Macbeth

mesure de la colère de Victor Hugo, qui s’incarne dans le « belluaire » de la fable, lequel se donne pour mission de montrer au monde combien Louis-Napoléon n’est que Napoléon-le-Petit 1 . Quant à Ubu, s’il présente quelques similitudes avec Macbeth, le personnage de Shakespeare, il n’a pas vraiment d’équivalent dansla vie politique française de la fin du XIXe siècle, même si, deux ans après la publication d’Ubu roi, éclatera le scandale de l’Affaire Dreyfus, qui jette le discréditsur l’indépendance

portera sur le thème suivant : « LE MAL » et s’articulera autour des œuvres suivantes que les élèves auront lues pour la rentrée : • • • William Shakespeare, Macbeth Jean-Jacques Rousseau, Profession de foi du vicaire savoyard Jean Giono, Les Âmes fortes Les ouvrages seront étudiés dans les éditions suivantes : William Shakespeare, Macbeth Présentation par G.Wilson Knight, traduction par Pierre Jean Jouve, Édition GF Flammarion n° 1449, ISBN 978-2-0812-3156 -6 Jean-Jacques Rousseau, Profession

arabes, (1848), (musée des Beaux-Arts de Tours), Paysage à Champrosay, (vers 1849), (musée Malraux du Havre), Othello et Desdémone, (1849), (Ottawa), Michel-Ange dans son atelier, (1849-1850), (musée Fabre de Montpellier), Lady Macbeth Somnambule, (1850), (The Beaverbrook Art Gallery, Canada), Lion dévorant un Lapin, (1850), (musée du Louvre à Paris), Apollon combattant le serpent Python, (1850-1851), (Galerie d'Apollon du musée du Louvre à Paris), Cavalier arabe

profiler une nouvelle problématique aux mémoires : quelle est la part d'exagération ds l'expression du drame politico-social ? Ns verrons que DG a une vision de la lutte et du redressement très théâtral et parfois mythologique : il se perçoit tel « Macbeth face aux sorcière » ; « il en est de la guerre comme de ces pièces de théâtre où, à l'approche du dénouement ts les acteurs viennent sur la scène ».

Shakespeare dans Racine, de la même façon que Barthes retrouvait Proust dans Stendhal et dans Flaubert. Pour preuve, Aricie, vibrante et virginale dans son costume bleu et blanc, rappelle Ophélie, et ses mains ensanglantées ne manquent pas d'évoquer Lady Macbeth ou la fille de Titus Andronicus ; mais aussi lorsque le discours de Théramène qui fait entendre ce qu'on ne peut voir, selon les préceptes de la bienséance du XVII° siècle, s'accompagne de l'exposition à la vue de tous (forcément prohibée pour les

Capitaine. Enfin, tout au long de l’extrait nous retrouvons effectivement les valeurs de Strindberg que ce soit dans les personnalités stéréotypées de ses personnages ou bien dans cette opposition des sexes. Lady Macbeth, dans la pièce de théâtre de William Shakespeare Macbeth est semblable à Laura. Elle est ambitieuse, mais limitée par les contraintes attribuées à son sexe et les hiérarchies de pouvoirs, elle use de la ruse et manipule son mari afin d’obtenir ce qu’elle veut

première génération des auteurs élisabéthains sera prolongée par William Shakespeare, qui marque de son empreinte tous les genres dramatiques. De tous ses chefs-d'œuvres, l'on retiendra Richard III (1593), Hamlet (1601), la Nuit des rois (1601), Macbeth (1605), le Conte d'hiver (1610).

s'inscrit dans le genre de la comédie, Alfred jarry auteur du XIXème siècle a rédigé quelques opérettes et romans comme L'amour absolue et le Surmâle . C'est dans cette pièce composée de IV Actes que jarry nous raconte l'histoire d'Ubu. Inspiré de Macbeth de Shakespeare, la pièce apparrait alors comme une vraie parodie jouant sur l'absurde et le drame épique. Officier du roi Venceslas, Ubu jouit d'une position enviable a la cour de Pologne. En le persuadant de détrôner Venceslas la mère Ubu le précipite

pouvoir * Ne pas oublier que de nombreux dramaturges étaient au service des rois : * Racine compose Alexandre le Grand pour célébrer le jeune Louis XIV. * Shakespeare et les Kingsmen = a souvent défendu le pouvoir légitime (Hamlet, Macbeth) > louer les ancêtres de la dynastie Tudor (Henry V) * Dans Ruy Blas, l’éloge de Charles Quint est un éloge déguisé de Napoléon Ier. 2 – Critiquer le pouvoir * Lorenzaccio : à travers Alexandre de Médicis, critique de la monarchie de

Agé de 14 ans, il est le seul survivant de la famille royale après le massacre perpétré par Ubu et ses hommes. Il va s’allier à Bordu et au tsar russe Alexis pour se venger et reprendre le trône. Notes sur la pièce De nombreuses références à Macbeth de Shakespeare sont présentes dans la pièce qui débute avec un jeu de mot sur le nom de l'auteur anglais : « Adonc le Père Ubu hoscha la poire, dont fut depuis nommé par les Anglais Shakespeare, et avez de lui sous ce nom maintes belle tragédies par