Madeleine Proust

déménagea au jeu de paume de la Croix-Noire. Son succès ne fut cependant point assuré, et l’Illustre Théâtre fit faillite en mai 1645. 1646-1651 Après la faillite de l’Illustre Théâtre, Molière et la famille Béjart quittèrent Paris en 1646. Madeleine Béjart avait déjà pour protecteur le duc d’Épernon, et celui-ci prêta son nom à la nouvelle troupe de Molière et de ses compagnons. La troupe du duc d’Épernon sous la direction de Charles Dufresne au départ fut basée à Bordeaux. Elle faisait

des leçons avec le célèbre Scaramouche (comédien très doué pour ces pantomimes). Après avoir obtenu sa licence de droit, à l’âge de 21 ans, Jean-Baptiste décide de réaliser son rêve d’enfance : devenir comédien. Il rencontre et tombe amoureux de Madeleine Béjart avec laquelle il fonde sa compagnie « L’Illustre- Théâtre ». A partir de là, ils voyagent à travers la France et malheureusement s’endettent aussi beaucoup. C’est dans cette époque la (environ 1644) que Jean-Baptiste choisira son nom de scène :

du nom Jean-Baptiste Poquelin, est baptisé en 1622 à Paris. Il est le fils d’un tapissier du roi et fait ses études chez les jésuites avant de faire Droit à Orléans pour devenir avocat. Finalement, il préfère fonder une troupe avec la comédienne, Madeleine Béjart, l’Illustre-Théâtre. Lorsqu’il la fonde, il prend le pseudonyme de Molière. Le métier de comédien, à l’époque, n’était pas facile car en France, l’Église Catholique leur reproche, comme aux prostitués, de vivre du mensonge et même d’empoisonner

protecteurs. En 1640, il se dirige vers des études de droit puis en 1641 il est reçu comme avocat, cependant deux ans après, il décide contre l’avis de son père de devenir comédien. Il fonde alors la compagnie théâtrale l’Illustre-Théâtre avec Madeleine Béjart et prend ainsi le nom de Molière. Mais 5ans après sa création, la troupe fait faillite. Jean-Baptiste est alors emprisonné deux jours pour ses dettes mais son père intervient et lui permet d’être liberé. La même année, il part avec la troupe

tapissier, il renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une vie bourgeoise et se tourne vers le théâtre. Il fonde en 1643 « l’Illustre Théâtre » et se fixe comme objectif de « faire rire les honnêtes gens ». Il rencontre cette année-là Madeleine Béjart dont il tombe amoureux. La troupe connaît des débuts difficiles. Elle parcourt la province de 1646 à 1658. Durant cette période, il apprend le métier d’acteur et commence à écrire ses premières comédies (L’Étourdi et Le Dépit Amoureux)

comédiens sont excommuniés. Quand il a 10 ans sa mère meurt. Son père était tapissier du roi. Jean-Baptiste fait des études de droit car son père veut qu'il devienne avocat, qu'il abandonne en 1642, pour fonder en 1643 «L'Illustre-Théâtre » avec Madeleine Béjart. Il prend le pseudonyme de Molière. Il fait faillite à Paris et par pour la province de 1645 à 1658. Il créa ses premières farces «L'Étourdi» en 1655 à Lyon et «Le Dépit amoureux» en 1656. En 1658, il est de retour à Paris et obtient la protection

partir à Orléans y faire des études de droit jusqu’à sa licence. En 1643 il refuse la charge de pâtissier du roi, et ayant toujours été attiré par le théâtre comique et les genres italiens que lui avait fait découvrir son grand-père, il fonde avec Madeleine Béjart, une comédienne déjà connue, la famille de celle-ci et quelques autres comédiens, la compagnie théâtrale «  l’Illustre-Théâtre » Il prit alors le nom de Molière,et ils se produisaient en Province puis à Paris, mais seront très vite rattrapés

d’aller étudier le droit à Orléans. Il finit par abandonner ses études en 1642 pour se consacrer au théâtre. Les comédiens (théâtreux) à l’époque étaient très mal vus par la société. Jean-Baptiste Poquelin faisait donc honte à sa famille. Avec Madeleine Béjart, il adopte son surnom « Molière » et crée l’Illustre théâtre qui est un échec en raison de dettes. En 1645, Molière parcourt différentes provinces pendant treize ans. En 1658, lorsqu’il revient à Paris, Molière obtient la protection du

Vincent Voiture, dans ses poésies et ses lettres, a été le premier à mettre en pratique dans le salon de Mme de Rambouillet ses dons de badinage et de galanterie, puis Antoine Gombaud, chevalier de Méré, le père Bouhours, l’abbé Cotin ou encore Madeleine de Scudéry ont transcrit dans des ouvrages-manuels ce souci de plaire, instruire et divertir tout à la fois en rejetant « tout ce qui tient de l’étude car cela est presque toujours mal reçu »6. On retrouve volontiers toutes ces notions esthétiques

distinguer par la pureté du langage, par l’élégance de la tenue, par la dignité des mœurs et un amour idéalisé. Les salons précieux : Les femmes y sont actives et les plus importantes sont la « chambre bleue » de Catherine de Rambouillet et celle de Madeleine de Scudéry sans oublier Madame de Lafayette (femmes du XVIIème siècles tenant des salons précieux) Molière dans sa pièce se moque de ce dont discutaient ces jeunes femmes, elles idéalisaient l'amour ce qui les rendaient ridicules. Les personnages