Madrigal

l’Arsenal. En 1829 paraissent ses Contes d’Espagne et d’Italie, où se mêlent fantaisie, désinvolture et parodie, et dans lesquels Alfred de Musset révèle son talent et son audace dans l’art de la prosodie, et dans la composition de « chansons et de madrigaux où les chuchotements amoureux et la grâce fugitive s’allient en un émerveillement inquiet. » En 1830, à vingt ans, Alfred de Musset écrit pour la scène de l’Odéon une comédie en prose, La nuit vénitienne. En rupture avec les codes dramatiques

par là chaque jour les petites nouvelles galantes, les jolis commerces de prose et de vers. On sait à point nommé : « Un tel a composé la plus jolie pièce du monde sur un tel sujet ; une telle a fait des paroles sur un tel air ; celui-ci a fait un madrigal sur une jouissance ; celui-là a composé des stances sur une infidélité ; Monsieur un tel écrivit hier au soir un sixain à Mademoiselle une telle, dont elle lui a envoyé la réponse ce matin sur les huit heures ; un tel auteur a fait un tel dessein

qui imitent ces derniers. Texte 2 : Lettre à Pomponne du 1er décembre 1664, Mme de Sévigné ° Dans ce texte, Mme de Sévigné raconte que le roi, qui commençait à s’intéresser à la poésie, a eut l’idée de jouer un tour à un courtisan : il écrivit un madrigal qu’il lui fit lire en disant que c’était le pire qui soi pour avoir sa réaction. Il lui suivi le sens du roi sans poser de questions et lorsqu’il apprit qu’il était écrit par le roi, il se sentit piégé car il avait critiqué le roi sans sans s’en

fixer l’idéal du << classicisme>> (Art poétique, 1674 – 1683) Jean DE LA FONTAINE : (Paris 1621 – 1695) poète français. Maître des Eaux et des Forêts, il obtient à son poème Adonis une pension de Fouquet, il écrit des ballades et des madrigaux. Son œuvre unit en une harmonie parfaite l’art et le naturel et représente l’apogée du lyrisme français. Il a écrit les Fables (1668-1694) composé des douze livres. Théâtre : Pierre CORNEILLE : (Rouen 1606-1694) poète dramatique français. Il se

peut aussi l’appeler « travailler avec la plume ». Pour Christine de Pisan, travailler avec la plume était sa vie car son mari meurt donc elle doive gagner de l’argent. On peut aussi voir des poèmes de commande chez Ronsard en « madrigal ». Dans ce poème le poète lui déclare l’amour a une femme mais on pense que cet amour n’est pas vrai, n’est pas sincère. On peut dire ça car la reine Catherine de Médicis lui demande a Ronsard d’écrire un poème pour consoler à Helene de Sungère qui

proche de l’ode, une élégie se caractérise par une plainte. -- un blason : éloge d'une partie du corps féminin.ex : le blason du blanc tétin de Clément Marot -- une épigramme : poème très court de deux vers ou dizain (ensemble de 10 vers). -- le madrigal : pièce galante destinée aux divertissements qui se finit par une pointe( c’est à dire un vers surprenant). Le Baroque (seconde moitié du XVIe siècle, vers 1550) : c'est un mouvement esthétique favorisé par le climat d'instabilité et les guerres

extériorise ses sentiments de tristesse par son écriture et sa forme à travers un poème d’adieu lié à sa séparation avec son amant. Ce texte peut nous permettre de nous questionner sur l’amour destructeur comme dans le sonnet de Ronsard intitulé « madrigal »

La Fontaine rencontre et lui présente le manuscrit d’Adonis. Un an plus tard La Fontaine est pensionné par le surintendant des finances et maître de Vaux-le-Vicomte. En échange il lui devra une « pension poétique » : sonnets, ballades et autres madrigaux. Il entreprend le Songe de Vaux, flânerie poétique à travers les « merveilles » du château, qui reste à l’état de fragments car en 1661, Fouquet est arrêté et emprisonné. La Fontaine, fidèle envers le ministre déchu, prend courageusement sa défense

l'esprit. - A coup sûr, me dis-je, les hôtes de cette demeure sont des gens sédentaires! - Ce seuil invite à s'y arrêter: la porte n'est-elle pas ouverte? Donc, le plus poliment du monde, l'air satisfait, le chapeau à la main, - méditant même un madrigal pour la maîtresse de la maison, - j'entrai, souriant, et me trouvai, de plain-pied, devant une espèce de salle à toiture vitrée, d'où le jour tombait, livide. A des colonnes étaient appendus des vêtements, des cache-nez, des chapeaux. Des tables

l’importance. II) Une déclaration paradoxale A) Parler ou se taire ? - La déclaration d’amour réitérée (« je vous aime »), au quatrième quatrain, est encadrée par le silence : « me taire » à la rime, au vers 7 et « muette », le dernier mot du madrigal. - Les verbes d’expression « parler » et « dire » qui accompagnent l’aveu sont associés l’un à une confession honteuse, l’autre à l’incapacité à s’exprimer avec des mots : « Le cœur le dit assez, mais la langue est muette ». - Les autres marques