Maison de Seyssel

monarchie dans sa pureté originelle ainsi que ramener la confiance entre le souverain et ses sujets. Retz exprime cette nostalgie ligne 59 à 60, « Qui eût dit, trois mois avant la petite pointe de troubles, qu'il en eût pu naître dans un état ou la maison royal était parfaitement unie, ou la cour était esclave du ministre, ou les provinces et la capitale lui était soumises ». Finalement c'est dans les événements du 26 Août que Retz déclare la guerre à Mazarin. Retz trouve Mazarin trop passif face

mariage), ou essaie de placer ses « protégées » sur les trônes d’Europe (ex. Sophie-Zoé Paléologue envoyée en Russie auprès d’Ivan III). Ces mariages sont accompagnés de migrations de nobles, de chapelains, de fournisseurs, d’artistes, membres de la maison des princesses… La diplomatie prend dès la fin du XVe siècle, sous l’influence italienne et surtout vénitienne, une importance nouvelle : l’usage d’envoyer dans les principales cours d’Europe des représentants permanents se répand peu à peu, même

sociologie du Vêtement » [Quelques observations méthodologiques]. In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 12e année, N. 3, 1957, p. 432 3 Sébastien JAHAN, Les Renaissances du corps en Occident (1450-1650), Paris : Belin, 2004, p. 204 4 Claude de Seyssel, La grande monarchie de France, Paris : Jacques Pujol, 1961, p. 120-124 3 vêtement ostentatoire au service du corps noble. Cette noblesse française, qui fut décimée durant la guerre de Cent Ans, cherche toujours au XVIe siècle à redéfinir son identité

sorcières rendaient les hommes impuissants et rendaient les femmes infertiles. Certains historiens rajouteront à cela que les sorcières étaient accusées de contrôler les pluies pour ruiner les récoltes, de contrôler la foudre pour quelle s’abatte sur des maisons ou des arbres, d’empoisonner des puits, de répandre la peste, etc. On peut, donc, penser que les sorcières étaient accusées pour des phénomènes que la population ne comprenait pas. Au fil du temps, le Diable commença à prendre une place de plus en

de D. Judd ou de F. Stella, par exemple. La musique n’est pas en reste avec les héritiers de Gerschiwn, Bernstein, Ives, Copland : Cage, Reich, Glass, Corigliano, pour ne rien dire du monde du jazz. Quant à la littérature, elle fait le bonheur des maisons d’éditions étrangères, le roman américain révèle un univers riche, tant pour la déclinaison des titres, la richesse des contenus et l’inventivité des formes. L’American way of life et ses productions, exerce donc une fascination, une attraction,

société d’ordres 1.1. La vision des contemporains : une société d’ordres Cette notion d’ordres ou d’estats parcourt les descriptions que font les contemporains de leur société. Elle est présente dès le début du XVIe siècle dans l’œuvre de Claude de Seyssel, un juriste proche de la monarchie, qui publie en 1514 la Grant monarchie de France. On la retrouve dans les dictionnaires du temps, le Furetière au XVIIe siècle ou l’Encyclopédie au XVIIIe siècle. À la fin du XVIIIe siècle, un texte présente une

Oulles. Les dits consuls ordonneront à chacun des habitants de se préparer à recevoir en leurs maisons les étrangers les plus honnêtement que faire se pourra. Et aussi de tapisser de tapisseries honnêtes ou de linges bien blancs le devant de leur maison des deux côtés de la grand rue, depuis la porte de la Chaussade jusqu’à la porte des Oulles. Que ceux qui sont aisés seront tenus de tapisser le devant des maisons de leurs voisins qui n’auront le moyen de ce faire, pour l’honneur de leur prince et de la

est l'inventeur de la photographie et de l'héliographie. En 1827 , Niépce réalise la photographie intitulée le Point de vue du Gras, prise depuis la fenêtre de sa maison de Saint-Loup-de-Varennes, près de Chalon-sur-Saône. Il utilise pour cela une plaque d’étain et du bitume de Judée, provenant de l'asphalte des mines de Seyssel (Ain). Point de vue de la fenêtre, la plus ancienne photographie conservée, réalisée par Nicéphore Niépce en 1827. Début 1828, retour à Chalon-sur-Saône : Daguerre

révolution). Il souhaite une monarchie tempéré par le jeu des institutions existantes aux Pays-Bas (province uni). Ce sont des institutions avec un certains équilibres de pouvoirs. En France, le conseillé de Louis XII, c'est-à-dire Claude de SEYSSEL, dit que dans un pays comme la France, il faut un roi et une couronne avec une idée de continuité qui on découle. Le roi doit avoir un pouvoir, ni trop fort, ni trop faible et la monarchie doit être un point d’équilibre entre les différents corps

le travail des théoriciens A cette époque, il n’y a pas de constitution écrite. Mais il y a un ensemble de lois coutumières appelées les lois fondamentales. Deux grands penseurs politiques qui vont faire évoluer le pouvoir : * Claude de Seyssel, évêque de Marseille. Il a écrit u livre : « la grande monarchie de FR » écrit en 1515. Il préconise un pouvoir fort ou le roi serait la source de toute autorité. Le roi doit pouvoir contrôler les trois pouvoirs principaux : judiciaires, législatif