Maison capétienne de Valois

à l'aîné. Le premier roi qui créa un apanage fut Henri Ier qui, en 1032, donna la Bourgogne à son demi frère Robert Ier (dont la descendance conservera le duché jusqu'en 1361). Les autres rois capétiens créèrent aussi des apanages (Louis VIII et Louis IX). Ce sont surtout les rois de la dynastie de Valois, en particulier Jean II le Bon, qui usèrent largement du système des apanages pour doter leurs fils cadets. {text:soft-page-break} En faveur des puînés, fils de France. « Alors nos Rois se retrouvèrent

roi carolingien et ensuite capétien. A l'époque féodale, l'aristocratie a évolué a cause des dissociations territoriales et ces maisons nobles se sont progressivement écartées de l'autorité impériale. Elles sont devenues des F princières (dérive de princeps). Elles doivent leur puissance non plus à raison du service qu'elles rendent au roi mais à leur hérédité, lignage, et selon un juriste et historien du droit allemand : Karl Shmit « la maison d'un noble devient une maison noble lorsqu'elle devient

14 mai 1610 à Paris) fut roi de Navarre (Henri III de Navarre, 1572-1610) puis roi de France (1589-1610), premier souverain français de la branche dite de Bourbon de la dynastie capétienne. Il était le fils de Jeanne III, de son nom patronymique Jeanne d'Albret, reine de Navarre et d'Antoine de Bourbon, chef de la maison de Bourbon, descendant du roi Louis IX et premier prince de sang[4]. En vertu de la « loi salique » cette filiation fera d'Henri le successeur naturel du roi de France à la mort

qu’elle-même). Aristote oppose un 2nd modèle : la chrématistique ou l’économie spéculative. L’échange va l’emporter sur la production. C’est un modèle où l’activité économique devient sa propre fin. Il ne s’agit plus de satisfaire les besoins de la maison mais dans une logique d’accumulation pure. Une économie où la spéculation l’emporte sur le principe de production. Aristote est un philosophe qui n’aime pas le travail sous cette perspective économique. Dans le 1er cas, l’activité économique sert

devient roi en 996, il désigne également son fils Henri 1er qui lui succèdera en 1031. Henri 1er désigne son fils Philippe qui lui succède en 1060. On parle d’un miracle Capétien : transformation de l’élection en hérédité. Le principe d’hérédité est rétablit définitivement. Corolaire de ce miracle : désormais les capétiens s’affranchissent de la tutelle des grands du royaume car les grands n’ont plus le pouvoir de faire ou de défaire le roi. Mais ils acclament pourtant toujours le roi : acclamation

de la France il y a environ 7000 ans environ. La sédentarisation des peuples. Avec l’apparition de l’agriculture, les peuples ont cessé de vivre en nomades pour s’installer près de leurs champs. Ils deviennent sédentaires, construisent des maisons plus vastes, plus solides. Les murs sont en bois, en pierre ou en terre avec des toits de végétation. Certaines abritaient plusieurs familles et se trouvaient sur pilotis pour protéger des dangers éventuels tels que les inondations et les bêtes sauvages

Chapitre 2: Les fondements de l'absolutisme Section I: Le fondement dynastique I- Établissement du principe héréditaire Le fondateur de la dynastie, Hugues Capet, a été élu roi par une assemblée de Grands du royaume. Le premier souci des Capétiens a été de se débarrasser des élections pour instaurer à leur profit l’hérédité. Ils y sont parvenus par la technique de l’association au trône: le roi va associer son fils au trône de son vivant après l’avoir fait élire et sacré. À la mort du père

royale Les capétiens vont parvenir à imposer leur dynastie et avec elle l’idée de spécificité royale. Les grands sont assez tous d’accord sur ce point. Les grands veulent préserver l’idée de royauté car beaucoup de ces grands ont reçu les pouvoirs qu’ils exercent sur leur terre de l’empereur carolingien. Ils se disent que maintenir le roi c’est continuer de légitimer leur propre pouvoirs. Les Grands aiment bien se dire « ministre du roi », c’est le souvenir de « l’honor ». Les capétiens imposent leur

une politique d'apaisement. En 1328, la branche ainée des Capétiens s'éteint, Philippe VI montent alors sur le trône. L'économie est alors prospère, le commerce est développé, les villes sont enrichies et l'affranchissement des serfs à permit les grands défrichement et la création des grands pôles de peuplement. C'est un événement humainement très dur et économiquement catastrophique qui va servir le développement de la branche des Valois, le réveil du patriotisme des Français par la guerre de Cent

La cérémonie du couronnement impérial (et non pas du sacre). 35 B/ Signification de l’impérialité de Charles Ier. 35 C/ La conception du pouvoir. 36 SECTION 2 : LE GOUVERNEMENT CAROLINGIEN ET ROBERTIEN JUSQU'A L’AVENEMENT DES CAPETIENS. 37 I. L’échec de l’Empire Carolingien. 37 A/ L’empire a disparu. 37 1. Description des évènements. 37 2. Une société en passe de voir le pouvoir royal s’affaiblir (l’honor et le beneficium). 38 B/ Naissance de