Mâchoire

ils préparent à la transfiguration des mineurs, car ils utilisent le mot "atroce". Zola va expliquer pourquoi, et, en effet : 

 La métamorphose bestiale : 

Les mineurs n'ont même plus de visage. Il n'y a plus que des mâchoires. Le champ lexical des animaux est bien là "mâchoire", "bête fauve" et "galopait". Il y a une incohérence entre ces derniers mots. Cela introduit une dimension fantastique renforcée par la description du paysage basée sur la monochromie du rouge, la couleur du sang. On a en

est de 1 ppm en cela veut dire 0,000001 g dans 1 g.) 2 / les mouvements : Le brossage doit être efficace et non agressif: -Il ne faut jamais effectuer des mouvements horizontaux sur les dents. -Il faut avant tout favoriser la méthode. Les mâchoires sont traitées l'une après l'autre, le brossage commence par la dernière dent d'un côté et se termine du côté opposé. Le brossage des dents du haut et des dents du bas doit se faire séparément. -Il faut nettoyer successivement les faces des dents

iliaque et laisse une petite cicatrice. Ce prélèvement est souvent douloureux et gêne la marche et la pratique du sport pendant une quinzaine de jours. 3) Prélèvement mandibulaire Il est réalisé au niveau de la mâchoire inférieure soit dans la région du menton soit au niveau de l'angle des mâchoires. L'incision se situe au niveau de la gencive. La greffe osseuse proprement dite L'os est placé soit sous forme de petits blocs soit sous forme de broyât. Selon les cas, un biomatériau peut être utilisé en complément

vanité Lui coûta quatre dents : le Cheval lui deſſerre Un coup ; & haut le pied. Voilà mon Loup par terre, Mal en point, ſanglant & gâté. Frère, dit le Renard, ceci nous juſtifie Ce que m’ont dit des gens d’eſprit : Cet animal vous a ſur la machoire écrit Que de tout inconnu le Sage ſe méfie.

soutient les cavités buccale et pharyngienne1. Le splanchnocrâne a primitivement une fonction respiratoire mais cette fonction se perd dans la plupart des lignées et le splanchnocrâne entre donc principalement dans la constitution du squelette des mâchoires, du palais, de l’oreille moyenne, de la face, du cou, de la langue, du larynx et du neurocrâne2. Histologiquement, le crâne des Vertébrés peut passer par différents stades1 : un stade cartilagineux ou chondrocrâne, formé par chondrification

prothétique. Celui-ci s’apparente à une forme de camouflage ou de cache misère : il s’agit de tenter de rendre invisible les destructions subies. Ainsi, chez le joueur de droite, au-dessus de son col officier, une prothèse tente de combler l’absence de mâchoire inférieure. Son articulation repose sur un système de poulies qui masque en partie, une large cicatrice de la joue gauche. Un assemblage de pièces en aluminium soutient sa lèvre inférieure fournie. L’extrémité du nez du joueur de droite est recouverte

à réparer les corps dont témoigne le recours à l’appareillage prothétique. Il s’agit de tenter de rendre invisible les destructions subies. Ainsi, chez le joueur de droite, au-dessus de son col officier, une prothèse tente de combler l’absence de mâchoire inférieure avec une large cicatrice de la joue gauche. Un assemblage de pièces en aluminium soutient sa lèvre inférieure. L’extrémité du nez du joueur de droite est recouverte d’un bandeau en cuir noir noué autour de sa tête. La coiffure est soignée

est accrochée sur son veston. Cette croix représente la bravoure de ce soldat. Il se tient de profil sur sa chaise sur une sorte de socle en fer et il lui manque certains de ses membres comme ses jambes. Son nez est dissimulé sous un cache, et sa mâchoire est une prothèse en fer. Il a par contre ses deux mains, l’une est valide (celle de gauche) et l’autre est une prothèse en bois, et elle semble articulée comme un robot. Ses membres invalides laissent supposer qu’il les a perdues pendant la guerre

Lucien et ses actions sont assimilés à plusieurs reprises au comportement de ses amis. En effet, l’attitude de prise de confiance que Lucien amorce en début de texte, est mise en correspondance directe avec deux de ses amis (« Alors il serrait les mâchoires et, pendant un moment, il se sentait aussi convaincu, aussi étroit, aussi puissant que Rémy ou que Desperreau »). Nous pouvons par ailleurs constater

l’état général, amaigrissement et incurie importante. Il est en déni de toute difficulté dans la vie quotidienne et refus de tout aide. Situations : au cours de l’entretien patient/infirmier, le patient nous confie qu’il souffre énormément de la mâchoire et des gencives intérieures. Dès que celui-ci mange ou boit un peu, une forte douleur se fait ressentir (facies, verbalisation) Observations : J’apprends par la suite que cela fait plus de 3 mois que cette douleur persiste. Les soignants venant