Manifeste des 343

tente ainsi d'échapper à toutes les contraintes liées à la condition féminine de l'époque. Elle soutient le FLN et défend une de ses activistes Djamila Boupacha. Elle a militée de plus en plus activement pour la cause féministe et a signé le "Manifeste des 343 pour la liberté de l'avortement". Elle a également présidé la Ligue des droits des femmes et a soutenue de nombreuses actions pour lutter contre le sexisme ordinaire, les violences conjugales... Problématique :

l'ensemble des organisations distinctes du pouvoir et des partis politiques qui défendent des intérêts particuliers ou l'intérêt général.Document 2 : Le rôle de la société civile dans la mise à l’agenda d’un problème public1 - Quel est l’objectif du manifeste des 343 ? Elles veulent légaliser le recours à l'avortement.2 – Pourquoi l’avortement est problématique en 1971 ? Il concerne plus d’un million de femmes et se fait dans des conditions dangereuses.3- En quoi l’initiative du Nouvel Observateur a-t-elle

les régimes matrimoniaux sont réformés. La femme est associée à la gestion de la communauté. Le mari ne peut plus s'opposer à l'activité professionnelle de son épouse. - 1967 : une loi (loi Neuwirth) autorise la contraception. - 1971 : manifeste des "343 salopes" déclarant avoir avorté, publié dans le Nouvel Observateur. Le nombre des étudiantes égale celui des étudiants. - 1972 : mobilisation féministe lors du procès à Bobigny d'une mineure qui a avorté clandestinement. - 1973 : les femmes

préciser les conditions de l’adoption plénière (1) avant d’en détailler la procédure (2) et les effets (3). C. POMART-NOMDEDEO 2 1° – Les conditions de l’adoption plénière : Les conditions de l’adoption plénière sont prévues aux articles 343 à 352 du Code civil. Il existe des conditions tenant aux adoptants d’une part (a) et des conditions tenant aux adoptés d’autre part (b) étant précisé que la principale des conditions qui irrigue tout le droit de l’adoption est la conformité de la mesure

croyances comme la Déclaration universelle des droits de l'Homme (article 18 :" Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites".) B) Les conflits de systèmes : l'exemple du port des signes religieux. Il y a

| | | | | | | |343 | |énoncé |contenu |page | |portraits |A Lebrun, chef d’état manqué

également la formation à la contraception dans les études médicales. L’objectif du gouvernement est démographique. En 1942, le gouvernement de Vichy fait de l’avortement un «crime contre l’État» passible de la peine de mort. En 1971 on publie un manifeste signé par 343 femmes, parmi lesquelles de nombreuses personnalités qui déclarent avoir avorté et réclament l’avortement libre. Le procès de Bobigny est un tournant dans la légalisation de l’avortement. Marie-Claire Chevallier, violée à 16 ans tombe enceinte

domestiques et non de travail etc… Le fait qu’elle dise « déjà son histoire est inscrite » montre que dans les mentalités de l’époque, la femme est destinée à être « femme au foyer » et à s’occuper du mari. Pour obtenir des droits, les femmes ont manifesté dans les rues de Paris dans les années 1970. Dirigées par le MLAC (Mouvement pour la Liberté de l’Avortement et de la Contraception), elles se battent contre la loi contre l’avortement et la contraception. La phrase dite par le bébé exprime la volonté

les femmes perdent l’habitude d’accoucher chez elles et on développe l’accouchement sans douleur. A partir des années 50, engagement des femmes dans les combats idéologiques et politiques en particulier lors de la guerre d’Algérie (voir le « Manifeste des 121 » qui appelle à l’insoumission) Mai 68, offre à une nouvelle génération l’occasion de prendre la parole. Cet événement est un déclencheur pour tous les mouvements féministes dont le plus radical sera le MLF dans les années 70. Dans ces

délégation allemande menée par le maréchal Keitel. Le représentant français, le général de Lattre de Tassigny exige de siéger avec les alliés, et qu'un drapeau français soit accroché aux côtés des drapeaux anglais, américain et soviétique. Keitel manifeste publiquement sa surprise à la vue du drapeau français. A 15 heures, les alliés annoncent la fin officielle des hostilités en Europe. La guerre se poursuit en Asie. La conférence de Potsdam du 17 juillet au 02 août 1945 Les Trois Grands se réunissent