Malaise Des Banlieues

d’apporter une « vraie » connaissance. C’est vrai pour toutes les sciences sociales (en psychologie, exemple du QI, à développer en cours). Par exemple, se demander si « la classe ouvrière est en voie de disparition » ou cerner les causes des « malaises des banlieues » peut sembler légitime. Mais ces sujets, envisagés d’un point de vue sociologique, nécessitent, pour mener une démarche scientifique, d’être posés autrement. Ces formulations incluent déjà des présupposés lourdement marqués par l’idéologie

jeunes et d'adultes qui explique la situation de certains jeunes de banlieue dans les années 1980. Pour savoir ce qui est à l'origine de leur expérience de la galère, l'auteur utilise la sociologie d'intervention, qui mêle le recueil des données (interviews de groupe) et l'élaboration d'une interprétation des propos recueillis.  I. Définition de la galère  II. Définition de la « jeunesse ouvrière »  III. La fin des banlieues rouges en France  IV. Différentes formes d'actions pour renverser les

l'énergie consommée dans le monde contre 18% en 1940) parallèlement à la régression du charbon. Le pétrole est alors abondant et bon marché (2 $ le baril dans les années 1960). Les industries se localisent près des ports, des aéroports, dans les banlieues urbaines. Une nouvelle hiérarchie entre les branches industrielles se met en place. Les secteurs les plus dynamiques sont l'automobile, la chimie, l'électronique, les industries de pointe, le nucléaire, l'aéronautique. Les entreprises se concentrent

le vent », parie Driss à son passager. Pourtant, ils sont rattrapés sur une sortie de l'A86 : pour justifier ses excès de vitesse, Driss indique aux policiers que Philippe, handicapé et malade, doit être conduit aux urgences ; Philippe simule un malaise pour berner les policiers, qui les escortent jusqu'à l’hôpital. Les deux hommes jubilent. À peine les policiers ont-ils tourné le dos que Driss et Philippe reprennent leur route. « Maintenant, vous me laissez faire », dit Driss. La rencontre des

Generation » expriment de fait leurs doutes et leur perplexité sur la période. Dans Babitt, qu’il publie en 1922, Sinclair Lewis, premier Américain prix Nobel de littérature en 1930, dépeint le vide moral et le matérialisme de son temps. Pour exprimer leur malaise de vivre dans une époque où « tous les dieux étaient morts, toutes les guerres étaient livrées et toute foi dans l’homme était ruinée » (F. Scott Fitzgerald), ces intellectuels perdus se regroupent à Greenwich Village, New York ou à Paris dans les

travailleurs et l’un des exemples les pus frappant est sans contexte paris : des mâçons de la creuse ou des bretons qui s’installent dans les périphéries de la ville comme la saint -dénis ou Aubervilliers. C’est la naissance des banlieues. A la suite de cette transformations géographique Louis chevalier note une nouvelle réalité sociologique ; une nouvelle population d’employés et de travailleurs de services qui s’installent dans les communes voisines aux villes . Ils suivent les

1900: 1ere ligne de métro (Vincennes-Maillot) et qq automobiles. Gds quartiers ac tour Eiffel en 1889 et prestige/ taudis sans modernisation. La Province: Paris puis Marseille Lyon Bordeaux et Lille (en nbr d'habitants) ac croissance des banlieues où apparaît l'implantation de nvlles industries (automobiles ac habitat ouvrier médiocre) et qui constitue la fonction résidentielle moins cher. D'où ségrégation entre centre et périphérie. Importance de la petite ville (peu de villes ont plus de

La limite se matérialise par le front d’urbanisation. 1.1. Périurbanisation Ce brouillage renvoie à la périurbanisation (urbanisation autour de la ville). L’espace péri-urbain va désigner l’espace compris entre la ville et la campagne (entre banlieue et campagne). Il se définit par des migrations pendulaires (migrations domicile-travail). Il est peuplé d’habitants d’un cadre plutôt rural mais qui vont travailler en centre-ville. Les flux centrifuges (flux qui quittent le centre) se distinguent

tout à fait dépourvue d’inquiétudes. Mais les artistes et les écrivains ne s’y sentaient pas du tout à l’aise, les buts et les méthodes du genre d’arts que réclamait le public leur étaient de plus en plus étrangères. C’est dans l’architecture que le malaise se manifestait de la façon la plus criante. En effet, le public réclamait des colonnes, des pilastres, des corniches et des moulures. Vers la fin du siècle de plus en plus nombreux furent les artistes qui saisirent l’absurdité de tout cela. Le XXème

« travailleurs pauvres) > augmentation des inégalités sociales > les écarts se sont creusés aux 2 extrémités > malaise des classes moyennes ( dès 1970) : salaire intermédiaire augmente très peu précarisation •● De nouveaux mode de vie... société de + en + urbanisée du fait de : exode rural Baby Boom immigration → extension considérable des banlieues ( développement grand ensemble, lotissement → + chez les classes moyennes ) élévation du niveau de vie >