Macabre

Tristesse : La mélancolie, la tristesse, le désespoir et la détresse sont exprimées par un choix de couleurs, entre autre, avec la dominance du noir tout le long du texte, et qui clôture même ce poème, en un mot final et sombre. Dans ce tableau macabre, l'auteur évoque plus particulièrement la tristesse, qui est la traduction littérale du mot " Spleen ". On relèvera des termes, un champ lexical de la tristesse, avec des mots comme " gémir, ennui, triste, affreux, corbillards, pleure ", . L'auteur

onde. Extrait du commentaires : La date à laquelle a été écrit ce poème, 1588 est le reflet d’une époque dominée par les conflits de religion. L’obsession de la mort (voir aussi Montaigne) entraîne une création souvent tournée vers des images macabres, d’horreur et d’angoisse. Jean de Sponde fut d’abord protestant, puis, converti au catholicisme, fut considéré comme un traître par les calvinistes. Problématique : En quoi ce poème est-il un exemple typique de la poésie baroque ?   Premier quatrain :

(l.5), « quelques milliers » (l.7), « une trentaine de mille » (l.7). Et le résultat macabre sera bien une sorte de charnier : « des tas de morts et de mourants » (l.12). Le deuxième paragraphe du texte nous offre une évocation plus horrible encore (et pas seulement parce qu'il s'agit de populations civiles, nous y reviendrons dans notre troisième partie). Ici il ne s'agit plus seulement d'une comptabilité macabre et d'une bataille qui accumule les morts comme automatiquement, ici nous voyons les

l’ultime tentation dans le tableau de la mort de l’avare (1490). Il y a également les danses macabres qui parlent d’un dialogue entre les vivants et les morts et où finalement la mort emporte les vivants sans examen de conscience. On retrouve ce dialogue dans des poèmes mais aussi sur des fresques murales. De même « le dit des trois vifs et des trois morts » ont un point commun avec les danses macabres, en effet cette histoire parle de 3 morts qui rencontrent 3 nobles et ensemble ils prennent

Cripure vient de demander à Moka, un surveillant de lycée, d’être son témoin pour un duel. Cripure arpente les rues jusqu’à la maison de Moka, et sous son regard la ville se transforme. Idées principales : Malraux dit de ce livre que c’est une « danse macabre. » -Idée de culpabilité, de satire sociale. I : Le réel transfiguré La transfiguration est celle d’une église qui ressemble à un bœuf. Cripure dit qu’elle aurait dû être construite par des bœufs, car les hommes construisent des bâtiments qui

jugement inopiné que vous défendez vis-à-vis des femmes. Vous émettez au début de cet essai, je cite «  la femme…puissance » mais je vais vous dire monsieur rousseau, nous les femmes, sommes loin d’être a votre portée et de plus avec cette vision macabre et impropre a notre nature. Vous les hommes, nous empêchons de goûter a la participation citoyenne et ceci pour quel motif dites moi ? Etant donné que la force de votre poing serait mieux appliquée ? Que de foutaise ! Vous nous dévalorisez tandis

son désir de trépas et d’ailleurs. Commençons dans le vers cinq avec la conjonction de coordination « mais », cette antithèse qui contredit les quatre vers précédents marque une rupture totale, la nature est éliminée et laisse place à un monde macabre et morbide dans lequel vit maintenant le poète déchiré par la perte d’un être cher. Ce « mais » est un des mots plus important de l’extrait car on pourrait le comparer à la perte de la bien-aimée de l’auteur. Nous avons un avant le « mais », puis

Michel Leiris. Il isole d’ailleurs ce passage en particulier parmi tous ces souvenirs d’enfance, il s’agit donc bien d’un évènement fondateur dans sa vie d’adulte. - Nous pouvons aussi démonter à présent que sa conception du monde est sombre, macabre, et tragique. D’une part parce qu’une rupture s’est produite entre Leiris et ses propres parents : ils l’on trahit. D’autre part parce que depuis lors, le monde est pour lui un mensonge perpétuel ou règnent les faux semblants, les apparences, mais

cannibales, corps dépecés… Des animaux peuvent parler, le temps et l’espace sont subvertis (un personnage peut se trouver transporter par les vents dans une île…). Vampirisme = tradition des goules orientales. Ce qui est sûr, c’est qu’il y a du macabre partout. Les événements qui sont décrits doivent être pris comme tel par celui qui les lit : pas de doutes, on accepte d’être dans ces lois du surnaturel. Mécanisme du méta psychose : l’âme se sépare du corps et voyage pour aller s’installer dans

L’œuvre du peintre Gustave Moreau qui est décrite ici est à dominante idéaliste et crée difficilement l’impression d’un déferlement de cruauté et d’érotisme. C’est le regard de Des Esseintes qui métamorphose l’aquarelle en faisant surgir violence macabre et sensualité lourde. On se demandera donc comment la littérature peut rendre compte par des moyens linguistiques de procédés picturaux et nous étudierons d’autre part le parcours du regard de Des Esseintes et son interprétation personnelle du tableau