Maison capétienne de Valois

Lorraine, ils connaissent leur ascension politique grâce à Claude de Lorraine et son fils François, les deux premiers ducs de Guise. Grâce au mariage de Marie Stuart avec l'héritier du trône, les Lorrains renforcent les liens entre leur maison et la dynastie des Valois. Dans leur famille s'illustrent également -1574)"Charles, cardinal de Lorraine, Henri IHYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Ier_de_Guise"erHYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Ier_de_Guise", duc de Guise et Charles,

principe de primogéniture est clairement établi depuis longtemps, mais il est bien le seul, car jusqu’en 1316, la transmission de la couronne n’a pas connu de problèmes majeurs. En effet, les monarques capétiens ont toujours eu des fils pour leur succéder, c’est ce que l’on appellera « le miracle capétien ». En 1316, une situation inédite apparaît toutefois. Louis X, dit le Hutin, premier fils de Philippe le Bel, décède. D’une première union avec Marguerite de Bourgogne le Hutin a eu une fille, Jeanne

février 1906 est fondé l’Institut d’Action française. Maurras occupe la chaire de politique, Léon de Montesquiou, celle de positivisme, Lucien Moreau celle de nationalisme. L’historien Louis Dimier en est le directeur. Parallèlement est fondée la maison d’édition « Librairie Jean Rivain ». À partir de 1906, les réunions anti-dreyfusardes reprennent. Elles rencontrent un vif succès et réveillent l’agitation nationaliste qui se concrétisera par exemple le 4 juin 1908 par la tentative d’assassinat

bases de la Renaissance. 2. Le phénomène des états princiers Les XIVe et XVe siècles sont une période de gestation de l’Etat moderne. La construction de l’autorité du roi autour de son domaine royal d’île de France, poursuivis par tous les capétiens depuis le XIIe rencontre des difficultés : interruption dans la lignée des héritiers d’Hugues Capet, guerre de Cent Ans, émergence de cours princières distinctes de la cour royale, guerre entre Armagnac et Bourbon. C’est le temps des principautés

prénomme Charles Ier D’Orléans, fils de Louis Ier de France et de Valentine de Visconti, né en 1394 à Paris et mort en 1465 à Amboise. La guerre de Cent Ans éclate entre deux dynasties : les Plantagenêts et la Maison capétienne de Valois. En 1406, Charles épouse sa cousine germaine, Isabelle de Valois, qui mourra trois ans plus tard en couche et c’est en 1407 que son père fut assassiné par Jean sans Peur, en raison de la guerre de vengeance contre les Bourguignons. En 1415 reprit la guerre, Charles faisait

tout il y a eu quand même l'Edit de Moulins et de Blois qui présentent deux exceptions: Article 1 de l'Edit: « le domaine de notre couronne ne peut être aliéner qu'en deux cas seulement. Deux aliénations, l'un pour l'apanage des puînés mâles de la maison de France; et l'autre pour aliénation à denier comptant pour la nécessité de la guerre ». B- Le principe de catholicité Principe de catholicité → obligation pour le roi d 'être de religion catholique Cette règle confire l'arsenal juridique

et triomphe du droit romain...................................................................53 Chapitre 2 :La reconstruction de l’Etat monarchique....................................................................55 Section 1 : La restauration capétienne......................................................................................55 1. Une royauté faible, mais légitime.....................................................................................55 A) Le roi-seigneur..............

du pouvoir qui sont concurrents : l’un va finir par gagner par rapport à l’autre. Il gagnera parce qu’il est le plus fort, et non parce qu’il est le meilleur. Section 3 : le cas du Roi Il y a toujours un Roi : d’abord carolingien dès 987, capétien Il faut comprendre que ce Roi est en réalité un seigneur comme les autres, en cela il exerce un pouvoir sur une seigneurie, ou plusieurs que l’on appelle son domaine. Sa principale arme c’est qu’il est à la tête, comme les autres seigneurs, de soldats

une autre opéré ds le plus grand calme. Ne semble d’ailleurs pas exceptionnel. Politique capétienne différa cepdt des options retenues par les Carolingiens sur deux points très importants : - affaiblissement de l’alliance pontificale : réticence de la papauté envers une nouvelle dynastie qui se substituait à celle qu’elle avait largement soutenue et en bonne partie fondée. Le premier appui des Capétiens = leur épiscopat. - reconnaissance rapide (et logique) de l’hérédité des honores, à laquelle

l’émancipation à l’intégration 1787-1880 1 A- avant la Révolution : Les premiers Juifs sont arrivés en France dès le Ier siècle de Judée. Durant quelques siècles ils seront bien intégrés, vivant en communauté. Cependant suite à l’arrivée des capétiens au pouvoir et aux premières croisades, les persécutions et violences ont commencé en France, jusqu’à aboutir à l’édit d’expulsion de Charles IV en 1394. Cette expulsion est définitive à l’exception de certaines régions (Alsace, par exemple).