Marx. l existe pour Touraine dans chaque société un mouvement social et un seul qui incarne non une simple mobilisation mais un projet de changement social. Pour parvenir à ce statut de changement social, une mobilisation doit remplir trois conditions. Un principe d’identité : Qui Lutte ? Un principe de totalité :