Lycée Leconte-de-Lisle

leur vigueur, mais celui qui sera plus tard un galant homme ou un esprit fin, à dix ans, est encore dans les brouillards. » — Maurice Barrès, Sous l’œil des Barbares, 1888. Il termine ses classes élémentaires et poursuit ses études à l'internat du lycée de Nancy. Il y reçoit un « enseignement qui éveille sans exciter », et passe sa vie entre les cours de morale et la lecture des lyriques modernes. En 1878, Stanislas de Guaita lui apporte en cachette les Émaux et Camées, les Fleurs du Mal et Salammbô

musiciens comme Reynaldo Hahn ou Claude Debussy qui mettront d'ailleurs en musique des poèmes de Verlaine. La Biographie de Sully Prudhomme Fils d'un commerçant, René Armand Prudhomme, qui souhaite devenir ingénieur, fait ses études au lycée Bonaparte, mais une crise d'ophtalmie le contraint à les interrompre. Après avoir travaillé au Creusot dans les usines Schneider, il se tourne vers le droit et travaille chez un notaire. L'accueil favorable réservé à ses premiers poèmes au sein de

médiocres au lycée Condorcet. Passionné de dessin et de littérature, il écrit des vers et des nouvelles à la manière d'Edgar Poe. En 1858 (à 14 ans), il envoie à Victor Hugo un poème de sa composition, intitulé La Mort.       A 21 ans, Verlaine est chargé de la critique littéraire dans la revue "L'Art", il écrit des articles élogieux sur Charles Baudelaire et Victor Hugo. Il rencontre les parnassiens, François Coppée, Théodore de Banville, José-Maria de Heredia et Leconte de Lisle. Son père meurt

médiocres au lycée Condorcet. Passionné de dessin et de littérature, il écrit des vers et des nouvelles à la manière d'Edgar Poe. En 1858 (à 14 ans), il envoie à Victor Hugo un poème de sa composition, intitulé La Mort. A 21 ans, Verlaine est chargé de la critique littéraire dans la revue "L'Art", il écrit des articles élogieux sur Charles Baudelaire et Victor Hugo. Il rencontre les parnassiens, François Coppée, Théodore de Banville, José-Maria de Heredia et Leconte de Lisle. Son père meurt

d’une gouvernante allemande, Maria Gerhard, quitte son métier et part s’installer (et se marier) à Londres avec elle et devenir professeur d’anglais. Réformé du service militaire, il décroche son certificat pour enseigner l'anglais. Il est nommé au lycée impérial de Tournon, et ne cesse dès lors de se voir comme un exilé. Durant toute cette période, Mallarmé compose des poèmes dans ce sens : « Angoisse », « Las d'un amer repos... » En 1864, l'écrivain fait la connaissance des félibres, ces poètes

fait la connaissance d'une jeune gouvernante allemande à Sens, Maria Gerhard, née en 1835, et quitta son emploi pour s'installer à Londres avec elle, ayant l'intention de devenir professeur d'anglais. En septembre, il est nommé chargé de cours au lycée impérial de Tournon (Ardèche), où il se considère comme exilé. Il ne cesse durant cette période de composer ses poèmes, comme Les fleurs, Angoisse, «Las d'un amer repos...». Durant l'été 1864, Mallarmé fit la connaissance à Avignon des félibres, poètes

1896. Résumé du recueille Poèmes saturniens Paul VERLAINE, composa les Poèmes saturniens, alors qui n'étais encor lycéen. Ces poèmes sont influencé par des poètes qui lui sont cher comme Victor HUGO, Charles BAUDELAIRE ou encor Charles LECONTE DE LISLE. Ce recueille compte vingt-cinq poèmes regrouper dans quatre chapitres; "Melancholia", "Eaux-fortes", "Paysages tristes" et "Caprices". Le titre de se recueille fait référence à la planète Saturne qui est froide est source de mélancolique. C'est

d'Auguste, Mlle de Kérinou. Entre 1847 et 1855, le jeune Villiers suit des études chaotiques dans diverses écoles de Bretagne ; il est interne au petit séminaire de Tréguier, puis à Rennes en 1848 (dans l’ancien collège Saint-Vincent de Paul), au Lycée de Laval, de nouveau à Rennes, à Vannes (collège Saint-François-Xavier) en 1851 et encore à Rennes. Durant les intervalles, il aurait eu des précepteurs religieux à domicile. Toutefois, il se montre très doué pour le piano et découvre la poésie. En

qui ne s'entend pas avec son beau père, est mis en pension à Lyon, puis au lycée Louis-le-Grand. C'est un élève cynique, singulier, qui éprouve de «lourdes mélancolies», un «sentiment de destinée éternellement solitaire». Bohème et dandysme Pendant trois ans (1839-1841), BAUDELAIRE mène au quartier latin la vie dissipée de la Bohème littéraire. 1. LA BOHÈME. Il y retrouve Louis Ménard, fréquente Leconte de Lisle et Pierre Dupont, se lie avec le Vavasseur, chef de «l'École Normande». Il

principes parnassiens => - Culte rendu à la perfection formelle. - Description souvent exotique ou antique. - Théorie de « l’Art pour l’Art » - 5 Auteurs majeurs: - Théodore de Banville (1823 – 1891) - Théophile Gautier (1811 – 1872) - Leconte de Lisle (1818 – 1894) - Sully Prudhomme (1839 – 1907) - José-Maria de Heredia (1842 – 1805) - Deux textes majeurs => La ville enchantée , poème de De Banville appartenant aux recueils des Odes Funambulesques qui le font être « un poète du bonheur »