Mais Bon Dieu Antigone Commentaire

celles qui considèrent que le droit tire sa légitimité de valeurs supérieures. Deux fondements principaux : le droit naturel d'une part, l'équité d'autre part. Il y a une inspiration idéale dans le droit, celui de la Justice. Le droit a pour objet le bon et le juste des Hommes. Les Hommes obéissent aux règles sociales parce qu'elles sont dans son intérêt. Le droit naturel 1) Les conceptions du droit naturel Il ne s'applique pas tout à fait sur les lois de la nature mais sur une pensée philosophique

qui est tout bénéfice). Ensuite, l'utilisation à des fins nauséeuses de livres où le racisme est moins patent qu'on ne croit, fait qu'on « gaze » sur une partie de l'œuvre, attribuant à un savant qui ne fut guère cultivé ce qui appartient, pour de bon, à l'écrivain, et sans quoi l'on ne peut rien voir bien clairement dans cet écrivain. Il y a dans l'Essai un ton de voix à faire frémir les philosophes. Ce n'est pas moi qui m'en plaindrai. Les poèmes se reconnaissent à ceci : ce sont des

Dixième séance : Lecture de l’étranger d’Albert Camus, à partir des propositions d’Edward Said Onzième séance : Relations Littératures/arts Douzième : Le théâtre et la question du syncrétisme paradoxal : Le cadavre encerclé de Kateb Yacine et Antigone de Sophocle, Les 1001 Nuits dans le théâtre Treizième séance : Cinéma et emprunts. Lieux des emprunts et réalités culturelles Quatorzième séance : Traduction et contact de cultures BIBLIOGRAPHIE 1) Fernand Braudel, La Méditerranée et

approximations, les raccourcis intellectuels. En permanence les médias nous propose de la vulgarisation de la simplification. L’appréhension du droit poursuit une logique tout à fait contraire, elle nécessite d’être précis perfectionniste et pointilleux. Le bon juriste ce distingue aujourd’hui principalement par la clarté de son raisonnement la rigueur de sa démonstration, ou par la force de conviction de ses propos. La nécessité d’un esprit critique d’un pouvoir de remise en cause. F- La distinction fondamentale

individus ne peuvent jamais écarter l’application, c’est-à-dire qu’elles s’imposent avec une force obligatoire absolue. Ex de l’art 6 C.civ : « on ne peut déroger, par des conventions particulières, aux lois qui intéressent l’ordre public et les bonnes mœurs ». Art 212 C.civ : il s’agit aussi d’une règle impérative, car les futurs époux ne peuvent pas conclure de contrat qui les dispense de fidélité, un tel accord serait nul de point de vue du droit. b) Les règles supplétives : ce sont les

j’étais intelligent parce que mes parents étaient enseignants à la fac. Link était stupide parce qu’il avait déchiré les pages de sa Bible pendant les leçons de catéchisme et qu’il avait vomi lors d’un des spectacles de Noël. Intelligent, j’avais de bonnes notes ; stupide, Link en avait de mauvaises. Personne ne s’embêtait à lire nos devoirs, j’imagine. Parfois, j’écrivais n’importe quoi au beau milieu d’une dissertation, juste pour voir si un de mes profs s’en rendrait compte. Peine perdue. Malheureusement

exemple, en juillet 2005, est abolie la diffrence entre enfants lgitimes et enfants naturels. DEFINITIONS La justice Du latin justicia. Pour les romains, le droit est lart de la justice (le bon et le juste) jus est ars boni et aequi. Pourtant toutes les rgles de droit ne sont pas forcement justes Dans Antigone de Sophocle, la justice rclamerait lenterrement de son frre, pourtant refus par Cron. Le sentiment de justice est profondment subjectif. On peut ainsi demander justice et donc rclamer son droit

certains groupe n’est pas forcement celle du divin mai celle des hommes ou intermédiaire des hommes, elle est à distinguer du droit divin (qui résulterait directement de dieu). Donc proximité et divergence. La différence entre la règle religieuse et celle de droit, ce n’est donc pas que l’une par un homme et l’autre élaborer par un dieu, elle se situe principalement la différence sur le plan de la sanction, les règle religieuse concerne les relations entre l’homme et la divinité à laquelle il croit

parce qu’il n’avait pas obtenu les unités B1(2) et B3(3) qu’il espérait avoir. « Je lis très bien », disait-il, « je comprends tout ce qu’on me dit, tout le monde me comprend lorsque je parle ; la preuve, j’ai eu les unités B2(4) et B4(5) avec de très bonnes notes ». C’était juste, malheureusement, sa langue écrite était nulle ; du n’importe quoi. En revanche, l’apprenant du français langue maternelle (FLM) peut témoigner que l’apprentissage de l’écrit, à l’école primaire, au collège et au secondaire

Populaire de Gennevilliers, qui m’ont permis d’intervenir dans le cadre d’un séminaire sur les figures tragiques dirigé par M. Jean-Claude Ternaux. Ma reconnaissance va aussi aux membres de l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse pour leur bon accueil : je sais gré à la direction du collège des écoles doctorales et aux instances supérieures de l’Université qui ont facilité mon intégration et ont tenu compte tant de ma situation de professeur dans l’enseignement secondaire que de l’éloignement