Magnitudo Parvi

nuit; trad. M. Le Tourneur) Klopstock : La Messiade (extrait du chant I, trad. Mme de Carlowitz) André Chénier : Hermès (extrait, 1884, Garnier) Jean-Paul Richter : Rêve de l'Univers (dans La Comète, 1820; trad. A.Béguin) Victor Hugo : Magnitudo Parvi, 1839 (extrait, Les Contemplations, 1855) Sully Prudhomme : Le Bonheur (extrait, Paris 1888) P. Boiste : L'Univers, poème en 12 chants (extrait, Paris 1901) Blaise Cendrars : L'Eubage, aux antipodes de l'unité (extrait, 1926) Charles Dobzynski

suppose aussi la souffrance dans le cœur des mortels. Bien que les vers 4 à 6 soient très elliptiques, on peut comprendre qu’il s’agit de l’adulte qui doit se battre pour mettre au jour la Vérité, tout en restant l’ignorant qu’est le pâtre de Magnitudo parvi, et qui accède à la compréhension du mystère du monde par son intuition de solitaire et de contemplatif, parce qu’il n’est pas aveuglé par trop de science. On pourra faire le lien entre le titre latin de ce poème et Pauca meæ. c. On terminera

..................................................... XXVIII. Le poëte .......................................................................... XXIX. La nature .......................................................................... XXX. Magnitudo parvi................................................................. TOME II AUJOURD’HUI 1843-1856 ..................................... 9 LIVRE QUATRIÈME PAUCA MEÆ ........................................ 10 I...............................

dénonça la misère sociale et morale dont il était témoin : les scandales, la guerre, la tyrannie, la peine de mort (“La source”, “La statue”, “La nature”), la misère des sociétés modernes (“Melancholia”), le livre s'achevant par un grand poème (“Magnitudo parvi”) qui décrit la contemplation du poète tenant par la main son enfant et sondant avec elle le mouvement des astres. -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

dénonça la misère sociale et morale dont il était témoin : les scandales, la guerre, la tyrannie, la peine de mort (“La source”, “La statue”, “La nature”), la misère des sociétés modernes (“Melancholia”), le livre s’achevant par un grand poème (“Magnitudo parvi”) qui décrit la contemplation du poète tenant par la main son enfant et sondant avec elle le mouvement des astres. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

éléments cités ci-dessus ;  dans le recueil, approfondissant sa réflexion, Hugo conclut à l’existence de Dieu, et ce malgré des moments de doute, de révolte et de désespoir ; sa réflexion métaphysique culmine dans un log poème du Livre 6 : « Magnitudo Parvi ».  Liés aux révélations spirites, apparitions et spectres hantent l’univers ténébreux et insondable de son recueil, qui se referme par « Ce que dit la Bouche d’Ombre » (« bouche d’ombre » = la tombe, cad la mort), long poème qui évoque la

trente pomes, Hugo dnona la misre sociale et morale dont il tait tmoin les scandales, la guerre, la tyrannie, la peine de mort (La source, La statue, La nature), la misre des socits modernes (Melancholia), le livre sachevant par un grand pome (Magnitudo parvi) qui dcrit la contemplation du pote tenant par la main son enfant et sondant avec elle le mouvement des astres. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

dénonça la misère sociale et morale dont il était témoin : les scandales, la guerre, la tyrannie, la peine de mort (“La source”, “La statue”, “La nature”), la misère des sociétés modernes (“Melancholia”), le livre s’achevant par un grand poème (“Magnitudo parvi”) qui décrit la contemplation du poète tenant par la main son enfant et sondant avec elle le mouvement des astres. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

74 et p. 78. 28 Georges Zaragoza, « Doña Sol et la reine, deux “femmes-anges” », art. cit., p. 139. 18 « grandeur du petit » : je paraphrase et traduis, avec quelques décennies d’avance, le titre d’un poème des Contemplations (1856), « Magnitudo parvi ». Mais c’est une manière de proclamer la grandeur qui n’a rien à voir avec celle qui ferait de l’amour une chose simplement, trop simplement, sublime. La même chose, mais différemment, se joue dans l’acte V. La répartition de la parole est

disposent-ils pour atteindre cette connaissance qui se veut absolue et la transmettre? 2) Les instruments de la quête. - La méditation, qui conduit à la vision, au dépassement des apparences (ou contemplation). Cf. Les Contemplations, “Magnitudo parvi” (Livre III, poème XXX) (à propos du voyant). “Et dépassant la créature, Montant toujours, toujours accru Il regarde tant la nature, Que la nature a disparu? Car des effets allant