Mâchicoulis

marronniers ; à gauche, un autre bouquet de marronniers. Au fond de la cour, dont le terrain s'élevait insensiblement, le château se montrait entre deux groupes d'arbres. Sa triste et sévère façade présentait une courtine portant une galerie à mâchicoulis, denticulée et couverte. Cette courtine liait ensemble deux tours inégales en âge, en matériaux, en hauteur et en grosseur, lesquelles tours se terminaient par des créneaux surmontés d'un toit pointu, comme un bonnet posé sur une couronne gothique

L'iconoclasme désigne l'interdiction ou la destruction des images saintes.   Un jubé est un mur ajouré séparant la nef du chœur dans une église.   Une ligne de fuite est une ligne qui permet de matérialiser un effet de perspective.   Un mâchicoulis est un balcon de fortifications dont le fond présentait des ouvertures permettant de surveiller le pied des murailles.   Un mastaba est un tombeau égyptien de forme parallélépipédique aux murs à faible inclinaison.   Un mécène est un soutient

privilèges. En ce qui concerne toutes les archives du Capitoulat(elections estimas ect...)elles sont conservé dans douze coffres. En 1463 un grand incendie détruit une partie des collections Le 20 aout 1525 la Tour doit être fortifié avec des mâchicoulis ainsi que des créneaux car cette tour était le pivot de défense de Toulouse. Dans la Salle du Consistoire on pouvait trouver les armes royales et capitulaires (clefs et route) , les peintures murale représentaient les portraits des capitouls et

présents aujourd'hui dans la vallée de la Loire mais aussi ailleurs (Fontainebleau, le Louvre…). Ainsi, l'ère de la Renaissance laissa la place aux édifices qui misaient tout sur l'esthétique plutôt que sur la défense. C'est alors que disparurent mâchicoulis, créneaux, ponts-levis, meurtrières et douves, pour laisser la place aux somptueux jardins géométriques, aux symétries des châteaux, aux immenses fenêtres, aux colonnes, aux frontons et aux autres ornements qui pourraient montrer toute la puissance

petit leur fonction militaire, les premiers éléments de conforts apparaissent dans ces derniers. Les parties des châteaux se spécialisent. La défense du château est assurée par des fenêtres étroites appelées archères dans la partie basse et par les mâchicoulis (galeries en surplomb pour le tir verticale) dans la partie haute. Les niveaux intermédiaires sont réservés aux résidences. Les tours et tourelles sont désormais protégés par des toits en poivrière (toit conique soit tour + toit =poivrière). À

crée au fil des siècles des installations permettant aux défenseurs de réagir avec l’armement du temps (arc puis arbalète ; fronde …), de plus les murailles ont été construites affin de répondre au besoins des soldats de se défendre sans être vu (mâchicoulis ; meurtrières ; archères le plus souvent percées dans les murailles des tours ou des remparts…).(cf page 11).L’invention du pont levis et des grilles de fer ont été un grand progrès dans les systèmes de défense . Les châtelains avaient comme devoir

décorations délicates des fenêtres et balcons cintrés, ainsi que sur les coupoles cannelées des échauguettes. Il est également possible que Diogo de Boitaca, premier architecte du monastère des Hiéronymites, ait participé à la décoration du bâtiment. Les mâchicoulis et les créneaux sont décorés par de riches ornements sculpturaux, typiques du style manuélin. Une hypothèse propose que la tour fut dans un premier temps construite au milieu du fleuve et qu'a la suite du tremblement de terre de 1755 elle fut

château fort traditionnel, on va passer au siècle suivant au règne des châteaux palais. Ainsi, l'ère de la Renaissance laissa la place aux édifices qui misaient tout sur l'esthétique plutôt que sur la défense. C'est alors que disparurent mâchicoulis, créneaux, ponts-levis, meurtrières et douves, pour laisser la place aux somptueux jardins géométriques ( à la Française), aux symétries des châteaux, aux immenses fenêtres, aux colonnes, aux frontons, et aux autres ornements le but étant d'attirer

des techniques d’assaut et de l a société Château ouvert : demeure luxueuse privilégiant le confort à la sécurité (fenêtres larges et nombreuses, escalier à vis extérieur, décoration flamboyante) tout en maintenant un caractère militaire (tours à mâchicoulis, douves) symbole d’une féodalité fortement déclinante : le chevalier va devenir simplement châtelain • Développement des logis sur galerie à anse de panier Précurseur : Louis XI (château détruit de Plessis-les-Tours) Chaumont sur Loire … côté cour

chapiteaux. Cependant les moulures horizontales dominent sur les pilastres, sur l’ensemble du donjon. De plus elles sont soulignées au niveau de la terrasse par une balustrade en pierre portée par des consoles en forte saillie, à la manière de mâchicoulis, et soutenant une corniche creusé de coquille. Au centre de la terrasse, on y trouve une grande lanterne qui est accompagné aux angles par des pavillons. Un étage de comble est aussi présent dans les quatre pavillons ainsi que dans les tours