Madrid

général Franco, aussi le tableau a passé une partie de sa vie en exil. Il est ramené du MoMA en Espagne en 1981 et installé au musée du Prado, en attendant la construction du musée d'art moderne. Il est actuellement exposé au musée Reina Sofia à Madrid depuis 1992 dans une salle à son intention. Comprendre Guernica : description et analyse de Guernica : Œuvre de dénonciation et de protestation contre le bombardement de la ville basque Guernica (qui a donné son nom au tableau), Guernica est

droite) . Il représente très bien la supériorité des espagnols, comme la désorientation des mamelouks. 3 mai 1808: massacre des révolutionnaires contre les Français . Après le massacre, Murat, chef des troupes françaises, origina une répression à Madrid, pour ne pas ternir la réputation de Napoléon. Ses résultats furent dévastateurs: « environ 500 à 1000 espagnols et 100 à 200 français moururent », selon les historiens. Les troupes de Murat crurent avoir gagné cette bataille, mais ce n'était

a lieu l'inauguration de la Fondation Joan Miró à Barcelone. Miró fit donation de bon nombre de ses oeuvres au musée faisant encore aujourd'hui de cette fondation le meilleur endroit où découvrir l'art de Miró. Vous pouvez également vous rendre à Madrid au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia pour admirer d'autres peintures de cet artiste. Joan Miró meurt à Palma de Mallorca en 1983, à l'âge de 90 ans.

contre le « clash » du Real mourinhesque. Deux variations du même mot clasico après les quatre manches qui ont fini par orthographier en catalan le nom du vainqueur. Homme en noir contre Casa Blanca… C’est parti ! Après le premier Clasico (1-1 à Madrid), j’avais pronostiqué une victoire du Real en Coupe du Roi mais une qualif du Barça en finale de Champions League. Le lointain souvenir de la manita de novembre dernier ? Un peu, oui, ça a joué. Mais c’est surtout l’évidente supériorité des Blaugranas

retrospectivas de Goya tienen un éxito Enorme” Por fin el autor subraya el éxito internacional de España a propósito del deporte. Habla del “temor “que produce los tenistas españoles a nivel internacional, y también del equipo de futbol del Real Madrid, que según el autor “es un mito fundador del futbol europeo”. El autor insiste pues (donc) otra vez en el éxito y el resplandor (rayonnement) internacional de España. Sin embargo podemos notar que subyace una crítica del autor, cuando habla de esta

1940). La propagande franquiste nia toujours cette atrocité affirmant que cette destruction fut provoquée par les dynamiteurs asturiens. En ce moment, l'artiste Pablo Ruiz Picasso (né en 1881 et mort en 1973) était le directeur du musée du Prado à Madrid et reçu le commandement par la République espagnole de peindre un tableau qui représenterai la brutalité et la violence de la guerre pour l'Exposition Internationale de Paris de 1937. Il s'agit d'un tableau cubiste (du a la décomposition des objets

civile qui opposera le camp « Nationaliste » (les militaires, une partie du clergé, des politiques de droite… soutenus par l’Allemagne nazie et l’Italie fasciste) au camp « Républicain ». Le début du soulèvement a lieu le 18 juillet 1936. Les villes de Madrid et Barcelone seront des fronts de résistance républicains, ainsi que le Nord de l’Espagne, dont le Pays Basque. En 1937 le Général Mola, décidant d’affaiblir le front Nord, demande l’aide de l’Allemagne nazie. C’est ainsi que le 26 avril 1937

bouger pas sauf pour revenir en Espagne mais quand les libertés seraient rétablies. Il est ramené du MOMa en Espagne en 1981 et installé au musée du Prado en attendant la construction du musée d'art moderne. Il est actuellement au musée Reina Sofia à Madrid depuis 1992 dans une salle a son intention. 5.ANALYSE DU TABLEAU GUERNICA Analyse: Le décor est une pièce close et obscure qui représente le prison avec une fuite impossible. Les objets représentent beaucoup de choses par exemple la lampe au

pour le faire. L'Eglise ne m'intéresse pas, pas même comme adversaire.  La Movida, période idéale ?  Le film ne prétend pas non plus être une réflexion sur la "movida" madrilène du début des années 80, bien qu'une grande partie se passe dans le Madrid de cette époque. Ce qui m'intéresse dans ce moment historique est l'ivresse de liberté que vivait l'Espagne, en opposition à l'obscurantisme et à la répression des années 60. Le début des années 80 est, pour cette raison, le cadre idéal pour que les

Philippe IV ne le nommera jamais « peintre du roi ». Parmi les nombreuses commandes qu'il réalise pour les couvents et les églises, on trouve de remarquables vanités, natures mortes allégoriques bien dans l'esprit du baroque. Antonio de Pereda meurt à Madrid en 1678. Nous décrirons dans un premier temps le tableau, nous l'analyserons . Chut ! Ne réveillons pas ce gentilhomme assoupi devant une table sur laquelle figure une étonnante collection d'objets précieux. Profitant du sommeil du jeune