Macabre

argument, développé du vers 5 au vers8, est construit sur une représentation mentale du spectacle des pendus offert au regard des badauds : Vous nous voyez ci attachés cinq, six : Le poète nous implique dans un spectacle dont la tristesse et le macabre grinçant se traduisent notamment par l'allitération sifflante en [s] et l'assonance lugubre en [u]. Cependant la rime interne (ci /six) résiste à cette interprétation. Elle paraît assez légère, assez joyeuse et assez chantante pour susciter le doute

aimée, l'amour, la nature... Le romantisme noir a été développé par Charles Baudelaire, Théophile Gautier. Ce romantisme a quelques caractéristiques : emploi du registre fantastique, thèmes de la haine de la bourgeoisie, thèmes repris du Moyen Age (macabre et satanisme) ainsi que le thème du vampire. Les champs lexicaux de la nature (souvent tumultueuse, sauvage), de la mélancolie et de la solitude (par l’expression des sentiments grâce au registre lyrique) sont omniprésents dans les œuvres romantiques

vision hivernale, neigeuse et nocturne de ces pendus nous montre une complicité évidente de notre mauvais garçon révolté, fugueur avec le rebelle poète et bandit François Villon qui tua un prêtre, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Dans ce poème macabre c'est le diable Belzébuth qui mène la danse, anobli pour l'occasion du titre de Messire Belzébuth, c'est le mal, il donne des coups (un revers de savate), pousse les pendus les uns contre les autres (les pantins choqués). La ballade est une poésie

de façon linéaire en suivant les différentes strophes. Nous verrons au travers du premier quatrain le cadre macabre donné par Baudelaire, dans le second, nous aborderons la figure du poète errant et abandonné et pour finir, nous verrons que les deux tercets présentent la mort amenant à un spleen progressif. Pour commencer, il est important de s’intéresser au cadre hivernal et macabre présenté par Baudelaire: Le mot « Pluviôse » présent dans le titre mais aussi premier mot du sonnet. Ce mot

Ainsi, poème semble ds trad poèmes amoureux. Poète et femme aimée se promènent dans nature accueillante. Que apparence découverte tableau horrible : cadavre en décomposition : crée décalage saisissant avec 1ère impression I- UNE DESCRIPTION MACABRE 1. Une évocation réaliste et précise de la charogne *Effet de surprise d’abord aspect inattendu de la découverte. Poème = récit de cette anecdote : - Marqueur temp précis « ce beau matin d’été »,(imp à situer). /Choix du titre : « une charogne »

dans le cadre plus général du romantisme. S’ils partagent avec les romantiques plus célèbres bien des traits communs, les auteurs que l’on peut rassembler sous ce termes en accentuent certaines tendances, en particulier le goût pour le gothique, le macabre, l’ironie, la cruauté, l’onirisme, le fantastique ou l’occultisme. Chez beaucoup d’entre eux, la préoccupation sociale est également plus marquée, et va souvent jusqu’à des revendications clairement républicaines. En outre, ces « petits romantiques »

rien à faire. Incarnation physique (tableaux) des « forces » exprimée par un artiste dans le passé auquel il faudrait parfois prendre des gardes. Un instant de l’époque réincarné par un tableau… La foule vient car elle est friande de mystère, macabre, elle veut deviner le secret d’une apparition/œuvre. Cependant une parole n’agit proprement à l’instant où elle est prononcée… Chaque époques, périodes, différents besoins. Il ne faut pas accuser la foule mais cette idolâtrie d’œuvres fixées (conformisme

qui lui apportaient la « liberté », la « postérité » et «l’immortalité » par leur inspiration, Baudelaire explique que sa muse n’est pas celle dont il rêve. Elle a les « yeux creux », son teint reflète « la folie et l’horreur », elle est laide et macabre .Le poète se plaint de sa muse qui ne l’inspire que des idées noires ; Il la compare à un « succube », un démon qui sous les traits d’une femme charme les hommes dans leurs rêves et leurs procure des visions érotiques et au marais de la ville de Minturnes

bien si il est ironique ou bien sérieux. Apollinaire évoque la cruauté de la guerre, la violence, la douleur, le désespoir... comme les autres. Mais, par ailleurs, il fait preuve de sa propre vision, très originale : Parfois, il se sert d'un humour macabre pour apaiser et embellir l'horreur de la guerre "Le ciel est étoilé par les obus des Boches" dans cette phrase il évoque les bombardement d'obus. Enfin, il mêle l'amour à la mort et au désespoir qui, lui aussi, transfigure l'horreur : "Un amour qui

pas régulier le chemin de bitume sans prêter attention aux chuchotements. Elle rentra dans le hall regarda, fixa, chercha. Elle avait à sa droite quelques casiers de divers coloris ; tandis que des bancs alignés accueillaient les élèves à la mine macabre. Elle avança vers l’extrémité de la pièce austère qui, éclairée par des néons pales et blafards s’apparentaient à un hall de gare. La jeune fille se dirigea alors vers un groupe et salua d’une bise froide, les quelques personnes à peine émergé