Lyre

muse Calliopé, "à la belle voix,", l'enfant, par sa voix, émue le dieu Apollon qui lui fit don d'une lyre à sept cordes. Orphée aprit à en jouer avec l'aide des muses, au nombre de neuf, dont sa mère. Ainsi pour leur rendre hommage il rajouta deux cordes à sa lyre. Orphée avait la possibilité d'émouvoir les êtres inanimés, les arbres ainsi que les rochers le suivaient lorsqu'il jouait de sa lyre, et de charmer les animaux sauvage. Il participa à l'expédition des Argonautes. On l'oublie souvent

célèbre qui ait jamais vécu : Apollon lui fit don d’une lyre et les Muses lui apprirent à en jouer ; il attendrissait les bêtes féroces, il charmait aussi les arbres, les pierres et les rochers par sa musique au point que ces derniers se déplaçaient pour le suivre. Il forma tous les grands musiciens de la mythologie: Musée, Eumolpe, Linos. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu’il rajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux

Le mythe d’Orphée 1) 1. le nom d’Orphée en grec est 'Oρφεύς 2.la mère d’Orphée est Calliope. Calliope veut dire « a la belle voix ». Oui c’est une muse importante 3. c’est Apollon qui lui fit don d’une Lyre. Il l’avait reçu de Hermès. Quand il était jeune. 4.Ils s’est embarqué avec Jason, Chiron et les Argonautes. Il a été utile pour : • que le navire descends de lui même à la mer;  • immobiliser les terribles rochers mouvants, les Symplégades, qui menaçaient de briser le navire;  •

L’oiseau Lyre Deux et deux quatre quatre et quarte huit huit et huit font seize… Répétez ! dit le maître Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize. Mais voilà l’oiseau lyre qui passe dans le ciel l’enfant le voit l’enfant l’entend l’enfant l’appelle Sauve-moi joue avec moi oiseau ! Alors l’oiseau descend et joue avec l’enfant Deux et deux quatre… Répétez ! dit le maître et l’enfant joue l’oiseau joue avec lui… Quatre et quatre huit huit et huit font

langue. La poésie est avant tout un travail sur la langue et les mots visant a exprimer ce que l'auteur veut faire ressentir au lecteur en jouant avec les sonorité, les figures de styles et la musicalité. Dans la mythologie grec, Orphée, un joueur de lyre, après avoir perdu sa femme chanta une poésie contenant toute sa peine et son chagrin. Il chanta tellement bien que Hadès lui donna une chance de venir chercher sa femme aux enfers a une seul conditions, celle de ne pas se retourner avant de sortir

trois : Aédé (le « chant », la « voix »), Mélété (la « méditation ») et Mnémé (la « mémoire »). Ensemble, elles représentent les pré-requis de l'art poétique dans la pratique du culte. À Delphes, elles portent le nom des trois premières cordes d'une lyre : Aigüe (Nété), Médiane (Mésé) et Grave (Hypaté). Cicéron en compte quatre : Thelxinoé, Aédé, Arché et Mélété. La tradition leur attribuait deux résidences : une sur le mont Parnasse, l'autre sur l'Hélicon. C'est Platon (dans Ion) vers 401

n'était revenu d'un tel voyage; seul Héraclès, dont la force était surhumaine, réalisa cet exploit. Orphée n'avait pas la puissance d'Héraclès, mais ses dons de musicien étaient sans égal: on disait que son chant et les sons qu'ils tirait de sa lyre charmaient même les objets inanimés. Une fois parvenu au cœur des Enfers, il se mit à jouer pour Hadès, leur roi, et son épouse Perséphone. Hadès se montrait d'ordinaire insensible aux suppliques des mortels, mais les notes éloquentes d'Orphée

poète, chanteur et musicien fils de la muse Calliope, capable de charmer monstres, animaux et créatures inanimées par le simple son de sa lyre à laquelle Apollon ajoute deux cordes en hommage aux neuf muses protectrices des arts et des lettres dont sa mère fait partie, est anéanti de chagrin à la perte de son amour. Sa tristesse est si grande qu’il prend sa lyre, descend par le Ténare sur les rives du Styx où il charme son gardien : Cerbère le célèbre chien à trois têtes et les Euménides. Lorsqu’il

jouer de la lyre, alors étroitement associé à la poésie. L'art d'Orphée était tellement merveilleux qu'il était capable d'émouvoir la nature elle-même, d'adoucir les bêtes sauvages et d'attirer à lui les arbres et les montagnes. Orphée tomba amoureux de la nymphe Eurydice qu'il épousa, mais cette dernière mourut peu après la noce, piquée par une vipère. Fou de douleur, Orphée descendit aux Enfers afin d'en ramener Eurydice, ce que nul homme n'avait tenté avant lui. Par les accents de sa lyre, il réussit

Certa dei sacro est huius in ore fides. Ad propiora uocor. Quisquis sapienter amabit Vincet, et e nostra, quod petet, arte feret. Tel était le sujet de mes chants quand soudain Apollon m'apparut, et sous ses doigts résonnèrent les cordes d'une lyre d'or; une branche de laurier était dans sa main; une couronne de laurier ceignait sa tête. D'un air et d'un ton prophétiques : "Maître dans l'art folâtre d'aimer, me dit-il, hâte-toi de conduire tes disciples dans mon temple. On y lit cette inscription