Mamadou Dia

c'est la rupture. Senghor quitte le Parti socialiste pour rejoindre le groupe des Indépendants d'outre-mer (IOM) que vient de créer le Dahoméen Sourou Migan Apithy, et fonde à Dakar sa section territoriale, le Bloc démocratique sénégalais (BDS). Mamadou Dia, un instituteur de Fatick, et Ibrahima Seydou Ndaw, notable de Kaolack le suivent dans cette aventure. Patiemment, s'appuyant sur les campagnes, les syndicats, les confréries musulmanes, le BDS tisse sa toile. Et, aux législatives de juin 1951,

titre « Chants pour Signares ». Fort de son succès, il quitte l'année suivante la section africaine de la section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) qui avait soutenu financièrement en grande partie le mouvement social, et fonde avec Mamadou Dia le Bloc démocratique sénégalais (1948), qui remporta les élections législatives de 1951. Lamine Guèye perd son siège. Au début des années 1950, il est un partisan de l'intégration de l'Afrique française dans la dessiné Communauté européenne fédérale

enchaine les mauvaises performances: il gagne 1-0 contre l'Algérie, fait 2 matchs nuls contre la Gambie et le Libéria (0-0 et 2-2) mais gagne contre le Libéria (3-2). Le sélectionneur Lamine N'Diaye est énormément critiqué pour les non-sélections de Mamadou Niang, Khalilou Fadiga qui retrouve la forme en Belgique et Souleymane Diawara, il est aussi critiqué pour faire jouer El-Hadji Diouf en avant-centre alors qu'il est meilleur sur le côté et de ne pas mettre un milieu offensif pour alimenter les avants

politiquement et encore moins moralement est une diversion –un art qu’il a bien assimilé- pour masquer les nombreux échecs et dérives dont son régime est émaillé depuis dix ans qu’il est à la tête de l’Etat sénégalais. Son homologue nigérien Mamadou Tandja, homme orgueilleux et suffisant qui a manipulé la Constitution de son pays de façon grotesque et inédite, vient de recevoir le prix de son aventure anticonstitutionnelle. C’est heureux que le chef de ces miliaires que l’on souhaite être des

adhère. Le RDA dénonçait l’hégémonisme de l’U.F et exigeait une union libre des colonies basées sur l’égalité des droits et des devoirs avec la métropole. Lorsque la citoyenneté est accordée à tous, Senghor démissionna de la SFIO pour fonder avec Mamadou Dia le B.D.S (bloc démocratique Sénégalais) en 1948. En développant un socialisme africain indépendant des courants traditionnels, le B.D.S s’appuie sur les masses rurales de l’intérieur du pays et remporte les élections législatives de 1951. A l’assemblée

titre « Chants pour Signares ». Fort de son succès, il quitte l'année suivante la section africaine de la section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) qui avait soutenu financièrement en grande partie le mouvement social, et fonde avec Mamadou Dia le Bloc démocratique sénégalais (1948), qui remporta les élections législatives de 1951. Réélu député en 1951 comme indépendant d'Outre-mer, il est secrétaire d'État à la présidence du Conseil dans le gouvernement Edgar Faure du 1er mars 1955 au

XXe siècle : Fédération du Mali - Sénégambie - Conflit en Casamance - Conflit sénégalo-mauritanien Histoire contemporaine : voir Politique du Sénégal Historiens : Cheikh Anta Diop - Boubacar Barry -Abdoulaye Bathily - Hamady Bocoum - Iba Der Thiam -Mamadou Diouf - Aboubacry Moussa Lam - École de Dakar  Nature et Environnement[ modifier ]  Environnement au Sénégal Parcs et réserves naturelles représentent 8% du territoire national. Ils jouent un rôle majeur dans la préservation de l'environnement

Partie Le chapitre 7 relatif aux Crises de jeunesse d’une démocratie, s’ouvre sur l’énumération des premières tâches de construction nationale, ausculte les symptômes de la crise de régime dont l’épilogue fut le renversement du Gouvernement de Mamadou Dia, la suppression du bicéphalisme issu du régime parlementaire et la naissance de la Deuxième République. La période qui suit est marquée par des soubresauts et des violences politiques et surtout par la crise sociale de Mai ’68 dont le dénouement

| |Fort de son succès, il quitte l'année suivante la section africaine de la section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) qui avait | |soutenu financièrement en grande partie le mouvement social, et fonde avec Mamadou Dia le Bloc démocratique sénégalais (1948), qui remporta| |les élections législatives de 1951. Lamine Guèye perd son siège. | |

| |- DIA MOHAMED |- 2 copies certifiées conformes du diplôme du BAC + Authentification + Arrêté d’équivalence avec le | | |baccalauréat marocain | |- DIA ALIOUNE BADARA |- 2 copies certifiées conformes du diplôme