Malmedy

ce qui transforme profondément la carte de l’Europe redessinée par les traités de paix de 1919[112]. À l’issue du traité de Versailles, l’Allemagne perd 1/7e de son territoire : outre l’Alsace et la Lorraine déjà restituées à la France et Eupen et Malmédy rattachés à la Belgique, l’Allemagne perd à l’est la Posnanie et une partie de la Prusse-Orientale pour permettre la recréation de la Pologne ; La Haute-Silésie est partagée entre la Pologne et l’Allemagne. Le territoire allemand est coupé en deux

monétaires ainsi que militaires. La France demande la restitution de l’Alsace-Lorraine, un territoire qui a été annexé en 1871 à l’Allemagne en application du traité de Francfort suite à la défaite française. La Belgique gagne les cantons d’Eupen et de Malmedy qui ont combattus aux côtés des Allemands. Les villes à majorité Danoises du nord de l’Allemagne (Aabenraa, Sønderborg et Tønder, et leurs environs) sont soumises à un référendum et passent ensuite au Danemark. Le Bassin de la Sarre est aussi soumis

ligne 33-34. A la suite du traité de Versailles, l'Allemagne a perdu 15% de son territoire et 10% de sa population au profit de la France qui a récupéré l'Alsace et la Lorraine et qui occupe la Ruhr, la Belgique qui a annexé divers cantons : Ecipen, Malmédy et Vennbahn et du Danemark dont quelques villes de l'Allemagne du nord lui sont annexées et surtout de la Pologne. L'est de l'Allemagne est attribué au nouvel Etat polonais et Dantzig devient une ville libre. Hitler évoque aussi la perte des colonies :

qui transforme profondément la carte de l’Europe redessinée par les traités de paix de 1919. À l’issue du traité de Versailles, l'Empire allemand perd 1/7e de son territoire : outre l’Alsace et la Lorraine déjà restituées à la France et Eupen et Malmédy rattachés à la Belgique, l’Allemagne perd à l’est la Posnanie et une partie de la Prusse-Orientale pour permettre la recréation de la Pologne ; La Haute-Silésie est partagée entre la Pologne et l’Allemagne. Le territoire allemand est coupé en deux

changements territoriaux successifs au XXe siècle. Le traité de Versailles de 1919 qui règle le sort de l'Allemagne fait passer la superficie de 540 848 km2 à 468 776 km2. Celle-ci est amputée de l'Alsace-Lorraine, du Nord de Schleswig et d'Eupen et de Malmedy. Après la seconde guerre mondial et la défaite de l'Allemagne environ 110 000 km2 à l'Est sont rattachés à la Pologne ou à l'URSS. Aujourd'hui sa superficie est de 357 104 km² Distance Nord-Sud : 876 km Distance Est-Ouest : 640 km Situation

galopante qui culmina en 1923 affecta plus particulièrement la classe moyenne, qu’elle ruina complètement. Mais en plus de cela, l’Allemagne est privée de son empire colonial et elle doit restituer l’Alsace-Lorraine à la France, doit donner Eupen et Malmédy aux Belges, une partie du Schleswig au Danemark, la Posnanie et la Prusse occidentale à la Pologne, et certaines régions passent sous la tutelle provisoire des Alliés. L’anschluss (union avec l’Autriche) est interdit. Les alliés décident de démilitariser

la Société des Nations pour une durée de quinze ans. Au terme de cette durée, la Sarre pourra choisir, par plébiscite, entre la France — qui obtient la propriété du bassin houiller — et l'Allemagne. La Belgique reçoit les districts d'Eupen et de Malmedy. Des plébiscites ont lieu en 1920 pour déterminer le statut du nord et du centre du Schleswig. La région septentrionale, d'une superficie de 3 981 km2, est alors réunie au Danemark. Le territoire du Centre revient à l'Allemagne. La Pologne reconstituée

né le 31 août 1910 à Cologne (Royaume de Prusse) et mort le 24 mars 1985 en France à Dieudonné (Oise), est un photographe, un peintre, un graveur et sculpteur belge appartenant à la Nouvelle École de Paris. Il fait ses études à l’Athénée royal de Malmedy jusqu’en 1928, ayant le projet de devenir agent des eaux et forêts. Il fait alors un premier séjour à Paris. Rentré en Belgique en 1929 pour terminer ses études secondaires, un professeur lui passe « sous le manteau », le premier « Manifeste du surréalisme

du département de l’Ourthe, Micoud d’Umons, écrivait dans son rapport que «les peuples qui ne parlent pas le français sont en général contre nous». Il visait par là les franges nord-est de son département, à savoir les régions des cantons d’Eupen, Malmedy, Saint-Vith, Schleiden, Kronenburg, Aubel et Limbourg (y compris les régions de Montzen-Welkenraedt et des Fourons). Lorsque Bonaparte devint premier consul (1800-1804), il obligea tous les fonctionnaires de la Flandre à être des «citoyens français»

ce qui transforme profondément la carte de l’Europe redessinée par les traités de paix de 1919.À l’issue du traité de Versailles, l'Empire allemand perd 1/7e de son territoire : outre l’Alsace et la Lorraine déjà restituées à la France et Eupen et Malmédy rattachés à la Belgique, l’Allemagne perd à l’est la Posnanie et une partie de la Prusse-Orientale pour permettre la recréation de la Pologne ; La Haute-Silésie est partagée entre la Pologne et l’Allemagne. Le territoire allemand est coupé en deux