Mademoiselle De Kerkabon

les étrangés. - le prieur qui est un prêcheur ainsi que l’abbé de saint Yves. Représente le clergé. L’antithèse entre le son nom : saint et son comportement permet de le critiquer - On trouve une allitération dépréciative dans le nom de mademoiselle de Kerkabon. - le frater est un médecin que l’on peut plutôt considérer comme un charlatan, utilise une étymologie latine qui le surévalue et le présente comme un personnage érudit. Tous ces personnages sont nommés par leurs statuts, métiers. C’est

d’être marraine noue l’action en empêchant son union avec l’Ingénu, remettent en cause de manière nette la purification symbolique habituellement liée au baptême. De plus il critique la bonne chère dans le clergé de province et assure que l’abbé de Kerkabon était « le seul bénéficier du pays qu’on ne fût pas obligé de porter dans son lit quand il avait soupé avec ses confrères » (chapitre I). On en conclu que Voltaire illustre effectivement des vérités religieuses sur son époque à travers des critiques

chapitre XX s'ouvre donc sur une situation dramatique, l'étrange maladie de Mlle de Saint Yves, une maladie qui ne semble avoir d'autre issue possible que la mort. Le texte est structuré par l' agonie de Mademoiselle de Saint Yves, par les séductions jésuitiques repoussées, le décès pathétique de Mademoiselle de Saint Yves, la conversion de Monsieur de Saint Pouange « au milieu de ce spectacle de 1a mort" ainsi que par l'aveu expiré : "j'ai fait votre malheur".  [annonce du plan] Ce chapitre final a une

1er2-textes pour bac-en cours- avril-élève-avec mouvements.pagesObjet d’étude I : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle, parcours : alchimie poétique : la boue et l'or ! A. L’œuvre : Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire 1. « Au lecteur » (extraits) 2. « Correspondances » 3. « Une Charogne » (extraits) B. Le parcours. Alchimie poétique : La boue et l’or 4. Aragon, « C », Les Yeux d’Elsa (1942) 5. Francis Ponge, « l’huitre », Le Parti pris des choses (1942)
 C. Lectures cursives

divinité. Directement lié à Dieu par une prière (croyance individuelle) position PHILOSOPHIQUE * Ingénu = candide = idée philosophique ------------------------------------------------- Le portrait de l’Ingénu : Dans le 2eme chapitre, l’Abbé de Kerkabon et sa sœur, alors qu’ils se promenaient au bord de la mer (chapitre 1), ils rencontrent un huron qui s’est révélé être leur neveu de St Dunstan (qu’ils décident d’héberger). Devant toute cette nouvelle la compagnie proche de l’abbé décide de baptiser

principal venu de l’étranger, un Indien d’Amérique. Par son regard naïf sur le monde occidental, ce personnage met en avant les contradictions et les absurdités de la France du XVIII e siècle. Comment le prieur de Notre-Dame de la Montagne et Mademoiselle sa sœur rencontrèrent un Huron. Un jour Saint Dunstan, Irlandais de nation et Saint de profession, partit d’Irlande sur une petite montagne qui vogua vers les côtes de France, et arriva par cette voiture à la baie de Saint-Malo. Quand il fut

et formes de l’argumentation : xviie et xviiie siècles L’Ingénu Voltaire Édition de Quitterie Lencou Quand un Huron, ayant toujours vécu au Canada, débarque dans un village breton, il suscite beaucoup de curiosité ! Recueilli par les Kerkabon, il est aussitôt baptisé et tombe amoureux de sa marraine, Mlle de Saint‑Yves. Bien décidé à demander au roi la main de la jeune femme, il part pour Versailles… ISBN 978-2-7011-6153-2 160 pages En racontant les aventures de l’Ingénu dans

apercevant la chaudière et les broches s'écria: Nous allons certainement être rôtis ou bouillis. Ah ! que dirait maître Pangloss, s'il voyait comme la pure nature est faite ? Tout est bien; soit, mais j'avoue qu'il est bien cruel, d'avoir perdu mademoiselle Cunégonde, et d'être mis à la broche par des Oreillons. Cacambo ne perdait jamais la tête. Ne désespérez de rien, dit-il au désolé Candide; j'entends un peu le jargon de ces peuples, je vais leur parler. Ne manquez pas, dit Candide, de leur représenter

petit détour dans leur passé suffit pour se faire une idée de leurs mœurs anciennes. Cette caractéristique n’est toutefois pas propre aux hommes d’Église. Elle se manifeste aussi chez les personnes ordinaires de la société à l’instar de mademoiselle de Kerkabon qui « aimait le plaisir et était dévote». L’ambivalence dans le caractère des personnages permet ainsi de mettre en relief l’hypocrisie qui se manifeste dans les différentes sphères de la société. La satire se manifeste de façon plus concrète

à ce Mons de Louvois : on m’a dit que c’est lui qui fait la guerre, de son cabinet. Je verrai le roi, je lui ferai connaître la vérité ; il est impossible qu’on ne se rende pas à cette vérité quand on la sent. Je reviendrai bientôt pour épouser mademoiselle de Saint-Yves, et je vous prie à la noce." Ces bonnes gens le prirent alors pour un grand seigneur qui voyageait incognito par le coche. Quelques-uns le prirent pour le fou du roi. Il y avait à table un jésuite déguisé qui servait d’espion au