Madame De Grancey

pas écrit l’histoire des grandes femmes. L’abbé de Châteauneuf la rencontra un jour toute rouge de colère. « Qu’avez-vous donc, madame ? » lui dit-il. — J’ai ouvert par hasard, répondit-elle, un livre qui traînait dans mon cabinet ; c’est, je crois, quelque recueil de lettres ; j’y ai vu ces paroles: Femmes, soyez soumises à vos maris ; j’ai jeté le livre. — Comment, madame ! Savez-vous bien que ce sont les Épîtres de saint Paul ? — Il ne m’importe de qui elles sont ; l’auteur est très impoli. Jamais

pas écrit l’histoire des grandes femmes. L’abbé de Châteauneuf la rencontra un jour toute rouge de colère. « Qu’avez-vous donc, madame ? lui dit-il. — J’ai ouvert par hasard, répondit-elle, un livre qui traînait dans mon cabinet ; c’est, je crois, quelque recueil de lettres ; j’y ai vu ces paroles : Femmes, soyez soumises à vos maris ; j’ai jeté le livre. — Comment, madame! savez-vous bien que ce sont les Épîtres de saint Paul ? — Il ne m’importe de qui elles sont ; l’auteur est très impoli. Jamais

religieux et politiques de leur temps. Voltaire est un homme de combat qui a lutté contre toutes les formes d'injustice sociale, politique et religieuse. Dans ce texte narratif "Mélanges, pamphlets et œuvres polémiques", Voltaire met en scène Mme Grancey qui, mécontente, discute avec un abbé du bien fondé de la phrase Saint Paul "Femmen, souyez soumises à vos maris ..". Il aborde un type d’esclavage bien spécial qui est la dépendance des femmes par rapport à leur mari, la condition de la femme dans

Madame de Grancey à Mr Rousseau, 10/11/1962 A Paris. Monsieur, Je vous rédige cette lettre pour vous notifier ma contrariété face à votre essai, Emile ou De l’éducation, Live V. Je n’apprécie guère le jugement inopiné que vous défendez vis-à-vis des femmes. Vous émettez au début de cet essai, je cite «  la femme…puissance » mais je vais vous dire monsieur rousseau, nous les femmes, sommes loin d’être a votre portée et de plus avec cette vision macabre et impropre a notre nature

Question interrogative ouverteMme Grancey émet son ressenti L.2-3; / : /, Beaucoup de ponctuation Structurer le discours de façon logique + rythmer les texte L.3« Soyez »Verbe conjugué à l’impératif Donne un ordre aux femmes L.3 « Femmes »Nom représentant la gent féminine Impression que la

Voltaire nous le montre en faisant monologuer Madame la Maréchale qui est une jeune aristocrate ne voulant pas être soumise. Molière, présente le conseil de la comédie avec cette citation «  Castigat ridendo mores », ce qui veut dire «  Corriger les mœurs par le rire ».Molière amplifie les défauts des hommes, on l'appel le rire « cathartique ». En sortant de ses pièces, son public est purifié ( même effet pour Antigone). Voltaire caricature Madame la Maréchale en la faisant vivre comme une femme

cause. En effet, Voltaire et Olympe de Gouges amènent le lecteur à adhérer à leurs idées en s'impliquer avec des pronoms personnels tels « Pour moi » (texte A, l. 37) ou encore « Dis-moi » (texte B, l. 3). De plus, le personnage de Voltaire, Madame de Grancey, nous fais part de son indignation à travers des exclamations comme « Quoi ! » (l. 17). Olympe de Gouges, quant à elle, soutient sa thèse en abordant la divinité avec « Le Créateur » (l. 5) ainsi que la nature et les autres créatures terrestres

éclairé ? ► Vous traiterez ensuite un de ces deux sujets au choix : (16 points) I) Commentaire Vous ferez le commentaire des lignes 12 à 50 du texte de Voltaire, de « - Il fallait que sa femme (…) » jusque « (…) madame la maréchale ». III Ecriture d’invention Madame de Grancey (texte 1) vient de lire le texte extrait de l’Emile de Rousseau (texte 3). Elle décide de lui écrire ce qu’elle a pensé de son essai et plus particulièrement de cet extrait. Elle reprendra certains éléments précis de

presque un discours, qui aborde des types d’esclavages bien spéciaux qui sont la dépendance des femmes par rapport à leur mari, la condition de la femme dans la société et l’inégalité homme-femme. « Femmes, soyez soumises à vos maris », La Maréchale de Grancey exprime son mécontentement et expose sa vision de la femme qu’elle défend contre les hommes en prononçant un plaidoyer très argumentatif, c’est une femme franche avec un très fort caractère «j’y ai vu ces paroles : Femmes, soyez soumises à vos maris : j’ai

entendre et d’être reconnu. Argumenter sur un propos qui nous déplaît est une forme de force, trouver les arguments pour contrer les propos de l’adversaire est une forme de force. Dans La Colonie, de Marivaux, nous pouvons voir la détermination qu’a Madame Sorbin, face à son mari, Monsieur Sorbin, qui souhaite être traitée, non pas comme une « petite servante » mais comme une femme, une vraie femme, qui a ses idées, ses opinions et qui souhaite les exprimer, elle et toutes les autres femmes dans son