Maison des vestales

votre bras poli S‘appuya (sur le fond ténébreux de mon âme Ce souvenir n‘est point pâli); II était tard; ainsi qu‘une médaille neuve La pleine lune s‘étalait, Et la solennité de la nuit, comme un fleuve, Sur Paris dormant ruisselait. Et le long des maisons, sous les portes cochères, Des chats passaient furtivement L‘oreille au guet, ou bien, comme des ombres chères,  Nous accompagnaient lentement. Tout à coup, au milieu de l‘intimité libre Eclose à la pâle clarté De vous, riche et sonore instrument

votre bras poli S'appuya (sur le fond ténébreux de mon âme Ce souvenir n'est point pâli) ; II était tard ; ainsi qu'une médaille neuve La pleine lune s'étalait, Et la solennité de la nuit, comme un fleuve, Sur Paris dormant ruisselait. Et le long des maisons, sous les portes cochères, Des chats passaient furtivement L'oreille au guet, ou bien, comme des ombres chères, Nous accompagnaient lentement. Tout à coup, au milieu de l'intimité libre Eclose à la pâle clarté De vous, riche et sonore instrument où

grands honneurs, dont ils lui envoyèrent le décret par des députés, à la tête desquels était Antoine, en sa qualité de citoyen d’Athènes : ce fut même lui qui porta la parole au nom de la ville. Vers le même temps il envoya à Rome chasser Octavie de sa maison. Elle en sortit, emmenant, dit-on, avec elle, tous les enfants d’Antoine, hormis l’aîné de ceux de Fulvie, qui était alors avec son père : elle fondait en larmes, et se désolait de pouvoir être regardée comme une des causes de la guerre civile. Les

votre bras poli S’appuya (sur le fond ténébreux de mon âme Ce souvenir n’est point pâli) ; Il était tard ; ainsi qu’une médaille neuve La pleine lune s’étalait, Et la solennité de la nuit, comme un fleuve, Sur Paris dormant ruisselait. Et le long des maisons, sous les portes cochères, Des chats passaient furtivement, L’oreille au guet, ou bien, comme des ombres chères, Nous accompagnaient lentement. Tout à coup, au milieu de l’intimité libre Éclose à la pâle clarté, De vous, riche et sonore instrument

Narcisse, jouant sur l’orgueil de l’empereur, arrache finalement la condamnation de Britannicus et d’Agrippine. Britannicus, qui se croit à l’abri, quitte Junie inquiète pour retrouver Néron qui le fait empoisonner. Désespérée, Junie se réfugie chez les vestales ; Agrippine maudit son fils, le peuple massacre Narcisse tandis que Néron tombe dans un désespoir inquiétant. « Le monstre » est né. Acte II Acte III Acte IV Exposition Nœud de l’intrigue Péripéties Dénouement ➠ Reportez-vous

Vesta, en grec Hestia table Il importe, de ne pas confondre l'antique Vesta, c'est-à-dire Titéia ou la Terre, femme d'Uranus, avec la vierge Vesta, déesse du feu ou le feu même, car les Grecs la nommaient Hestia, mot qui signifie foyer de la maison. Cependant, chez les poètes, bien souvent ces deux divinités paraissent être confondues. Vesta, déesse du feu, avait un culte qui, en Asie et en Grèce, remontait à la plus haute antiquité. Elleétait honorée à Troie, longtemps avant la ruine

nourrice. Vesta, en grec Hestia table Il importe, de ne pas confondre l'antique Vesta, c'est-à-dire Titéia ou la Terre, femme d'Uranus, avec la vierge Vesta, déesse du feu ou le feu même, car les Grecs la nommaient Hestia, mot qui signifie foyer de la maison. Cependant, chez les poètes, bien souvent ces deux divinités paraissent être confondues. Vesta, déesse du feu, avait un culte qui, en Asie et en Grèce, remontait à la plus haute antiquité. Elleétait honorée à Troie, longtemps avant la ruine de cette

quelquefois permis aux démons quelques effets réels. Si cela est arrivé, Dieu avait alors ses raisons, et elles sont toujours dignes d’un profond respect ; mais, à parler en général, la chose n’a point été ainsi. Dieu permit au diable de brûler les maisons de Job, de désoler ses pâturages, de faire mourir tous ses troupeaux, de frapper son corps de mille plaies ; mais ce n’est pas à dire que le diable soit lâché sur tous ceux à qui les mêmes malheurs arrivent. On ne songe point au diable, quand il est

scellée, leur plume brisée, leur loi déchirée au nom de la religion, de la propriété, de la famille et de l’ordre. Des bourgeois fanatiques de l’ordre sont fusillés à leur balcon par une soldatesque ivre, la sainteté de leur foyer est profanée, leurs maisons sont bombardées en guise de passe-temps, tout cela au nom de la propriété, de la famille, de la religion et de l’ordre. La lie de la société bourgeoise constitue finalement la phalange sacrée de l’ordre et le héros Crapulinsky [7] fait son entrée

commerce et des contrats publics. Ils peuvent aussi investir dans la terre. Ils possèdent de grands domaines agricoles. -> Enrichissement extrême. B- Les milieux dominés Les femmes et filles du citoyen : L’écrivain Columelle : « les travaux de la maison sont réservés à la femme tandis que ceux du dehors appartiennent exclusivement à l’homme ». - La femme est toujours subordonnée à l’Homme (son père, son mari ou son tuteur). Comme chez les Grecs, on peut dire que c’est une « éternelle mineure ». Elles