Maîtresse

étudié est une scène appelée « un débat intérieur ». Dans celle-ci, on présente le monologue de Rodrigue dont le père a été baffé par le père de sa bien-aimée et qui doit décider entre conserver l’honneur de sa famille ou conserver l’amour de sa maitresse. C’est dans ce monologue que les stances permettent au héros d’instaurer un débat intérieur destiné à trancher en faveur de la solution la plus honorable. Pour le démontrer, il est important de comprendre que la problématique est douloureuse pour

héritage à sa maîtresse. N’ayant pas été jugé contraire aux bonnes mœurs, l’arrêt rendu le 9 Janvier 2002 par la Cour d’Appel est remis en cause, de ce fait en statuant contraire aux usages et coutumes. Les usages et coutumes : prévoir sur son testament de léguer un héritage à sa maîtresse n’est pas contraire aux bonnes mœurs ; contrairement à ce qui avait été retenu dans l’arrêt du 9 Janvier 2002. La Loi : en statuant sur la nullité du legs du testataire en faveur de Mme Y (sa maîtresse) ; la Cour

de l'Arbalète. La pièce, malgré la croyance la plus répandue, est finalement peu liée au fait divers sanglant du crime des soeurs Papin, deux servantes ayant assassinés leurs maîtresses. Jean Genet nous livre en fait un huis clos extrêmement tendu et à la limite du sadisme, entre deux soeurs, les Bonnes, et leur maîtresse. Amour et haine se mêlent à des effets de miroir qui finissent par conduire les personnages au crime. Aliénées socialement, Solange et Claire jouent des rôles qui ne leur rendent

qui, ou exprimer les problèmes de la classe. Ils peuvent ainsi les résoudre ensemble avec l'enseignante qui a aussi un rôle «d'arbitre». On trouve également le thème de la cour de récréation, de la cantine, et même le changement de place que la maîtresse essaie de renouveler à chaque vacances pour changer les habitudes des enfants: Par exemple, être assis à côté d'un enfant perturbateur tout au long de l'année peut être pesant voir même génant sur le travail scolaire fourni et sur les résultats.

d’un coup et elle lui appelle «un animal ». Mais Lisette explique ce n’est pas possible pour elle de jouer deux rôles, une comme une maitresse et l’autre comme une servante, comme elle le dit « …que j’obéisse ou que j’ordonne. ». Tout de suite on voit que Silvia réponds dans un ton un peu irrité et fâché « …mais puisqu’il n’y est plus, écoutez-moi comme votre maitresse ». Elle a décidé que c’est impossible de marier « cet animal-là ». Mais Lisette dit a Silvia qu’elle n’a pas reçu assez de temps pour

dans la salle de jeux, jusqu’à 8 h 30. Les enfants de toutes les sections de maternelle se réunissent dans cette salle, s’installent les uns à côté des autres sur des bancs. Ils sont accueillis par l’institutrice de garde, puis par toutes leurs maîtresses au fur et à mesure. Ensuite, chaque enseignante appelle ses élèves en frappant dans les mains. Analyse : c’est la mise en place entre la famille et l’école. C’est une mise en route progressive, une occasion de relations privilégiées entre les

pages 8.2 annexes : Remerciement : Je remercie la directrice de l’école maternelle François MAURIAC de Pessac ainsi que l’ensemble du personnel (maîtresses et atsems) de m’avoir accueillie dans son établissement pendant mes douze semaines de stage et de m’avoir ainsi permis de découvrir l’univers de l’école maternelle. Je remercie aussi la mairie de Pessac qui m’a permis d’effectuer ce stage.

deux classes de moyens grands. Il y a quatre unités de service qui sont : - La direction. - Les maîtresses. - Les Atsem. - Les dames de service. Le personnel et leur rôle dans l’établissement : - Marie Pierre : Directrice et maîtresse des petits. - Florence : Maîtresse des petits moyens. - Aurélie : Maitresse des moyens grands. - Sania : Maîtresse des moyens grands. - Fatiha : Maîtresse des petits le Jeudi. - Lamia : Atsem avec les petits. - Corine : Atsem avec les petits moyens.

sa servante, nous pouvons extraire quelques traits d’hypocrisie chez Cléanthis. En effet, elle tente de s’effacer derrière les traits de sa maîtresse. A la fin de la scène 5, Arlequin est prêt à pardonner à son maître, or Cléanthis, elle, accepte difficilement que ce jeu d’inversement des rôles cesse. Cléanthis fait preuve d’hypocrisie envers sa maîtresse en employant du superlatif : « le plus plaisant », « une des plus belles femmes du monde ». Cela paraît comme un éloge ironique dans cette scène

excès à son maître. Pour lui, rien ne porte à conséquences. Son ton est familier. - Euphrosine, dame athénienne. Comme Arlequin, elle est issue de la Commmedia dell'arte. C'est la maîtresse de Cléanthis. Coquette et de mauvaise foi, elle refuse de reconnaître ses défauts. - Cléanthis, esclave d'Euphrosine et maîtresse d'Arlequin. Rancunière, elle profite de son renversement de statut pour assouvir sa vengeance et refuse d'abord de rendre son statut de maître. - Trivelin, gouverneur de l'île. Il s'agit