Maîtres et Valets

toutefois que les réactions ne sont pas les mêmes en Italie et en France. Marivaux est également romancier, puisqu’il est l’auteur de la Vie de Marianne. Quoi qu’il en soit, la pièce présentée ici met en scène un échange d’identités entre maîtres et valets, processus qui conduit à ce fameux « jeu de l’amour » et à un questionnement sur les conventions sociales. I. RESUME DE LA PIECE Acte I Acte II Acte III II. PRESENTATION DES PROTAGONISTES Monsieur Orgon Silvia Dorante Mario Arlequin

est symbole de pouvoir et de richesse des nobles (château) Multiplication des sous-espaces : parc, chambres,… Ex : Dans l’acte 1 et 2 on joue dans la chambre de Suzanne et Figaro avec des liens avec les autres chambres (chambres des maîtres) : le maître et le valet ont un lien indéfectible L’unité d’action (une seule intrigue principale à laquelle se greffent des intrigues secondaires) Ici tout se greffe au mariage de Suzanne et Figaro. Les scènes secondaires de cette pièces semblent être

Done Elvire car il est séduit par d’autres femmes… Nous avons ici le début de la scène d’exposition. Deux personnages sont présents : Sganarelle, le valet de Dom Juan et Gusman, l’écuyer de Done Elvire. Sganarelle va d’abord faire un éloge du tabac. Gusman va chercher à comprendre pourquoi Dom Juan a quitté Done Elvire, puis Sganarelle va décrire son maître à l’écuyer. Mais comment Sganarelle et Dom Juan sont-ils perçus dans le texte ? Nous allons en premier temps aborder le cas de Sganarelle, et nous

Sganarelle, valet de Don Juan, qui apprend à Gusman que son maître est en quête d’une nouvelle aventure amoureuse et qu’il s’est enfui en abandonnant son épouse. À l’aide de l’extrait, nous démontrerons l’attitude ambivalente de Sganarelle à l’égard de son maître Don Juan. Nous nous attarderons sur l’attitude contradictoire et le conflit de Sganarelle. PARTIE I D’une part, il apparaît que Sganarelle a une attitude contradictoire. En ce sens, on comprend que le valet valorise son maître. En effet

Sganarelle. Pour le critiquer sans qu'il s'en rende vraiment compte, il invente une tierce personne qu'il dit être un autre maitre, pour lui adresser des critiques qu'il a envie d'adresser à Dom Juan. car les reproches sont en fait adresser à Dom Juan, et non pas à la tierce perso, chose que Dom Juan a l'habitude de lui faire. Le maître se retrouve ainsi valet et le valet maître Un comique indirectement du à Dom Juan A aucun moment Dom Juan n'est ridicule, ni dans cet extrait ni dans la pièce

(pièce en un acte) comme dans l’ile des raisons (1725) et la colonie (1729), Marivaux met en place un cadre utopique dans lequel il fait une analyse sociale des rapports humains. Dans la scène 1, l’auteur analyse les rapports entre le maitre (Iphicrate) et son valet (Arlequin) après avoir fait naufrage sur une ile, l’ile des esclaves. Dans la scène 2, le spectateur assiste a un renversement des roles par l’intermédiaire d’un autre personnage Trivelain. I. Une scène d’exposition de comédie sociale

mois une autre pièce : Dom Juan. - Scène d’exposition -> relation maître-valet, portrait implicite du valet, l’intrigue avec Done Elvire - Portrait du maître fait par le valet -> C’est le Diable lui-même Situation : Cette scène est une scène d'exposition : on apprend ce qu'il s'est passé et ce qu'il va se passer, les personnages principaux sont présentés, ainsi que l'intrigue et le dénouement. Elle s'ouvre sur Sganarelle, le valet de Dom Juan, et Gusman, l'écuyer d'Elvire. Sganarelle vient de

Résumé[modifier] Cette pièce relate la vie d'un personnage infidèle, séducteur, libertin blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Mais l'une d'entre elles, Done Elvire, va lui

A) La supériorité du maître Chicaneau , père d'une jeune femme nommé Isabelle, est un maître, il détient le pouvoir. Ce pouvoir qui a été aquis de naissance et non par ses actes qu'il a accomplis. Il est supérieur et donc il domine ses valets, comme par exemple L'intimé. Ce dernier est inférieur et donc soumis au maître. On constate cette acte de soumission avec le vouvoiement du valet qui a un certain respect envers lui. contrairement à Chicaneau qui utilise le tutoiement tout au long du passage

spectateur. En plus de d’installer une vision utopique de l’ile, l’auteur met en scène deux personnages principaux, stéréotypes des comédies françaises et italiennes. En effet, Arlequin appartient au type des zannis de la commedia dell'arte : c’est un valet spontané, joyeux, apparemment sans méchanceté. Il sauve du naufrage une bouteille de vin qui est un signe extérieur du « bon vivant ». Quant à Iphicrate, c’est un personnage qui appartient davantage au comique français : aristocrate sûr de sa position