Madame des Grassins

légitimes amours, était âgée de dix ans. Monsieur Grandet, que la Providence voulut sans doute consoler de sa disgrâce administrative, hérita successivement pendant cette année de madame de La Gaudinière, née de La Bertellière, mère de madame Grandet ; puis du vieux monsieur La Bertellière, père de la défunte ; et encore de madame Gentillet, grand mère du côté maternel : trois successions dont l'importance ne fut connue de personne. L'avarice de ces trois vieillards était si passionnée que depuis longtemps

comme l’ont bien compris les deux familles présentes par intérêt ; les Cruchots et les Des Grassins qui ne pensent qu’à marier un de leurs fils avec Eugénie afin de toucher la fortune de son père, monsieur Grandet. En guise de faveur, ces dernières arrivent avec des présents et couvrent Eugénie de baisers, or la jeune fille retient particulièrement l’offre d’Adolphe, faisant parti de la famille des Grassins, qui n’est d’autre qu’une boîte à ouvrage particulièrement admirable qui la remplie d’enthousiasme

était âgée de dix ans. 14 Monsieur Grandet, que la Providence voulut sans doute consoler de sa disgrâce administrative, hérita successivement pendant cette année de madame de La Gaudinière, née de La Bertellière, mère de madame Grandet ; puis du vieux monsieur La Bertellière, père de la défunte ; et encore de madame Gentillet, grand-mère du côté maternel : trois successions dont l’importance ne fut connue de personne. L’avarice de ces trois vieillards était si passionnée que depuis

amours, était âgée de dix ans. Monsieur Grandet, que la Providence voulut sans doute consoler de sa disgrâce administrative, hérita successivement pendant cette année de madame de La Gaudinière, née de La Bertellière, mère de madame Grandet; puis du vieux monsieur La Bertellière, père de la défunte; et encore de madame Gentillet, grand'mère du côté maternel: trois successions dont l'importance ne fut connue de personne. L'avarice de ces trois vieillards était si passionnée que depuis longtemps

sur ses doigts qu'elle est née en 1796. Cet événement est un triple héritage qui vient combler la «disgrâce administrative» de Grandet; son manque est comblé par la mort «de madame de la Gaudinière, née de La Bertellière, mère de madame Grandet; puis du vieux monsieur de La Bertellière, père de la défunte; et encore de madame Gentillet, grand-mère du côté maternel : trois successions dont l'importance ne fut connue de personne». Le parcours thématique devient donc celui de la fortune, de la richesse

cruchot : Notaire chargé des placements usuraire de monsieur grandet,il raconte l’héritage que aura sa fille si la femme de grandet meurt. Grace a lui eugene se fait pardonner. Neveu de Monsieur cruchot : président souhaite épouser Eugénie Madame cruchot : Madame grandet : soumise a son mari, femme séche, elle decouvre l’échange de la boite fait avec charles , 1820 l e Père Grandet demande comme chaque année, à voir tout l'or qu'il a donné à sa fille. maigre, pale, dents noir , gros os et nez, etc

légitimes amours, était âgée de dix ans. Monsieur Grandet, que la Providence voulut sans doute consoler de sa disgrâce administrative, hérita successivement pendant cette année de madame de La Gaudinière, née de La Bertellière, mère de madame Grandet ; puis du vieux monsieur La Bertellière, père de la défunte ; et encore de madame Gentillet, grand’mère du côté maternel : trois successions dont l’importance ne fut connue de personne. L’avarice de ces trois vieillards était si passionnée que depuis long-temps

légitimes amours, était âgée de dix ans. Monsieur Grandet, que la Providence voulut sans doute consoler de sa disgrâce administrative, hérita successivement pendant cette année de madame de La Gaudinière, née de La Bertellière, mère de madame Grandet ; puis du vieux monsieur La Bertellière, père de la défunte ; et encore de madame Gentillet, grand’mère du côté maternel : trois successions dont l’importance ne fut connue de personne. L’avarice de ces trois vieillards était si passionnée que depuis longtemps

légitimes amours, était âgée de dix ans. Monsieur Grandet, que la Providence voulut sans doute consoler de sa disgrâce administrative, hérita successivement pendant cette année de madame de La Gaudinière, née de La Bertellière, mère de madame Grandet; puis du vieux monsieur La Bertellière, père de la défunte; et encore de madame Gentillet, grand'mère du côté maternel: trois successions dont l'importance ne fut connue de personne. L'avarice de ces trois vieillards était si passionnée que depuis longtemps

de province, Félix Grandet (le Père Grandet), personnage d’une avarice extraordinaire, est à la tête d’une fortune colossale. Un jour de novembre 1819, une fête est organisée pour les vingt-trois ans d’Eugénie (la fille du père Grandet). Les des Grassins et les Cruchot, deux familles rivales qui espèrent marier l’un de leurs fils avec Eugénie, y sont conviés. Mais cette même soirée, Charles, un cousin d’Eugénie venu de Paris, arrive chez les Grandet. Il est porteur d’une lettre destinée au père Grandet