Magnitudo Parvi

ou la peine de mort comme un scandale (La nature) ; il s’élève à des vues philosophiques, explique le mal comme une épreuve (Explication), décrit le châtiment des maudits (Saturne) et glorifie ceux dont le génie déchiffre l’énigme universelle (Magnitudo Parvi). Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Les Contemplations - Victor Hugo Livre IV : Pauca meae (Quelques vers pour ma fille) Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Les Contemplations - Victor Hugo C’est le livre du deuil. Hugo

et chacun d'entre nous. L'emploi récurrent du "on" dans la suite du poème confirme et accentue cette volonté de généralisation ainsi que ce style oratoire du texte. Effectivement, on ne dénombre pas moins de 17 "on" dans tout le poème (...) Magnitudo Parvi Victor Hugo présente la contemplation de l’univers, bien qu’il ne l’ai jamais vu, et en fait une description idéalisé. J’aime sa description et cette atmosphère légèrement fantastique

celui de la misère, qui ont influencé ses poèmes comme : Mélancholia dans «Les luttes et les rêves» Victor s'est beaucoup questionné sur les questions existentielle tel que la vie après la mort ? la Bouche d’Ombre en est un exemple ainsi que «Magnitudo Parvi» Cela à aussi un lien avec sa fille décédée. Le poète s'arrache à ses tristesses et va chercher de nouvelles raisons de vivre dans la méditation ainsi que des connaissance. On retrouve cette démarche dans son poème intitulé « pasteurs et promenades»

car la « contemplation » est une façon d'être qui permet d'être en contact avec l'harmonie musicale du monde → Pour Hugo, « comprendre, c'est aimer » (III, 8), et « contempler les choses, c'est finir par ne plus les voir » (« Magnitudo Parvi ») : ce que le poète doit « raconter », ce sont les liens, les correspondances entre les êtres, l'harmonie universelle qu'il a observées ; → On peut penser à d'autres poètes trouvant des analogies (comparaisons, métaphores) entre

la peine de mort comme un scandale (L a nature) ; il s'élève à des vues philosophiques, explique le mal comme une épreuve (Explication), décrit le châtiment des maudits (Saturne) et glorifie ceux dont le génie déchiffre l'énigme universelle (Magnitudo Parvi). Livre IV Pauca meae (Quelques vers pour ma fille). (17 poèmes-800 vers) . C'est le livre du deuil. Hugo médite sur le coup qui l'a frappé. Tantôt il se révolte contre la cruauté du destin (trois ans après), tantôt il s'attendrit au souvenir

ou la peine de mort comme un scandale (La nature) ; il s’élève à des vues philosophiques, explique le mal comme une épreuve (Explication), décrit le châtiment des maudits (Saturne) et glorifie ceux dont le génie déchiffre l’énigme universelle (Magnitudo Parvi). Livre IV : Pauca meae (Quelques vers pour ma fille) C’est le livre du deuil. Hugo médite sur le coup qui l’a frappé. Tantôt il se révolte contre la cruauté du destin (Trois ans après), tantôt il s’attendrit au souvenir du passé (Elle avait

le monde aquatique et le monde aérien. Ses rêveries le plongent dans un monde amphibien où se dévoile une réalité invisible : « la continuation occulte de la nature infinie » (p.119), et lui ouvrent les portes de l’Inconnu. Dans son poème « Magnitudo parvi » (« Grandeur du petit ») des Contemplations, Victor Hugo faisait du pâtre solitaire contemplant la nature un Mage capable d’en percer les secrets, d’établir des liens entre la nature familière et le cosmos immense, entre le monde physique et

s’interroge sur l’existence du mal et sur la finalité de la vie : « À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? Qui nous mène ? » (IV, 8). Enfin, dans sa forme la plus haute, la contemplation devient vision, parfois voyance. C’est le cas notamment chez Hugo dans le long poème Magnitudo parvi qui clôt le Livre III. Le  père   y  dévoile   à   sa  fille   la  pluralité  des  mondes  habités   :   «  Ô contemplation splendide !  » s’exclame-t-il.  Toutefois, certains poètes refusent cette contemplation : si celle-ci est fréquente

et morale dont il est témoin. Ici, il dénonce les scandales, la guerre, la tyrannie, la peine de mort (La source, la Statue, La Nature). Ailleurs, il évoque la misère des sociétés modernes (Melancholia). Ce livre s'achève par un grand poème (Magnitudo Parvi) qui décrit la contemplation du poète tenant par la main son enfant et sondant avec elle le mouvement des astres. Livre IV (17 poèmes) Pauca meae (Quelques vers pour ma fille). C'est le livre du deuil. Le 4 septembre 1843, Léopoldine et son

ciel, un ruisseau...), dans la certitude que tragique et comique ne sont jamais loin l'un de l'autre, et que la grandeur de Dante se mêle nécessairement au "rire énorme" de Rabelais. Le lyrisme de Hugo peut être grandiose (cf. la 2e section de "Magnitudo parvi", I, 3, 30) mais il joue tout aussi bien de l'ironie (comme dans "Vieille chanson du jeune temps", I, 1, 19) qui peut aller jusqu'au sarcasme ("Quelques mots à un autre", I, 1, 26). Mais sur les cordes de sa lyre, il trouve aussi la grâce qui