Maison-mère

françaises laïques à s'intéresser à l'éducation des filles en Afrique occidentale. Ancienne d’une école normale sise en Bretagne, institutrice, elle est consciente de la nécessité de « former à long terme des jeunes filles "assez cultivées, maîtresses de maison indigènes parfaites" ». L'École normale d'institutrices de l'A.O.F. est née, en 1938, de cette rencontre entre les ambitions de Germaine Le Goff et les objectifs politiques du Gouvernement général qui prend conscience, à la veille de la Seconde

les petites annonces du Pennysaver et trouve le couple idéal pour accueillir son enfant. Accompagnée par son père Mac, Juno fait la connaissance du couple, Mark et Vanessa Loring, dans leur superbe maison, et elle souhaite une adoption anonyme, c’est-à-dire que l’enfant ne connaîtra pas le nom de sa mère biologique (accouchement sous X). Quoique reconnaissante, Vanessa est un peu angoissée à l’idée que Juno pourrait changer d’avis et leurs premières conversations ne sont pas faciles. Pourtant, Juno

seulement pour l'argent. En revanche, la relation avec sa mère est correcte, elles sont très proches, et s'entendent très bien. ♥Fifi : C'est la gouvernante française qui à la maison, s'occupe de Harriet. ♥ Guy Hubbard, le père : Il possède un magasin d'antiquité en ville. Récemment, le père de Harriet s'était lancé dans d'autresactivités : des investissements immobiliers et des appartements pour les vacanciers. ♥ Hilda, la mère : Autrefois, elle était coiffeuse. Elle a arrêté de travailler

que les mariés s'embrassaient en bout de table, que les enfants jouaient dans le fond du jardin, nous étions, moi et mon ami d'enfance, en pleine observation du monde nous entourant, avec un verre à la main. Au bout de cette table, embellie par la mère de la mariée d'une nappe blanche comme neige qu'elle avait faite elle-même, de fleurs violettes, blanches, et roses, une décoration qu'elle avait faite avec tout l'amour maternel qu'elle pouvait donner. Si heureuse qu'elle était, de voir sa fille quitter

portrait de sa mère et de son père. Avant de partir, ils se promettent de se marier. Le jour de l’an 1820, comme chaque année, Félix Grandet demande à sa fille de lui montrer tout l’or qu’il lui a offert, comme chaque année. Mais Eugénie est dans l‘impossibilité de satisfaire la demande de son père, et ce dernier devient fou de rage. Malgré ses menaces, elle ne lui en donne pas la raison, bien décidée à garder son secret. Il prend alors la décision d’enfermer Eugénie dans sa chambre. La mère d’Eugénie

Rédaction Un peu plus tard, le père rejoint sa famille à la plage. Un dialogue s'engage entre les trois personnages : la mère explique à son époux ce qui vient de se passer; Jojo proteste; le père tente de les réconcilier. Ecrivez ce dialogue. Critères de réussite : - Comme dans le texte de Colette, vous ferez alterner des passages narratifs et des temps de dialogue. -

En effet dans cette situation c'est le père de famille qui s'occupe des tâches domestique tandis que la mère prend part à la vie publique et politique de son pays. On constate que ce changement est encore récent car le père paraît totalement débordé par les nouvelles tâches qui lui sont attribuées. Anciennement c'était la mère de famille qui s'occupait de la cuisine, des enfants, de la maison... Les femmes en politique n'était pas un point gagné il y a encore de ça une cinquantaine d'années.

que sa mère est morte dans son enfance et choqué de la nouvelle union de son père avec Bertha.il a une tête de cochon. Il est : voyou, fendant, saoulons, agressif, irrespectueux, profiteur, triste, malheureux, profiteur, il dérape, il ne réussis rien, c’est un mercenaire, cherche toujours l’action. Son personnage évolue à la fin il a des regrets lors de la mort de son père et meurt en retournant à la guerre. 2. Fleurette : très jeune fille, 15 ans, elle est la source de joie de la maison, toujours

mères qui on déjà vécu une socialisation et se sont imprégnées des normes attribuées à leur genre ne vont faire que de reproduire le même schéma, ainsi elles vont montrer les bonnes habitudes à avoir lorsqu' on est une femme : bien s' occuper de la maison, faire le ménages, le repassage, être calme et savoir venir en aide à une personne qui en a besoin. Du côté des pères on retrouve la même façon de procéder. Le fils va suivre son père lorsque celui ci va bricoler et jardiner. Cependant il n' y a pas

nous voyons Emma installée dans l’adultère et croyant y trouver les moyens de son émancipation ; le narrateur nous la fait percevoir à travers les regards de son amant, des habitants d’Yonville et plus particulièrement lors d’une scène avec sa belle-mère. Nous pourrons nous demander quelle vision nous donne ce texte des tentatives d’émancipation d’Emma, en observant les différents points de vue sur le personnage et en nous interrogeant sur les limites que semble poser le narrateur à cette émancipation