Lyre

appelé Orphée et qui ouvre le cortège des poèmes. ( 2vers octosyllabes, et 2vers alexandrins, hommage à la peinture, Hermès trismégiste = 3fois grand). P157 sizain octosyllabique. Dans l’image : Orphée se trouve dans la nature, un jardin, il tient sa lyre, vêtu d’un costume grec, entouré d’animaux. Par rapport au premier poème, les choses se sont allongées. On a plus qu’un divertissement mais une réflexion poétique, déclinée à partir de trois thèmes : - le bestiaire forme un autoportrait poétique

-Comparaison rosée/ vin de vigueur + allitération en v 2) Un enfant poète -référence au merveilleux du conte « petit poucet, égrenais, ombres fantastiques» -Enjambement au v6/7 - Référence au mythe d’orphée comparaison lyre/élastiques -Champ de la poésie: rimes, rimant, muse, lyre, pied( polysémie, jeu de mots) - Pointe du sonnet personnification des souliers, présence du registre lyrique mis en parallèle avec «pied» 3)Un sonnet imprégné de fantaisie - sous-titre du sonnet, défintion du mot fantaisie

qui vous plaira, je l'espère.  (Il découvre le plateau, on voit une grande lyre de pâtisserie.)  RAGUENEAU (ébloui): Une lyre!  L'APPRENTI: En pâte de brioche.  RAGUENEAU (ému): Avec des fruits confits!  L'APPRENTI: Et les cordes, voyez, en sucre je les fis.  RAGUENEAU (lui donnant de l'argent): Va boire à ma santé! (Apercevant Lise qui entre): Chut! ma femme! Circule, Et cache cet argent! (A Lise, lui montrant la lyre d'un air gêné): C'est beau?  LISE: C'est ridicule!  (Elle pose sur le comptoir

la manière de s'en servir".Tout en se moquant, Corbière reprend les contraintes : "pied uniforme, par quatre en peloton, césure, à chaque pieu, la rime, 4 et 4, 3et 3, lyre".Il en respecte apparemment les règles, sauf par l'usage de vers impairs : 8,9,11,12.Il le justifie avec autodérision : "sonnet-c'est un sonnet" et précise "ô lyre, ô délire".Cependant, on ne peut pas parler de ton lyrique, ni élégiaque, ni de réelle esthétique. La forme est là, mais pas le fond.Corbière dénature volontairement

Pénée, le fleuve de son père. Daphné, qui priait le dieu du fleuve de la sauver, sera enracinée à cet endroit et transformée en laurier à qui elle donnera son nom. Apollon, le dieu de la musique et des archers, accrochera une branche de laurier à sa lyre, à son carquois et à la tête des ménestrels. Métamorphoses d'Ovide - Livre I - Daphné (I, 452-567) Fille du fleuve Pénée, Daphné fut le premier objet de la tendresse d'Apollon. Cette passion ne fut point l'ouvrage de l'aveugle hasard, mais

avoir franchi les barrières métaphysiques (vers 12). L’auteur prétend moduler « tour à tour sur la lyre d’Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée ». Le lecteur est donc rendu sensible au parallélisme existant entre l’histoire d’Orphée et la réalité biographique de l’auteur, car tout comme ce dernier, Orphée, après avoir perdu sa dulcinée à jamais, erra dans les bois, jouant sur sa lyre pour les rochers, les arbres et les rivières. Par conséquent nous remarquons trois étapes successives

versification.5. Ce poème est en réalité travailler, le poète fin une simplicité. Il y a des figures de style. SEANCE 11 : 1. Au centre se trouve Appolon accompagner de lyre, à droite se trouve une muse, et à gauche se trouve le poète. On peut également apercevoir deux anges, deux chérubins.2. L’inspirateur est celui qui tiens la lyre, Appolon et l’inspiré est celui qui porte la plume, le poète.3. Le poète dirige son regard vers le ciel car il cherche son inspiration.4. Les références à l’écriture

racontée à la troisième personne du singulier. Le narrateur est extérieur au récit, il ne fait que le rapporter. On peut dire qu’il est spectateur et non un personnage. 5°). Orphée est poète et musicien. Il a le don d’apaiser les gens grâce à sa lyre, ce qui lui permet de participer à la longue expédition des Argonautes commandée par Jason et de les aider à surmonter de nombreuses épreuves. De retour chez lui, il tombe amoureux d’Eurydice. Ils se marient mais le jour de la cérémonie, elle est

la Rose s'allie. Suis-je Amour ou Phoebus ?... Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ; J'ai rêvé dans la Grotte où nage la Sirène... Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron : Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. Gérard de Nerval, Odelettes (1853) Intro: Gérard De Nerval a composé ce sonnet en 1853, au lendemain d'une nouvelle période de troubles mentaux. Il vit désormais sous la menace constante

la pique au mollet. Eurydice en meurt. Orphée est inconsolable. Il décide d'aller chercher sa femme aux Enfers et chante en s'accompagnant de sa lyre. «À son chant, du tréfonds, de l'Érèbe, les fantômes des morts, les ombres transparentes montent aussi serrés qu'oiseaux parmi les feuilles» (Virgile, Les Géorgiques, IV, 471-473). Par le jeu de sa lyre, il charme les démons. Perséphone elle-même est touchée et prend en pitié un homme qui manifeste avec tant d'art l'amour qu'il porte à son épouse.