Lyre

Série complémentaire de la Légende des siècles Recueils posthumes : 1886 : La Fin de Satan 1891 : Dieu et 1941 Choix de poèmes parmi les manuscrits de Victor Hugo, effectués par Paul Maurice : 1888 : Toute la Lyre (1893, 1893, 1835-1937), 1893 : Nouvelle série de Toute la Lyre 1898 : Les Années funestes 1902 : Dernière Gerbe et 1941 1942 : Océan. Tas de pierres

Lex. des sentiments: « amour », « coeur », « aimé » > 1ere pers. Sing. « je » 1) La passion • ch. Lex. du feu: « soleil ardent », « Brûle », « flambant », « feux verts » → La lumière c'est la vie • personnification: « Juin ton soleil ardent lyre, Brûle mes doigts endoloris » → montre les sentiments d'Apollinaire envers Annie → sensation de chaleur à force de jouer • Oxymore: « Triste et mélodieux » → sentiments contradictoires d'un être passionné / amoureux •« J'erre à travers mon Beau Paris

raison   B.-  René est plus souvent affaibli qu'exalté 1)  champ lexical des émotions négatives a) (mélancoliques, vide, solitaire, tourmenté) --> René tombe dans la dépression   2)  Métaphore a) "notre cœur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes" CB: Faiblesse inévitable CI: Déséquilibre émotif fatal Conclusion: * Confirmation: Mal de vivre propre aux romantiques * Synthèse argumentative: La confusion émotionnelle de René, sentiment d'harmonie avec

Enfers pour tenter de charmer Hadès au sons de sa lyre pour qu'il lui rende sa femme. Il y parvint mais Hadès lui promit de lui redonner sa femme à une seul condition: de na pas se retourner pour la voire lors de leurs remonter dans le monde des vivants. Orphée accepta mais alors qu'ils s'apprêtaient à sortir des Enfers, il se retourna pour voir si sa bien aimée le suivait. Eurydice disparut alors pour toujours. Ce mythe est associé à la poésie par la lyre d'Orphée qui a aussi donner naissance à la poésie

manière de s'en servir". Tout en se moquant, Corbière reprend les contraintes : "pied uniforme, par quatre en peloton, césure, à chaque pieu, la rime, 4 et 4, 3et 3, lyre". Il en respecte apparemment les règles, sauf par l'usage de vers impairs : 8,9,11,12. Il le justifie avec autodérision : "sonnet-c'est un sonnet" et précise "ô lyre, ô délire". Cependant, on ne peut pas parler de ton lyrique, ni élégiaque, ni de réelle esthétique. La forme est là, mais pas le fond. Corbière dénature volontairement

B.- René est plus souvent déprimé qu'exalté 1) champ lexical des émotions négativess a) "mélancoliques", "triste", "soupirs", "tourmenté" --> René sombre dans la dépression 2) métaphore a) "notre coeur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes" --> Fragilité humaine CB: Fragilité inévitable CI: Démence émotive inéluctable. (...) Conclusion: Confirmation: mal de vivre propre aux romantiques exilés Synthèse argumentative: le désordre émotionnel de René

de Thrace et de la Muse Calliope, Poète et musicien. La suite a été inventée par Gustave Moreau puis peinte par lui-même. Le tableau représente une jeune fille, présentée en pied, de trois quarts et le visage de profil portant la tête et la lyre d’Orphée dans ses bras en le regardant. Elle est vêtue d’une tunique verte avec un décor de palmettes qui font référence à la Grèce. A l’arrière plan on voit, un fleuve dirigeant notre regard vers un paysage montagneux. On peut identifier ce fleuve

oracles; invoqué dans de nombreuses cités et notamment à Delphes où on le consultait en interprétant ses réponses à double sens. C'était aussi le dieu de la musique, de la poésie et la patron des Muses.iconographie: souvent en joueur de lyre ou en archer.attributs: la lyre, l'arc.APHRODITE (Vénus): déesse de l'amour et de la beauté. C'est à elle que Pâris donna la pomme de beauté (une des causes de la guerre de Troie). Son fils Eros s'appellait Cupidon à Rome.iconographie: complètement nue ou le buste

vocation de transcrire et de créer : elle permet à l'artiste de mettre en forme ses sentiments par l'expression lyrique (ce mot vient de la lyre, instrument sur lequel s'accompagner le poète Orphée… (Orphée, dans la mythologie grecque, poète et musicien, fils de la muse Calliope et d'Apollon, dieu de la Musique, ou d'Œagre, roi de Thrace. Apollon lui donna la lyre et il devint un si bon musicien qu'il n'avait pas de rival parmi les mortels. Quand Orphée jouait et chantait, il envoûtait les êtres et

littérature sacrée. Aède mythique de Thrace est le fils du roi Œagre et de la muse Calliope (même si Polymnie est parfois citée). Il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux neuf muses, auxquelles appartenait sa mère. Il passe pour être l'inventeur de la cithare. Héros voyageur