Macroéconomie Investissement épargne Consommation

création monétaire) · Le reste du monde (tous les autres pays susceptibles de prendre part à des échanges) · Hiérarchisation des postes budgétaires Y = C + S + I (Somme des revenus = Consommation + Investissement + Epargne) Le travail social a pour objectif d’améliorer les conditions de vie des personnes qui rencontrent des difficultés à équilibrer le rapport entre ces trois leviers.Surendettement passif : aléa de la vie, c’est non prévisibleSurendettement

INTERVENTIONNISTE Par opposition à l’Etat gendarme des libéraux Keynes préconise une intervention de L’Etat au niveau économique (pour atteindre le plein-emploi, la croissance, …) et sociale (permettre à la classe populaire de mieux accéder à la consommation). L’Etat devient un Etat Providence. Les Keynésiens privilégient une politique budgétaire avec l’accroissement de la croissance et relance la demande pour créer de nouveau débouché. LES LIMITES ET PERSEPECTIVES DE LA THEORIE KEYNESIENNE Dans

fordiste : « la distribution des fruits du travail aux salariés crée une demande qui assure l’écoulement de la production ». Solutions proposées : Réduction du temps de travail (limite la surproduction, le chômage, les volumes d’emploi et de consommation ajustés) LA CONCENTRATION ÉCONOMIQUE : Les entreprises deviennent de plus en plus grande et dans le courant de cette révolution industrielle, les entreprises ne vont pas être très nombreuses dans chaque secteur (début de la révolution, c’est

où l'État n'apparaît pas, la demande globale se divise en deux composantes principales : la consommation( 9 ), C, et l'investissement, I, avec une barre pour indiquer qu'il s'agit d'une variable indépendante du revenu, donc exogène. L'équilibre économique (offre de biens = demande de biens) s'écrit alors sous la forme d'une équation. (1) Y = C(Y) + I Il ressort de (1) que, pour une fonction de consommation donnée, le niveau de la production dépend uniquement de I, ou, plus généralement de la composante

combinées de millions de ménages et d'entreprises. Les économistes sont donc amenés à étudier comment les individus prennent leurs décisions : combien de temps ils travaillent, ce qu'ils achètent, combien ils épargnent et comment ils investissent cette épargne. Les économistes s'intéressent aussi aux échanges entre les individus. Ils étudient par exemple comment la multitude d'acheteurs et de vendeurs d'un bien donné déterminera le prix auquel le produit sera vendu, ainsi que la quantité vendue. Enfin,

l’échange est meilleure. Bien public Bien dont on ne peut exclure personne de son utilisation (principe de non exclusion) et dont sa consommation par un individu n’empêche pas celle qu’en fait un autre car le coût de la fourniture du bien à une personne supplémentaire est nul (principe de non rivalité). + Notion d’indivisibilité (d’usage et du bien) CHAP. 2 – LA MACROECONOMIE MERCANTILISTES Les mercantilistes ne sont pas des « penseurs » et ils ne forment pas une école constituée portant un regard commun

ISLM, la relance budgétaire suivie d’une relance monétaire entraîne un double déplacement du IS et LM (à voir également la relance croisée): le déplacement de l’IS mené par une dépense publique provoque un accroissement de la demande (consommation privée et investissement) par le mécanisme de multiplicateur keynésien, l’emploi et la croissance sont soutenus par la demande des biens et de services. Toutefois, le taux d’intérêt tend à augmenter du fait d’une hausse de la demande d’encaisse. Les risques

son ensemble c'est-à-dire les axes d’analyse. Précepte 2 : il met en évidence certaines des spécificités liées à la demande et à la consommation sportive. C’est de partir de l’idée que le sport n’est pas, fondamentalement, un acte de consommation ordinaire. Précepte 3 : il démontre l’existe, ce de 2 formes particulières de consommation sportive : l’une centrée sur une participation active, l’autre centrée sur une participation passive. Précepte 4 : introduit un élément

deux façons de voir les choses : - On considère que la dépense de consommation des ménages n’est rien d’autre que la somme des dépenses individuelles des ménages et que les ménages prennent leurs décisions de consommation indépendamment les uns des autres. Cette approche correspond à l’individualisme méthodologique, il s’agit d’une approche microéconomique. - On considère que l’on ne peut expliquer les dépenses de consommation des ménages comme étant simplement le résultat de la somme des décisions

Economie LE CADRE GENERAL DES ACTIVITEES ECO ET SOCIALES Les grandes fonctions économiques (production, revenu, conso) A- PRODUCTION => REVENU => CONSO, EPARGNE=> INVESTIR => PRODUCTION -Offre = demande 2 théories s'opposent : 18eme siècle 19eme 20eme N.E.C classiques néoclassiques KEYNES néolibéraux libéraux WALRAS MIRDA FRIEDMAN SMITH MARSHALL RICARDO -les classiques, néoclassques, néolibéraux = >offre la base de la croissance JB Say : « l'offre