Maltraitance Des Prisonniers

interrogation sur la dignité, nous retrouvons posée cette limite entre l’homme et l’animal représentée par la dualité horrible que constituent les SS “dominateurs” d’une part, et les prisonniers “soumis” d’autre part. Le projet d’Antelme est de s’interroger sur les limites du sadisme et du désir malade de soumission et de maltraitance de l’Homme sur ses semblables. Pour répondre à notre problématique et montrer comment le concept de la dignité parcourt toute l’œuvre de Robert Antelme, nous allons premièrement

l'esclavage y est très présent. Prisonnier de guerre ou individus les plus pauvres de la société, les esclaves sont réduits à des outils de travail ou des objets du grand commerce. Les esclavagistes sont durement critiqués par Les Lumières. La question de l'assujettissement est très souvent soulevée au XVIIIème siècle ; Voltaire dans son oeuvre Candide, dénonce l'esclavage surtout dans le chapitre XIX intitulé « le nègre de Surinam ». Il y dénonce la maltraitance des esclaves en appuyant son argumentation

l.3), ses sentiments (« Cette crainte était telle qu’en arrivant (…) Cosette n’avait pas osé s’aller sécher au feu (…) », l. 26 et 27, « l’angoisse », l.7). Le portrait physique de Cosette est peint avec réalisme et dénonce la pauvreté et la maltraitance que les enfants subissaient à l’époque d’Hugo. Le portrait est décrit en progression à thème éclaté et la progression se fait de haut en bas. Cosette est décrite maigre, laide, c’est un portrait misérable : « Cosette était laide », l.3, «Cosette

Document 1 : genre, type et propos directeur. Ce document où figure le texte de Jacques Prévert est un texte poétique de type narratif, écrit en 1934 il conte l'histoire d'un enfant qui s'enfuit de la maison de redressement sur l'île où il était prisonnier, laquelle île où tous les habitants sont à sa recherche. 2.2- Document 2 : genre, type et propos directeur. Ce document est un article de presse politique de type argumentatif, il résume l'évolution des maisons de redressement pour mineurs depuis

de ce fait nombreux sont les détenus qui dorment par terre (doc 6). Les conditions de vie des prisonniers français a été un sujet très sensible en 2007 lors de la campagne présidentielle, les candidats se sont tous exprimés à ce sujet : une « honte pour la République » selon F. Bayrou, qualifiant les établissements de « zones de non droit » (J.M Le Pen), parlant de « maltraitance » pour les prisonniers (N. Sarkozy), D. Voynet va plus loin en disant que les prisons « nient les droits humains », et

actes ne doivent pas être irrespectueux : on doit le renvoyer à sa responsabilité. Dans une situation d’urgence, on fait les choses comme on le peut.Il ne faut pas confondre avec la Maltraitance qui est un acte répété et violent, causé par une colère sans objet, un besoin du parent de se sentir puissant. La maltraitance même occasionnelle, est ressentie comme un rejet physique et psychologique. Les dangers pour l’enfant : Les difficultés économiques construisent l’enfant avec la certitude qu’il restera

vraiment émue : un garçon malheureux, qui tente de cacher la vérité en mentant vainement, car la vérité tout le monde la connaît, mais personne ne réagit. Sa boule, son porte bonheur lui permet de s’évader de cette situation étouffante et dont il est prisonnier. C’est un film très complet, où on peut pleurer, rire, être révolter et avoir peur, c’est aussi pour cela que j’ai trouvé ce film très intéressant. * Questions du jury * Quel prix a t’il reçu ? Pour El Bola il reçoit un nombre conséquent

l'ordre social· Économie de surveillance, moins d’employé réclamé, · Moins cher · Famille habite dans la tour, donc plus d’observateur et un seul employé payé · Plus ils sont nombreux mieux c’est (citation Bentham) · Limitation de la maltraitance et abus sur les prisonniers · Mise en abymes des surveillants, Antithèse : · Aliénation et conformisme · Limite aspect créatif (école) · Protection de la vie privée et à la liberté individuelle.· Effet psychologique néfaste · Paranoïa, anxiété, altération santé

du premier tribunal pour mineurs. Toutefois, cette mesure progressiste ne change rien aux maisons de redressement, devenues des « bagnes » dénoncés publiquement par un journaliste. Il est rejoint par d’autres en 1934, après la révolte des petits prisonniers de Belle-Île-en-Mer, laquelle émeut l’opinion publique elle-même. Le gouvernement renonce alors à considérer le vagabondage des mineurs comme un crime et d’autres mesures suivent en 1937 et 1938 qui visent toutes à réinsérer les jeunes délinquants

considérations des hilotes. I) La maltraitance a) Les Raisons des brimades quotidiennes « En tout temps on les traitait rudement et méchamment », les Hilotes étaient particulièrement maltraités par les Spartiates. Ils devaient subir des vexations dégradantes destinées à leur rappeler leur condition inférieure et « pour leur rappeler qu’ils sont esclaves ». En effet, les hilotes sont paysans et dépendants du bon vouloir de leurs maîtres. Cette maltraitance est n’est pas seulement lié à une sorte