Madame La Présidente De Tourvel

réputation de libertin, manipulateur.· Présidente de Tourvel, femme du président.· M. le Chevalier Danceny, chevalier de Malte -> ne peut pas se marier. Chante avec Cécile, la marquise dit qu’il l’aime. Cécile le trouve très aimable.· Chevalier de Belleroche : amant de la marquise.· Mme de Rosemonde : tante du Vicomte et amie de Mme de Tourvel· Prévan : Valmont en est jaloux, le trouve redoutable. Il met Merteuil en garde contre lui.· Julie : femme de chambre de Tourvel· Azolan : chasseur de Valmont,

Devoir sur la Merteuil Choderlos de Laclos est l’auteur des liaisons dangereuses qui a été publié en 1972. C’est un roman épistolaire. Madame de Merteuil une femme ayant pas reçu l’éducation du couvant devient une libertine démesuré. Nous nous demanderons qui est vraiment la Marquise de Merteuil dans le roman ? Répondre à cette question c’est s’intéresser tout d’abord a sa formation libre : curiosité et la naissance d’une vocation d’actrice. Puis de faire apparaître son orgueils démesuré et

nous satisfaire : Pour le conformisme de Mme de Volanges, il suffit pour le constater de se reporter aux lettres 9 et 32 à Mme de Tourvel. Elle la met en garde pour sa réputation, non en vertu de valeurs hautement spirituelles ; de même elle reçoit Valmont même si cela est une « inconséquence » d’un monde « plus prudent que courageux » .Elle souffle à Mme de Tourvel l’idée de faire épier Valmont lettre 9 p. 42. C’est elle qui ensuite transmet les « on-dit » à Mme de Rosemonde et fait donc le récit

Merteuil en parlent sans cesse, la Merteuil moins. L'amour du combat. La tactique, les règles, les méthodes. La gloire de la victoire. La stratégie pour gagner un prix très frivole. Beaucoup de sensualité. Très peu d'amour, excepté chez Mme de Tourvel. - Puissance de l'analyse racinienne. Gradation. Transition. Progression. Talent rare aujourd'hui, excepté chez Stendhal, Sainte-Beuve et Balzac. Livre essentiellement français. Livre de sociabilité, terrible, mais sous le badin et le convenable

diverses conquêtes. Néanmoins, le troisième personnage écrivant le plus de lettres est Madame de Tourvel, une femme vertueuse. Pourquoi donc conférer une si grande importance à cette figure de la vertu quand le roman et son adaptation cinématographique semblent, à première vue, faire état du libertinage ?Sommaire:IntroductionI) Une figure morale au service de la démonstration du vice libertin : le contraste avec Madame de MerteuilII) La mise en avant du détournement de Valmont par la candeur de la dévoteIII)

Traiter Frédéric II de « roi des Bulgares » est une façon indirecte de rappeler son orientation sexuelle, le terme de « bougre » (lui-même dérivé de « bulgare ») signifiant « homosexuel » au XVIIIe siècle. Voici un extrait d’une lettre de Voltaire à Madame Denis où le philosophe, invité à Berlin, même s'il croyait à la possibilité de voir réalisé un despotisme éclairé, exprime déjà sa défiance à l'égard du pouvoir royal : « Je vais me faire, pour mon instruction, un petit dictionnaire à l’usage des

de conspiration à laquelle il a assisté en tant que secrétaire. Après avoir rempli sa mission, Julien rencontre le prince Korasoff, dont il s'était fait un ami. Le prince le devine amoureux. Sur ses conseils, il entreprend de séduire la Maréchale, Madame de Fervacques. Rendue jalouse par cette manœuvre, Mathilde de la Mole se rend compte qu'elle est amoureuse de Julien. Elle lui avoue qu'elle est enceinte et prévient son père de son souhait d'épouser son secrétaire. Julien est immédiatement convoqué

partie des Liaisons Dangereuses. Dans cette dernière partie du roman les deux libertins le vicomte de Valmont et la Marquise de Merteuil sont parvenus au terme de leurs manipulations. Effectivement leurs deux victimes Cécile de Volange et la présidente de Tourvel sont tombées dans le piège, la première a perdu sa virginité et la seconde a succombée aux avances du vicomte. Cependant le récit prend un tout autre tournent car les deux libertins qui étaient jusqu’à présent alliés se détruisent ouvertement

rompre avec la Présidente, fait mouche, aussi sûrement qu’une balle. Citons-en les dernières phrases : (lettre 141, de Merteuil à Valmont) " Adieu, mon Ange, je t’ai prise avec plaisir, je te quitte sans regret : je te reviendrai peut-être. Ainsi va le monde. Ce n’est pas ma faute. " Merteuil, et Valmont dans une moindre mesure, manipulent la langue : ils savent feindre, par écrit, des sentiments qui leur sont étrangers. Que l’on se reporte à la lettre 36 de Valmont destinée à Mme de Tourvel : tout le

en creux. Laclos n’entend que trop, autour de lui, déclamer la vertu. Adepte lui aussi de cette vertu, il préfère qu’elle se taise. Mme de Tourvel, passionnée timide, ne se déclare qu’après sa chute. Mais alors, ses mots brûlants bouleversent : elle s’est perdue et le sait et y consent. A elle d’ouvrir le 5ème acte de la tragédie : « le voile est déchiré, Madame, sur lequel était peinte l’illusion de mon bonheur. » Laclos est remonté vers Racine. Les Liaisons n’ont de sens que parce que, désavoué