Mandibule

Licence 1 Anatomie fonctionnelle et APS S.Colson 4 - Arthrologie Gomphose (gomphosis) - c’est l’union de deux pièces osseuses dont l’une est enfoncée dans l’autre comme un coin, - exemple : articulation de la dent avec le maxillaire ou la mandibule. Licence 1 Anatomie fonctionnelle et APS S.Colson 4 - Arthrologie B - les articulations cartilagineuses (amphiarthroses, junctura cartilaginea) - os reliés par du cartilage : pas de cavité articulaire - degré de mouvement réduit

Cela sera utile pour le bilan traumatique Sous le crâne, le trou occipital permet à la moelle épinière de sortir Rappelons que la tête est irriguée par les artères carotides. La face La mâchoire ou maxillaire inférieur (appelé aussi mandibule) s'articule avec le crâne. Il existe de nombreux trous au niveau de la face. Le maxillaire supérieur est solidaire du crâne. La langue est arrimée à la mâchoire. Les muscles de la mastication vont de la mâchoire au maxillaire supérieur et à la

altération de amandala qui altère lui-même le latin classique amygdala, du grec amugdalê ; pourrait aussi venir de mandorle, emprunté à l’italien (1930) mandorla « amande » altération de amandola. mandibul(o)-, mandibule Du bas latin mandibula ou du latin classique mandere, mâcher ; se rapporte à la mandibule, mâchoire inférieure de l’homme et des vertébrés. maniac(o)- Du latin mania [maniaco-, -maniaque, -manie], folie, habitude bizarre. mano- Du grec manôs [mano-], peu dense, fluide. mast(o)-

une escarre, une espèce, une esperluette (&),  une étole, une extase, F : une foulque G : une gemme, une gent, une gestuelle, H : une hécatombe, une hydre, I : une icône, une immondice, une impasse, une imposte, une interface, M : une mandibule, une météorite, une moustiquaire, O : une oasis, une octave, une ode, une odyssée, une omoplate, une oriflamme, une orque, P : une panacée, une patère, une primeur, une psyché, R : une réglisse, une rixe, S : une scolopendre, une spore, une stalactite

chez l’insecte et chez l’oiseau. Cette musique est ensevelie dans l’indicible. Et les plus surprenantes histoires de castors, de fourmis et d’abeilles nous montrent la limite des cultures qui n’ont pour agents que les pattes, les antennes et les mandibules. En prenant dans sa main quelques déchets du monde, l’homme a pu en inventer un autre qui est tout de lui. Dès qu’il tente d’intervenir dans l’ordre auquel il est soumis, lorsqu’il commence à enfoncer dans la nature compacte une pointe, un tranchant

sur la demande de l’affamée. La quémandeuse demande par tapotements codés sur les antennes de sa congénère sollicitée. Cette dernière, par le truchement du même code antennaire, donne sa réponse. En cas d’acceptation, celle-ci amène au bord de ses mandibules le miel par gouttes que la mendiante aspire grâce à sa langue dépliée. Or, en même temps que de la nourriture, les abeilles échangent de petites quantités de substances salivaires qui font passer dans la communauté des informations chimiques influant

caricature du XIXe siècle Aux uns, il écrabouillait la cervelle, aux autres rompait bras et jambes, aux autres délogeait les spondyles du cou, aux autres démoulait les reins, écroulait le nez, pochait les yeux, fendait les mandibules, enfonçait les dents en la gueule, découlait les omoplates, pourrissait les mollets, déboîtait les fémurs, débezillait les tibias. Si l’un d’eux voulait trouver son salut dans la fuite, à celui-là il faisait voler la tête en pièces par la commissure

singulièrement à une mâchoire ouverte, appelons-le golfe du Requin (Shark-gulf). – Bien trouvé ! s’écria Pencroff, et nous compléterons l’image en nommant cap Mandibule (Mandible-cape) les deux parties de la mâchoire. – Mais il y a deux caps, fit observer le reporter. – Eh bien ! répondit Pencroff, nous aurons le cap Mandibule-Nord et le cap Mandibule-Sud. – Ils sont inscrits, répondit Gédéon Spilett. – Reste à nommer la pointe à l’extrémité sud-est de l’île, dit Pencroff. – C’est-à-dire l’extrémité

légère et continue d'une pointe fine, élançant jusqu'aux extrêmes terminaisons nerveuses l'inquiétude d'un subtil aiguillon." (chap. 6, p. 663) [37] Poursuivons l'enquête sur le mot "insecte", lexicalisé à travers ses métonymes (œuf, carapace, mandibules, bourdon-, etc.), sur l'isotopie /pathologie/ : "Quand je reviens par la pensée à ces journées si apparemment vides, c'est en vain que je cherche une trace, une piqûre visible de cet aiguillon qui me maintenait si singulièrement alerté

parfois de petit gibier. Alors que tous les fossiles d'Australopithèques avaient été trouvés dans la zone du rift africain, d'abord en Afrique du Sud (Australopithecus africanus) et en Afrique de l'Est, on a découvert au Tchad, en 1995, une mandibule attribuée à un Australopithèque (Australopithecus bahrelghazali, surnommé Abel), datée de -3,3 Ma.  Il semble donc que les australopithèques aient conquis une bonne partie de l'Afrique, en marge de la grande forêt tropicale. ( Souvent