Macabre

mal être, les écrivains vont trouver refuge dans l’écriture, dans le rêve, des visions jusqu’à la littérature fantastique. * Le gout pour la mélancolie : c’est une vision pessimiste. Ils ont le gout des larmes. Ils ont une fascination pour le macabre, fascination pour l’au-delà. * L’orgueil de soi : les écrivains romantiques ont un rôle et une fonction à jouer dans la société : c’est une fonction de guide pour le reste de la population (cf. Victor Hugo)

lecteur =>lui imposer un enseignement d'ordre religieux : affermir sa foi / où trouver la source de savoir et de sagesse Transition : cette volonté d'imposer une foi aveugle ne peut que choisir des moyens extrêmes II – Le choix d’un sujet macabre : une Vanité littéraire 1 – La mort 2 – La décomposition comme preuve de la fragilité => quels moyens choisir pour imposer sa thèse ? Transition : faire la preuve de la fragilité, thème baroque par excellence, par les moyens les plus spectaculaires

TOTENTANZ FRANZ LISZT Présentation de l’œuvre Totentanz ou la Danse Macabre est une œuvre pour piano et orchestre de Franz Liszt. Cette œuvre a été créee en 1849 et publiée en 1865. Elle sera reprise en 1919 par le pianiste Ferrucio Busoni. Le gendre de Liszt, le chef d’orchestre Hans Von Bülow a interprété l’œuvre en 1865. Cette œuvre a été conçue dans l’esprit d’une marche funèbre. Totentanz est connue et réputée pour être une des partitions les plus difficiles à

dévalorise l’héroïsme des soldats. - Antithèse : Harmonie/ enfer. L’accumulation des termes laudatifs devient ridicule et cet éloge est fait d’antiphrases pour dénoncer l’absurdité de ce qui se passe. 2) La représentation pathétique et macabre de la guerre - Les victimes : femmes, enfants et vieillards (ce sont des innocents). - Le réalisme : beaucoup de précision, champ lexical de l’anatomie : «bras », «jambes », « cervelles », « mamelles ». - La souffrance : elle est marquée par des

le loyer et s'étaient fait chasser de la maison dans la précipitation il avait oublier leur fils dans la douche et celui ci c'était noyer dedant depuis on avait jamais retrouver les parents du jeune defun. Apres cette petite histoire quelques peu macabre, je monta a mon tour me coucher. Le lendemain, c'etait l'anniversaire de mariage de mr et mme mac klein ce soir la a ce que j'avais compris ils devais aller au restaurant. Durant la journée curtis et moi avions rejoind le groupes et visitions les

entendu devient celui d'« un cercueil » + « pour qui ? » > mort imminente, pour le poète ? interrogation = angoisse du poète mais atténuée car pas de nouvelles mentions d'angoisse + « bruit mystérieux sonne comme un départ » = pas d'adj péjoratif/macabre + on passe de l'image d'une chute à celle d'un renouveau (départ). + renforce le tragique de l'instant en donnant à la mort un caractère « mystérieux » et insaisissable (« quelque part »), en plus d'être une fatalité, inévitable > impuissance

qui rejetaient les conventions sociales, et cherchaient un retour à la nature. Fait de vouloir choquer qui exprime des sentiments, des opinions contraires à la morale et aux usages sociaux. Humour noir : humour visant à transformer des situations macabres, dramatiques en une vision prêtant à rire pour amorcer, derrière, une réflexion de fond. Ironie : façon de se moquer de quelque chose ou de quelqu'un en disant ou suggérant tout le contraire de ce que l'on veut vraiment faire savoir. 3. Trouvez-vous

des vivants, mais du temps de la mort, de l'angoisse de l'éternité. Réalisme macabre La partie centrale du poème (une seule phrase) est consacrée à l'évocation sinistrement réaliste des morts se décomposant dans leurs tombeaux, évocation reprise discrètement à la fin par la « paupière creuse » (les orbites vides du crâne décharné. C'est un thème traditionnel depuis le Moyen-âge (fresques figurant des danses macabres, « Ballade des Pendus » de Villon), qu'on retrouve dans le monologue de Hamlet

Transition : A priori le poème se situe dans la tradition de la poésie amoureuse. Le poète  invite sa bien‐aimée à se souvenir avec lui d’un moment passé ensemble et fait l’éloge de  sa beauté. Cependant, le discours amoureux est étrangement associé à une description des  plus macabres et cependant poétique.  II – Une description atrocement réaliste et poétique  2.1. Un objet poétique singulier   ‐ le titre du poème annonce d’emblée le sujet du poème : « Une charogne »  ‐ Baudelaire ménage un effet de mise en relief en retardant  au 2è hémistiche du 3è vers la 

corps exhibé vers 7 et 8 avec « ouvrait » et « son ventre ». L'emploi de l'imparfait et du participe présent produisent un effet de durée, de lenteur comme si le poète se complaisait à évoquer ce spectacle obscène.Strophe 3 : La description macabre, d’un réalisme cru se poursuit avec une note d’ironie, d’humour. En effet, B. compare la charogne à un plat, aliment participant à l’élaboration d’une recette à achever : « afin de la cuire à point ». Il transforme ainsi un spectacle hideux en perfection