Légitimité Droit Spontané

une économie informelle, vivant en marge de l’Etat. Elle permet aux Africains de vivre mieux que ne le montrent les indicateurs économiques officiels. C’est ce que les économistes Marc Penouil et Jean-Pierre Lachaud qualifient de « développement spontané ».     La crise de l’Etat africain   Un Etat est une autorité souveraine s’exerçant sur l’ensemble d’un peuple et d’un territoire déterminés. Les Etats africains sont-ils véritablement souverains et légitimes ?   I- Les Etats africains ne

bien reçus, mais n’avait pas été considérés comme exceptionnels. Ce discours-là devait être différent. Bien que King soit désormais devenu une figure politique nationale, relativement peu de gens à l’extérieur de l’église noire et du mouvement des droits civiques l’avaient entendu prononcer un discours complet. Avec les trois réseaux de télévision offrant une couverture en direct de la Marche pour l’Emploi et la Liberté, il s’agissait de l’introduction oratoire de King devant la nation entière. Après

Droit constitutionnel C'est un cours divisé en trois partie : _ L'Etat_ Le Pouvoir_ Histoire du droit constitutionnel jusqu'en 1958 Introduction Qu'est ce que le droit ?Qu'est ce que le droit constitutionnel ?Pourquoi obeit-on au droit ?Comment enseigne t-on le droit constitutionnel ?I - Qu'est-ce que le droit ? Nous sommes tous régenter par le droit. Il fixe des limites de façon que autrui n'abuse pas de sa liberté pour nous subtiliser la notre. La liberté consiste à ne pas nuir à autrui

considérée comme une autorité légitime susceptible d’imposer une quelconque action mais comme un pouvoir de fait qui contraint sans obliger, de telle sorte que dès que la contrainte est levée, le sujet n’obéira plus de lui-même, il s’estimera en droit de désobéir. Dès lors, la contrainte n’est efficace que si elle est accompagnée d’une puissance de contrainte, de coercition. La soumission à la contrainte s’inscrit dans ce que Kant appelle l’hétéronomie (obéir à la loi dictée par un autre que

Pactet et Ferdinand Mélin-Soucramanien, Droit constitutionnel, Sirey Philippe Ardant et Bertrand Mathieu, Institutions politiques et droit constitutionnel, LGDJ Francis Hamon et Michel Troper, Droit constitutionnel, LGDJ Isabelle Thumerel et Gilles Toulemonde, L’essentiel des principes fondamentaux de droit constitutionnel, Gualino François Borella, Eléments de droit constitutionnel, Presses de Sciences Po, 2008 Pierre Avril et Jean Gicquel, Lexique de droit constitutionnel, PUF, Que sais-je ?

les ouvrages et les sites WEB ainsi que sur différents documents ( rapports , brochures , études statistiques …) en rapport avec notre sujet . I- Étymologie : Le mot violence vient du latin vis , qui désigne l'emploi de la force sans égard à la légitimité de son usage . Dans les sociétés primitives , la violence ne faisait qu’un avec la proximité du dieu . Aujourd’hui , ce dieu n’apparaît plus , et la violence n’a plus d’exutoire , elle est privée de boucs émissaires (ces victimes divinisées) et

question ? Donc, à quelle condition, un problème, phénomène, devient politique ? Immédiatement, spontanément, le mot politique, on l'associe tous aux élections, aux discours officiels, il y a un certain nombre d'institutions qui sont régies par le droit constitutionnel collect territoriales, on les considère comme acteurs politiques. Définition éthymologique : politique : renvoie au mot grec Police, qui renvoie aux affaire relatives à la cité. En quoi le terme "politique" est un terme hermaphrodite

Cependant, cette association a 2 conséquences : elle assimile et confond la démocratie et l'élection en terme de pratique libre et concurrentielle. elle assimile ceux qui sont élus à des Hommes de pouvoir, donc une dimension sacrée s'instaure (légitimité qui permet d'user des prérogatives en question décrites dans un texte ou un règlement). Ici, le vote fait acquérir un pouvoir de notoriété. Les sociétés fonctionnent suivant des logiques très différentes, et ce processus commun fait naître des

constitue certes la cause la plus Le 19 septembre 2008. Voir aussi la réplique de P. Brunet et la réponse de D. Rousseau (9 octobre 2008). 2 1 Voir par exemple D. ROUSSEAU et A. VIALA, Droit constitutionnel, Montchrestien, 2004, p. 237- 242. Jus Politicum, n°2, 2009. Revue internationale de droit politique. www.juspoliticum.com Jus Politicum fréquente de l’absence de débat, mais leur présence ne suffit cependant pas à susciter celui-ci. Il faut encore que des idées s’opposent. C’est

Introduction au droit Droit : ensemble des règles qui aident à la vie en société Il peut s’agir d’un corps de règles qui ont pour objet d’organiser la vie en société, de définir la vie des personnes et de réglementer leur relations collectives = droit objectif Les règles qui composent le droit objectif sont des règles générales et impersonnelles qui visent la société dans l’ensemble et non pas un individu déterminé Le droit peut ensuite être dans une dimension