Machette

un an qu'il a fui la maison familiale, Jeremiah tente de se reconstruire, comme 170 autres victimes - de 18 mois à 16 ans - dans un foyer d'accueil de la ville d'Eket, dans l'État d'Akwa Ibom (sud). Tous sont marqués dans leur chair : traces de machettes, brûlures, ongles plantés dans le cuir chevelu. Le récit est froid. "Un soir, on assistait à un office dans une église, quand la femme du pasteur s'est levée et a hurlé que j'étais un sorcier", raconte Jeremiah à l'AFP. Le gamin est alors enfermé

du lieu est lié au cadre et au climat. La construction a nécessité l’emploi de 2000 à 3000 personnes Les incas ont commencé par investir les sites du bas. Ils ont cherché de l’eau : il y a 3 sources à cet endroit. Ils ont commencé à déboiser à la machette. Les pierres utilisées pour la construction sont disponibles sur place puisque le lieu est un massif granitique. La construction a duré environ 1 s et n’a jamais été achevée La 1e réalisation furent les 230 terrasses dédiées à la culture. Puis

d'une rampe d'arrosage (nombre variant suivant : distance de transport, humidité du matériau,volume de la citerne) ; B. Rendements en terrassements manuels a) Désherbage 35 LES RENDEMENTS DE PRODUCTION A la faux : 800 m2/jour/homme A la machette : 500 m2/jour/homme b) Débroussaillage - dessouchage    Végétation arbustive, arbre de Ø 25 cm : 115 m2/jour/homme  Végétation dense, 10 à 30 arbres par are : 80 m2/jour/homme c) Débroussaillage manuel en entretien routier : Zone herbeuse

fort bien. Le trajet entre champs et village n’est pas seulement un temps de parcours ou portage, c’est aussi un temps de tâches vicinales ; un coup de machette par ci pour couper un gourmand qui dépasse, un coup de machette par là pour couper une herbe qui a trop poussé, etc.. II faut noter que les Baoulé se déplacent rarement sans leur machette. 39 Page 14 | village et est plus ou moins surveillé par un ((vieux» ou vague en liberté. Mais, dans le premier cas, le ((vieux» n’est guère capable

viande de brousse, des pressions de chasse mercantile pour alimenter des carrières et un phénomène de déforestation (CARPE 2005). En effet, l’extraction de diamant s’effectue avec des moyens artisanaux, grâce à des bèches, des tamis et parfois des machettes pour faucher des branches d’arbres et des lianes. Ceci entraine des dégâts collatéraux, en provoquant la chute des arbres et des perturbations de milieu halieutique. [pic] Par exemple, un article du Novethic (C. Delpas 2011), met en évidence les

le problème du secteur traditionnel est causé par une faible mécanisation. Les agriculteurs (paysans) avec le peu de capital n’arrivent pas à se procurer des équipements adéquats pour faciliter leur travail. En Haïti, l’utilisation de houes, de machettes ne renforcent en aucun cas la production nationale. L’effort physique que requièrent les travaux de labourage, de semailles est énorme. Comme conséquence, les récoltes sont parfois mauvaises. Le peu de produits (qui n’arriveront pas tous au marché

les chercheurs sur le terrain , dans le génocide qui a eu lieu en 1994 , une des méthodes de torture le plus fréquemment utilisée à l’égard des Tutsis consistait justement à “réduire” la taille de la victime , démembrant peu à peu son corps avec la machette et en la tuant enfin d’un coup , ou en la laissant mourir . Vingt ans plus tôt quelque chose de semblable avait eu lieu au Burundi . Le massacre des victimes , cette fois-ci principalement des Hutus , avait été guidé par des catégories pures d’identité

produire un chocolat appelé cupulate au Brésil[46]. Articles détaillés : Cacao et Cacaoyer. Écabossage, fermentation et séchage[modifier] Fèves de cacao, produit de base du chocolat.Juste après la récolte, la cabosse est fendue avec une machette et vidée de ses fèves et de sa pulpe, le plus souvent à quelques mètres du lieu de récolte[47]. Les fèves sont égrainées de l'axe central, triées[A 11], placées dans des bacs et recouvertes de feuilles de bananier[48]. D'autres plantations laissent

magnifiques voiliers, appelés prahus. Les marins qui manœuvraient ces galions aux voiles noires portaient des sarongs et des parures de têtes aux couleurs vives, de même que des boucles d’oreille en or scintillantes. Ils étaient armés de dangereuses machettes portées sous une large ceinture autour de la taille, comme si leur réputation d’antan était encore chère à leurs yeux. Je me liai d’amitié avec un ancien de la tribu, nommé Buli, un constructeur de bateaux qui pratiquait son art à la manière de ses

Agriculture Le secteur primaire domine largement l’économie de la région. Elle emploie 70% de la population active. 1) L’agriculture traditionnelle C’est une agriculture itinérante sur brûlis. Elle emploie des instruments rudimentaires (machettes, houe, hache…). Cette région fournit à elle seule 70% de la production cacaoyère du pays issue des départements de la Lékié, de la Méfou et du Mbam. Les autres plantes cultivées sont le tabac, la banane plantain, le manioc, le macabo, l’igname, le