Lyrisme Universel

pouvoirs du temps, diversité car ce sont toutes les composantes de la nature sauvage qui peuvent être les gardiennes du souvenir. La nature est personnifiée car le poète projette ses sentiments en utilisant l’hypallage « riants coteaux » (v.54). Le lyrisme est caractérisé par : - les répétitions (complément circonstanciels de lieu « dans »), - les anaphores « Qu’il soit » « Que », - les parallélismes « Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages » (v .53), - l’utilisation du subjonctif

personnelle, avant de montrer qu’il décrit un chemin réel et spirituel vers la fille défunte du poète. (annonce de plan) I- La dimension personnelle du poème.   (phrase d’introduction de la partie avec rappel du thème lors de la rédaction)  a) Un lyrisme romantique.  Omniprésence du poète ; dès le second vers première personne du singulier répétée : « Je partirai »(mis en avant par le rejet par rapport au premier vers), « je sais », sur douze vers dix fois répétitions du pronom personnel « Je » ou

pointe à la toute fin du poème car on assiste à une inversion du comparé et du comparant dans ce dernier vers. Qu’il s’agisse du manque affectif, du lyrisme élégiaque ou encore du goût de l’auteur pour les choses simples et sa modestie, ce sont les éléments qui font que ce poème est éminemment nostalgique. Les sentiments exprimés sont universels et peuvent être résumés par le mal du pays. Mais le poète va plus loin que se mal être et affirme clairement sa préférence nationale en faisant l’éloge

la majorité des poèmes2) voire de manière exceptionnelle érotique3. L’amour est ainsi source de bonheur et de joie4. Les poèmes de l’amour sont aussi des poèmes de la nature 5: « nous allions au verger cueillir des bigarreaux ». Le lyrisme amoureux se mêle au lyrisme de la nature sans qu’ils se confondent. Ce n’est pas l’amour malheureux que Hugo chante mais au contraire l’amour comme source de plénitude, de bonheur à deux et de communion avec la nature 6. Le poète exprime la nature et l'amour sous

le « je » du poète est aussi le grand garant des valeurs de la société Transition : La poésie a de multiples formes qui dépassent le simple lyrisme PLAN 2 I. La poésie est l’instrument de l’expression de soi 1)origine de la poésie 2)poésie amoureuse à travers les siècles 3)poésie et lyrisme mélancolique Transition : Poésie = instrument privilégié du lyrisme. Mais est-ce là son unique fonction ? II. La poésie s’exprime à travers de nombreux autres registres 1)poésie épique 2)poésie de l’engagement

d’une âme. - Symbolisme de la synesthésie : Le parfum sensuel de la femme fait naître tout un univers extérieur (une île) et intérieur (lyrisme du poème, expression des sentiments heureux du poète) - Chute : « Se mêle dans mon âme au chant des mariniers » métaphore hyperbolique quasi mystique. Symbiose de l’âme du poète avec les marins, dimension universelle. II) Pour chanter La Femme A) Sensualité du poème - Rôle du registre lyrique, vision toute personnelle et intime

l’intégration sociale du poète. Des malédictions virulentes sont lancées sur les poètes retranchés de la société « Malheur à qui prend ses sandales / Quand les haines et les scandales / Tourmentent le peuple agité ! ». b) Une dimension générale et universelle L’auteur ne parle pas en son nom propre mais à la 3ème personne du singulier. Ce n’est pas un poète en particulier qu’il définit mais un être général. A cette indétermination du personnage renvoie l’indétermination de la société évoquée « le peuple »

concerne en particulier le théâtre. Les principes sont : - Imitations des anciens avec des œuvres personnelles, - Le gout de l’analyse, - Ce sont des œuvres moralistes, - Dépassement de l’individu pour atteindre un homme éternel, une vérité universel, - Le désir de plaire. Les formes sont esthétiques, il y a une séparation des genres, le respect des règles, un équilibre, et une simplicité dans le style. Les écrivains classiques sont : Molière(_____________________________________), Racine

Cependant il exprime un lyrisme (intensément) personnel, mais pas d’égoïsme ni d’étroitesse. Il exprime pour nous les Grands sentiments Humains comme l’amour paternel, le patriotisme (deuxième guerre mondiale, certains poème parlent des allemands), les joies du travail, les grandeurs humbles etc… Il a une inspiration « humanitaire » dans de nombreuses pièces, et s’interroge beaucoup sur les énigmes de la vie et la mort. Il croit à une unité de la vie, et de l’amour universel. C’est l’animisme : vents

« Avez-vous ? vu Vénus à travers la forêt » ) et qu’il décrit comme une puissance naturelle qui doit s’opposer à celle de la mort inévitable (« Que dit-il, le brin d’herbe ? et que répond la tombe ? »).Son texte présente l’amour comme une loi vitale, universelle, divine (« Dieu veut qu’on ait aimé ») et nous invite – dans une sorte de« Carpe diem » – à nous y conformer tant que cela est possible (« Les mortes d’aujourd’hui furent jadis les belles »). Les deux autres textes apparaissent comme des propos